Bonjour,
Suite à ma rédac "Un seau met la théorie du photon en doute": aujourd'hui, je pousse un peu plus mon raisonnement. La lecture et l'analyse que je vous soumets ci-dessous, doit être
interprétée en faisant abstraction totale des théories actuelles sur le photon.
Avec une manip ultra simple (cf Un seau met la théorie du photon en doute) j'ai mis en évidence qu'une onde électromagnétique ralentie par la diversité des substrats qu'elle "rencontre" durant sa vie errante pouvant atteindre plusieurs milliards d'années, conserve toutes ses caractéristiques principales que sont : le temps, la vitesse, et l'énergie. Avec cette manip nous avons aussi démontré que c n'est pas une constante mais une variable dont la valeur est dépendante d'un milieu. Vous allez rétorquer que c'est une constante valable dans le vide! Oui mais alors! Si une constante est soumise à conditions, elle n'est pas une constante ?
Mais à présent sortons l'onde du seau et plaçons-la dans l'espace. En premier lieu, traçons la ligne verticale de y y' au centre de laquelle nous matérialisons d'un point l'origine temporelle d'un événement. Partant de ce point traçons la ligne x. Ces deux échelles, l'une graduée de 0 à y et -y l'autre de 0 à x décrivent toutes les fonctions d'une onde fut-elle électromagnétique.
Partant du référentiel, (point 0 de notre croquis) projetons le mouvement de la fonction sinusoïdale circulaire. Le moment angulaire t = w t + j de l'onde va se '"déplacer" d'un mouvement pendulaire sur l'échelle des y y' graduée : de 0 à 5 et de 0 à –5. x sera gradué de 0 à 20.
Partant de l'instant t = 0 à t+1, l'onde progresse d'une division sur les échelles des y y' et de x. A t+5, le tracé des y y' est au maximum de l'amplitude. Sur x le parcours atteint la graduation x5 (premier 1/4 onde). Pour atteindre la demi onde sur l'échelle de x, l'événement aura atteint la durée t +10 et son origine (t = 0) occupe à présent la graduation x10 du figuré x. L'événement ayant accompli la moitié de son action, sur la ligne des y y' l'épisode évènementielle occupe le point d'origine 0 (zéro). Le vecteur x affiche à présent un graphisme en forme de "cloche" renversée. Laissons continuer la fonction sinusoïdale, dans la partie de sa fonction sinus négatif jusqu'à 2 pi. Nous observons à présent la sinusoïde qui remplit l'échelle x sur une longueur de 20 divisions. Le mouvement de la fonction sinusoïdale est maintenant terminé, le point initial 0 (zéro), le référentiel de l'origine événementielle de notre onde n'est plus soumis à quelle action que ce soit. Durant le laps de temps nécessaire à l'obtention de la période définie sur la ligne spatio-temporelle x , l'événement a effectué sur les y y' un mouvement pendulaire de 0 à y5, retour à 0, descente sur y-5, fin de cycle avec le retour à 0. La mémoire de ce mouvement sur les y y', est fidèlement reproduit dans l'espace temporel du vecteur x. Fidèlement reproduit ! Oui ! mais uniquement dans le vide ! Ceci démontre clairement que c, la célérité de l'onde électromagnétique n'est pas une constante. Celle-ci peut néanmoins être définie à partir de la durée originelle du travail accompli sur les y y' qui n'est autre que la fonction inverse de la fréquence de l'onde électromagnétique. Pourquoi une telle méprise est elle passée inaperçue ?
Ceci dit, et si le cœur vous en dit, vous pouvez vous entraîner à démontrer que le fondement même de la constante h de Planck est erroné. Tout comme c, …
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