Bonjour,
dans mes cours de mécanique, je lis que lors de l'élaboration d'un ressort, on peut faire un revetement électrolytique (pour raisons X et Y, on s'en moque).
Il est spécifié qu'il y a un problème, c'est que l'ydrogène diffuse dans le métal. Il faut chauffer le métal vers 160°C pendant 30 à 90 min pour expulser l'hydrogène.
On ne peut pas utiliser ce principe pour stocker l'hydrogène?!?
tout depend de la densite d'hydrogene dans le metal si ce sont justes des impuretés je ne pense pas que ce soit une solution viable.
mon prof de matériaux m'avait parlé du stockage de l'H2 dans un materiau (je ne sais plus lequels, du carbone je crois) dans des sites interstitiels mais le plus gros problème etait de déstocker ce H2
mais effectivement c'est une des pistes du stockage de l'H2.
AH NON! au moment où la petite flûte allait répondre aux cordes. Vous êtes ODIEUX!!
Salut,
Concernant le stockage qu'évoque Cougar, il me vient une question : il est possible de stocker de l'hydrogène atomique puisque celui-ci possède un électron libre qui lui permet de se lier chimiquement à d'autres éléments (c'est ce qui se passe en surface de certaines matériaux en CVD avec des gaz hydrogénés). Cependant, ce ne serait pas possible avec la molécule dihydrogène... ? Me trompé-je ?
j'ai touvé ca sur internet
http://energie.cnrs.fr/rapport/GAT/GAT_4%20.pdf
http://energie.cnrs.fr/rapport/PRI/PRI_4-2.pdf
et effectivement c'est l'hydrogene qu'on piège et non H2
AH NON! au moment où la petite flûte allait répondre aux cordes. Vous êtes ODIEUX!!
Ok merci pour les liens
.Envoyé par chwebij
J'ai connu l'époque où ont été mené des recherches sur le stockage de l'hydrogène dans les métaux de transition. L'ordre de grandeur n'est pas du domaine des impuretés mais plutôt du 1%. Ce genre de solution a été (définitivement?) abandonné.
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Ce n'est pas une bonne idée comme approche. En effet si tu stockes l'hydrogène sous forme de liaisons covalentes, il va falloir une quantité d'énergie énorme pour le déstocker!
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L'idéal serait que l'hydrogène moléculaire se lie spontanément à un matériau avec des énergies de liaisons faibles (si possible stables a température ambiante pour éviter une usine à gaz cryogénique) de sorte que le procédé de séparation soit peu couteux en énergie.
