Bonjour,
il parait qu'il y a de moins en moins d'etudiants qui font des etudes de physique et c'est pire en chimie. J'aimerais donc savoir ce que font la plupart des etudiants, est-ce qu'ils vont en mecanique, electronique, biologie, etc... ?
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Bonjour,
il parait qu'il y a de moins en moins d'etudiants qui font des etudes de physique et c'est pire en chimie. J'aimerais donc savoir ce que font la plupart des etudiants, est-ce qu'ils vont en mecanique, electronique, biologie, etc... ?
Salut les nouvelles générations ne sont pas folles : quand un jeune étudiant voit son frère ou à sa soeur au chômage après cinq à dix ans d'études post bac : il s'interroge : normal.
Les écoles de commerce, d'informatique, d'infirmières ont la cote.
j'en ai parlé a un prof et il m'a dit que le probleme est que l'état donne ses fonds, en matiere de pedagogie (materiel TP, locaux d'ensignements..) en mesures du nombres d'étudiants donc moins ils ont de monde, moins ils ont de fonds moins ils sont attractifs.
est ce vrai? car je pense que la question des fonds est beaucoup plus complexe que ca!
en tout cas pour le nombre d'etudiants en sciences, il est vrai q'on est face a une "penurie".
en faisant le rapport "debouchés et remuneration sur "investissement personnel et difficulté du cursus" , les sciences ne font pas le poids, en regle general, face des etudes dans le commerce.
je sais que c'est une generalisation facile mais c'est l'echo que j'ai quand je discute avec des lycéens.
un prof de math m'a dit qu'il avait deux etudiants de tres bon niveau en maitrise, l'un a fait un master a HEC l'autre un magistere. du point de vue remuneration ya pas photo, et pourtant en terme de merite on ne peut pas dire que l'un est au dessus de l'autre.
Les profs de fac ont souvent des retours très intéressants sur le devenir des étudiants particulièrement en master, c'est pour cela que j'ai toujours répondu aux sondages de ma fac : si ça peut aider les étudiants à mieux se faire une idée.Envoyé par chwebij(...)l'un a fait un master a HEC l'autre un magistere. du point de vue remuneration ya pas photo, et pourtant en terme de merite on ne peut pas dire que l'un est au dessus de l'autre.(...)
Sinon il y a encore de l'engouement à cause des séries TV pour les biotechs ou l'astrophysique mais souvent quand les étudiants découvrent vraiment ce que c'est, il y a beaucoup de "morts" sur la route.
Je suis assez d'accord. Même dans ma promo, il n'y a en fait pas tant d'étudiants que ça qui feront de la recherche plus tard. Bon le reste s'oriente vers l'enseignement, qui est aussi un des buts de formation de la fac...
Sinon actuarius, je suis assez curieux : tu peux me citer une série TV qui met en avant l'astrophysique ?
Je croyais que c'était l'attrait pour les étoiles, le soir, au coin du feu, qui était moteur de cet engouement qui effectivement en laisse beaucoup sur le carreau (l'astro, c'est dur !)
Souviens-toi, on a eu droit il y a quelques temps à un specimen qui souhaitait faire de l'astrophysique, selon ses dires, comme Samantha Carter dans Stargate SG1.Envoyé par 09Jul85je suis assez curieux : tu peux me citer une série TV qui met en avant l'astrophysique ?
De façon plus générale je pense que l'astrophysique n'a pas besoin de série TV pour attirer du monde
Salut.
Les séries TV aident sûrement à attirer les étudiants, moi même dès la maternelle, je voulais faire de la génétique , à cause du dessin animé spiderman .
Un exemple flagrant serait la police scientifique . Peut être qu'en passant plus de séries scientifiques on aurait plus d'étudiants (-_-).
Bonne continuation.
salut moi j'aurai des questionen se qui conserne le doctorat en sciences
Pour vous donner un ordre d'idée:
la fac de Dijon, ça donne environ 200-300 étudiant en sciences la première année. M1 Physique: une grosse vingtaine. M1 Chimie: une petite cinquantaine, M1 Maths et info (à la louche): 100.
Beaucoup d'étudiant partent à l'IUFM, et/ou passent l'Agreg', tous les autres sont partis.
Il est à noter que l'Allemagne est en avance sur nous pour la désertion en thèse. Souvent, les thésard sont des trentenaires qui reprennet leurs études après une ou plusieurs expériences pro.