Comment peut-on expliquer l'impact du psyché sur l'organisme (placebo, yoga)?

[DrDam]

Pour ma part, j'ai toujours considérer le cerveau comme une "machine" hyper complexe...
Il ne faut pas s'arrêter à la notion d'esprit/conscience ...
En réalité les "taches" du cerveaux sont bien plus complexe ( régulation d'une bonne part de tout les phénomènes physiologique de l'organisme).

On pourrait comparer le rapport cerveau/esprit au rapport moteur/bruit

un moteur est conçue pour entrainer un axe et faire tourner des roues, or quand vous êtes dans votre voiture, vous savez que le moteur fonctionne parce que la voiture vibre, et le moteur "ronronne" ...
Pour moi l'esprit/conscience/âme , c'est le même principe, ce sont des indices qui nous informe que le cerveau fonctionne ... et en fonction de leur "forme" cela nous informe sur les "défauts" de ce cerveau.
Il a été montrer que certains type de névrose "pouvais" être classé en maladie génétique car il y a une concordance importante entre elles et la défaillance d'un canal ionique dans les neurones.

pour moi si nous avons tous un esprit différent c'est parce que la structure de notre cerveau ( architecture global) est différente et cela parce que nous avons tous vécu des choses différentes. Ce qui explique aussi que des jumeaux élevés exactement pareil, ensemble, peuvent avoir des ressemblance de psyché ou pas ( parceque l'un a toujours eu le biberon après l'autre, etc .... ).

Comme ça été dit, on commence à bien maitriser l'élément de base. Mais même cela n'est qu'une approche, on prend pas du tout en compte l'impacte des cellules gliales qui pourraient avoir un rôle plus que nourricier ( neuro-modulation, transport d'information par voie chimique).

Alors oui la notion d'esprit est lié au biologique sous-jacent, et y ai intimement lié ( il suffit de voir la notion de conditionnement), mais c'est que la partie visible de l'iceberg ...
Après "peut on agir volontairement sur des parties du corps ?" , je sais pas trop, mais techniquement, le cablage existe alors il faut juste savoir lequel utilisé ...
-----

[noir_ecaille]

Pour ma part, j'ai toujours considérer le cerveau comme une "machine" hyper complexe...
Il ne faut pas s'arrêter à la notion d'esprit/conscience ...
En réalité les "taches" du cerveaux sont bien plus complexe ( régulation d'une bonne part de tout les phénomènes physiologique de l'organisme).

Certaines tâches (et non pas des "taches" d'encre ) -- au sens phénomène physiologiques -- ne nécessitent aucun contrôle (direct ou indirect) du cerveau (ex : pousse pilleuse, renouvellement des téguments, absorption des nutriments au niveau de l'intestin grêle, immunité...). Ce qui ne veut pas dire qu'il n'existe aucun connexion -- pas forcément liée à une des tâches accomplies par le cerveau, mais parce qu'il n'existe pas un cloisonnement (fonctionnel) étanches entre toutes les fonctions de l'organisme.

On pourrait comparer le rapport cerveau/esprit au rapport moteur/bruit

un moteur est conçue pour entrainer un axe et faire tourner des roues, or quand vous êtes dans votre voiture, vous savez que le moteur fonctionne parce que la voiture vibre, et le moteur "ronronne" ...
Pour moi l'esprit/conscience/âme , c'est le même principe, ce sont des indices qui nous informe que le cerveau fonctionne ... et en fonction de leur "forme" cela nous informe sur les "défauts" de ce cerveau.

Le bruit est un phénomène du niveau moteur et non un phénomène émergent. Sa causalité s'explique aisément en fonction de la fréquence de vibration des pièces, de leur emplacements, des soins apportés (niveau des liquides, usures, rigueur des manipulations...) et quelques autres paramètres que j'oublie. Le bruit a donc un lien causal direct avec le moteur en fonctionnement -- ou pas d'ailleurs

Il a été montrer que certains type de névrose "pouvais" être classé en maladie génétique car il y a une concordance importante entre elles et la défaillance d'un canal ionique dans les neurones.

Ces maladies ne sont pas légions et ce ne sont pas des "névroses" obligatoires -- ou bien vous voulez dire "syndromes" ?
Plus simplement : oui on a un dysfonctionnement chimique -- certains, d'origine génétique -- qui influe sur le comportement, mais cela n'explique pas tout et surtout on hésite à parler de cause -- uniquement si on peut effectuer le cheminement inverse, auquel "tel comportement est un symptôme de tel syndrome".

Et un symptôme n'implique pas qu'on ait affaire au syndrome considéré, ce n'est qu'un indicateur dans le tableau clinique. Ça n'implique pas non plus un facteur de probabilité, seulement une possibilité de plus ou de moins.

(ex : avoir de la fièvre n'implique pas une infection virale, mais c'est une possibilité)

pour moi si nous avons tous un esprit différent c'est parce que la structure de notre cerveau ( architecture global) est différente et cela parce que nous avons tous vécu des choses différentes. Ce qui explique aussi que des jumeaux élevés exactement pareil, ensemble, peuvent avoir des ressemblance de psyché ou pas ( parceque l'un a toujours eu le biberon après l'autre, etc .... ).

Il y a une part d'acquis. Et il y a une part d'inné. Comment expliquer la tendance à pleurer, observer ou "sourire" (on dira plutôt avoir un air arsouille) d'un nouveau né de moins de cinq jours ? Pourquoi certains foetus ont le hoquet et d'autres (de la même mère) non ? D'où viennent les disparités de caractères quand l'éducation reçue est la même ? Qu'est-ce qui explique les facilités de certains dans l'assimilation de telle ou telle chose, et les difficultés des autres ?

Il ne s'agit pas de quantifier les parts de l'inné et de l'acquis -- on constate l'existence de ces deux aspects (inné et acquis).

Comme ça été dit, on commence à bien maitriser l'élément de base. Mais même cela n'est qu'une approche, on prend pas du tout en compte l'impacte des cellules gliales qui pourraient avoir un rôle plus que nourricier ( neuro-modulation, transport d'information par voie chimique).

Que si. Et de bien d'autres. Par exemple on a constaté une corrélation entre myélinisation excessive et mort de certains neurones dans le syndrome d'Alzheimer. On sait que l'agent infectieux de la maladie de la vache folle, version infectieuse, n'est autre... qu'un prion (une protéine) ! On commence à cerner son mécanisme d'action et de propagation d'ailleurs. Les études "autour" du neurone sont nombreuse

Alors oui la notion d'esprit est lié au biologique sous-jacent, et y ai intimement lié ( il suffit de voir la notion de conditionnement), mais c'est que la partie visible de l'iceberg ...
Après "peut on agir volontairement sur des parties du corps ?" , je sais pas trop, mais techniquement, le cablage existe alors il faut juste savoir lequel utilisé ...

Le problème, c'est qu'on commence à bien connaître ces câblages, et qu'on n'a pas réussi à connaître le reste pour autant. Chaque échelle de fonctionnement suit des règles qui ne sont pas translatées au niveau inférieur. On le sait parce qu'on constate l'absence de trace -- il n'y a pas de marqueur du calcul mental pour un neurone, mais on identifie des circuits où il est courant de mettre cette faculté en évidence -- en outre, ça varie énormément d'un individu à l'autre, parfois du tout au tout. Ça c'est pour le niveau cognitif.

Quant au psyché, bhin on ne l'a pas encore localisé -- pas de lobe de la personnalité, de l'éducation, de la spontanéité, de l'imagination, ou de la conscience par exemple.

Le cerveau gardera encore quelques temps (toujours ?) ses mystères


@ Frabrice.g : Merci