Prag

[invitee0678a2f]

Bonjour, je rebondis sur une ancienne discussion, car moi aussi je suis vivement intéressée par un poste de PRAG en IUT p.ex., étant pour l'instant prof de Lycée et chargée de cours dans un département universitaire (docteur avec des publications, etc.., j'ai une qualification aux fonctions de maître de conférences). L'année prochaine, je voudrais trouver un poste de Prag. Je me tourne vers vous pour vous demander si mon échelon dans le secondaire (6) est reconduit, puisque je ne change pas de corps. Je voudrais aussi savoir si ce poste PRAG est cumulable avec des vacations à l'Université. Merci de vos éclaircissements.
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[invite4d540784]

L'année prochaine, je voudrais trouver un poste de Prag. Je me tourne vers vous pour vous demander si mon échelon dans le secondaire (6) est reconduit

Oui oui. Le système de notation et d'avancement est différent ensuite (prise en compte de l'investissement dans la marche de l'établissement plus que des qualités pédagogiques car il n'y a pas d'inspection - enfin, à supposer que les inspections soient utiles de ce point de vue, mais on ne va pas rentrer dans le débat ).

Je voudrais aussi savoir si ce poste PRAG est cumulable avec des vacations à l'Université

Oui, sous réserve -comme dans le secondaire- de l'accord du chef de département et du directeur de l'IUT. En pratique cela ne pose problème que si l'enseignant traîne les pieds pour s'investir à l'IUT (refus d'heures complémentaires et/ou de participer aux tâches administratives et d'encadrement pédagogique).

[invitee0678a2f]

Merci beaucoup de votre réponse. Bien cordialement et à bientôt j'espère

[invitec90578d3]

Oui, sous réserve -comme dans le secondaire- de l'accord du chef de département et du directeur de l'IUT. En pratique cela ne pose problème que si l'enseignant traîne les pieds pour s'investir à l'IUT (refus d'heures complémentaires et/ou de participer aux tâches administratives et d'encadrement pédagogique).

Je nuancerai un peu plus cela. Autant dans le secondaire, les cas de refus de cumul sont exceptionnels, autant ils existent réellement pour les PRAG. Donc cela peut en effet ne pas poser problème, mais il n'y a aucune garantie réelle (j'ai connu un cas d'une personne pourtant investie pour laquelle le cumul a été refusé...).

[A voir en vidéo sur Futura]

[invitee0678a2f]

Merci pour cette nuance. la situation reste cependant rare, j'entends. Cordialement

[invite4d540784]

Je nuancerai un peu plus cela. Autant dans le secondaire, les cas de refus de cumul sont exceptionnels, autant ils existent réellement pour les PRAG. Donc cela peut en effet ne pas poser problème, mais il n'y a aucune garantie réelle (j'ai connu un cas d'une personne pourtant investie pour laquelle le cumul a été refusé...).

Effectivement, j'ai peut être parlé trop généralement, mon point de vue n'est basé que sur mon établissement et des échos reçus de 2 ou 3 autres...

En revanche pour le secondaire c'est moi qui suis plus réservé que toi : en tant qu'"employeur", j'ai eu plusieurs fois des vacataires enseignants en lycée qui n'avaient pas eu d'autorisation (car manque de profs dans le secondaire, forte pression du chef d'établissement pour faire prendre des heures supplémentaires, etc.). Et, même en cas d'accord de principe, l'emploi du temps peut être un gros point de blocage : l'emploi du temps en lycée est souvent moins souple à gérer que dans le supérieur (car plus de profs et d'étudiants concernés dans un lycée que dans un IUT), et surtout il est connu, dans beaucoup d'établissements, le jour de la rentrée, ce qui est très contraignant pour pouvoir faire des heures au semestre 1 dans le supérieur.

[invite6b312566]

S'il y a une convention entre l'IUT d'affectation et l'université où tu fais tes vacations, ces dernières seront simplement comptées dans ton service (donc rémunération supplémentaire seulement si tu fais au total plus de 384 h, et payées en fin d'année).

[invitee0678a2f]

Merci de ta réponse.

[invite4d540784]

l'emploi du temps peut être un gros point de blocage : l'emploi du temps en lycée est souvent moins souple à gérer que dans le supérieur (car plus de profs et d'étudiants concernés dans un lycée que dans un IUT), et surtout il est connu, dans beaucoup d'établissements, le jour de la rentrée, ce qui est très contraignant pour pouvoir faire des heures au semestre 1 dans le supérieur.

Tiens, encore un cas appris ces jours-ci : un collègue du secondaire a appris la semaine dernière qu'il n'aura plus, cette année, la demi-journée qui lui permettait d'enseigner dans mon département d'IUT...