hello
je souhaiterais savoir comment calculer l'énergie de décompression du CO2 pur en watt/heure
conditions initiales : 400 bar et 500°C
conditions finales : 20 bar et 50°C
merci
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hello
je souhaiterais savoir comment calculer l'énergie de décompression du CO2 pur en watt/heure
conditions initiales : 400 bar et 500°C
conditions finales : 20 bar et 50°C
merci
Une énergie en watts par heure, ça va être très, très dur.
En joules par mole, on devrait pouvoir discuter.
bonjour, je ne suis pas sur de bien comprendre la signification d'une puissace par unité de temps!!! Par contre effectivement des joules par moles, pourquoi pas? Sinon ne parleriez-vous pas du travail des forces de pression disponible lors de la détente?
Au revoir
un peu grillé par Jean-paul
bon je m'explique mon système pourrait s'apparenter à un moteur à piston dans lequel j'injecte du CO2 pur avec ses conditions de température et de pression, je cherche à connaître l'énergie que cela va générer sur l'axe de mon moteur
s'il manque des datas dit le moi
Si on raisonne en termes de gaz parfait, l'énergie ne dépend que de la température (c'est la définition du gaz parfait), elle vaut donc n Cv T où n est le nombre de moles et Cv la chaleur molaire à volume constant qui vaut 5/2 R pour une molécule triatomique linéaire comme le CO2 mais 3/2 R pour N2.
R = 8.315 joules par mole et par degré.
A partir de là on peut calculer l'énergie libérée lors d'une détente adiabatique, qui est le cas idéal. En effet, pas de pertes thermiques, toute la diminution d'énergie part en travail.
Donc l'énergie disponible est n . 5/2 . 8,315 . (Ti - Tf) pour n moles détendues entre Ti et Tf pour du CO2, 3/2 pour N2.
question subsidiaire :ça voudrait-il dire que le CO2 permet d'obtenir une énergie plus importante si on prend un même volume et même température de début et de fin ?
Je pense que le nombre de mole intervient et n = PiVi/RTi
Est-ce que tu veux dire "plus importante que N2" ?
La réponse est oui mais il faudra évidemment mettre plus d'énergie à chauffer le CO2 que N2.
Il n'y a pas de miracle et Carnot fonctionne toujours.
Mais alors si on considère du CO2 industriels liquide qui est stocké sous pression dans des réservoirs (je ne sais plus la pression) et on considère de l'azote liquide à la Pa. Quel est la meilleure solution si on prends en compte l'énergie nécessaire au chauffage des 2 gaz ?
Difficile de trouver la meilleure solution quand le problème n'est pas clairement posé. Quel est le cycle du fluide caloporteur ?
le même qui est utilisé par le projet motorair : www.motorair.net
Je ne la connaissais pas celle-là ! Enfin ce n'est pas plus idiot que les subprimes après tout.
Bonjour.
Vous ne chauffez pas le gaz. Dans un moteur de ce type, vous injectez le gaz à la température ambiante et il se refroidit pendant l'expansion.
Avant, lors de la compression, le gaz se chauffe et il est très utile de le refroidir. Mais cette énergie est tout simplement perdue dans le compresseur.
Au revoir.