Le "quand" et le "où" ?
On sait qu'en physique on ne peut répondre à la question du "pourquoi", donc on répond au "comment" ....
Que dire des question : "quand" et "où", la science est-elle capable de répondre ?
PS : je fait référence à la MQ, par exemple : "Quand commence la décohérence ?" !
Cordialement,
bonjour,
il me semble que, en ce qui concerne la MQ,qu' on ne peut repondre à "quand" et "ou" en meme temps,du moins pour l'instant, de plus, je te pose la question : est-ce qu' une probabilité est une reponse ultime ?
cordialement
D'après ce que je sais, la MQ étant vue comme la théorie de la mesure est complète, çà va être difficile de lui ajouter quelque-chose à part peut-être des axiomes pour l'englober avec la RG mais ... peut-être que tout s'explique par les phénomènes d'interférences quantiques !Envoyé par pithut
Donc les probas ont en aura encore besoin longtemps àmha !
Cordialement,
bonjour,
Par exemple ce que je voulais te dire par là,c'est, est-ce que 50% de chance ici et 50% de chance là repond à la question "Où?"
cordialement
Oui çà peut suffire à y répondre mais alors dans ce cas est-on sûr que l'on pourra toujours répondre à la question "comment" en sciences !
Cordialement,
La réponse est dans l'expérience de Schrodinger, n'est-ce pas octa? :P
Nan la réponse peut très bien se situer en RG avec la non-simultanéité, n'est-ce pas stan !
bonjour,
il me semble que ce que l'on localise c'est un volume certain dans ce cas là,ce qui dépend de la nature réelle d'une particule à savoir ponctuelle où pas...
cordialement
On n'est pas obligé d'être d'accord. Comme l'a dit Joan Feynman à son fils, la question qui se pose c'est «*pourquoi la cuillère tombe*?*», et pas «*comment la cuillère tombe*». On peut répondre à la question du pourquoi, dans une certaine mesure. Le problème est que la réponse provoque d'autres «*pourquoi*», et ainsi de suite, et on se retrouve forcément bloqué à un moment ou à un autre…On sait qu'en physique on ne peut répondre à la question du "pourquoi", donc on répond au "comment" ....
À mon sens, la question du «*comment*», qui s'attache à décrire les effets, et non les causes, est la plus chiante qui soit (mais c'est hélas celle qu'on enseigne à l'école…).
bonjour,
j'entends "volume" comme un nuage contenant toutes les positions probable et où une plus forte probabilité est un "volume dans le volume" soit les positions les plus probables correspondent à une "densité" plus élevée.Maintenant si une particule dans la réalité n'est pas ponctuelle, cela va à l'encontre de la théorie de la mesure, par contre si ce n'est pas un probleme de mesure, que cela veut-il dire ? qu'une particule peut etre à plusieurs endroit en meme temps, que nous dit la RG làs-dessus?
a-t-on pu trancher ou avoir des indices sur l'indétermination en MQ ?
cordialement
Peut-être bien, mais n'y a-t-il pas un arbre des questions fondamentales : Pourquoi -> Comment -> Quoi -> Où <=> Quand -> etc ... comme un détective qui recherche les traces d'un crime ... Par exemple par ordre décroissant d'importance !
Cordialement,
peut-etre bien, mais une question de cet ordre est plus philosophique à mon sens...Peut-être bien, mais n'y a-t-il pas un arbre des questions fondamentales : Pourquoi -> Comment -> Quoi -> Où <=> Quand -> etc ... comme un détective qui recherche les traces d'un crime ... Par exemple par ordre décroissant d'importance !
Cordialement,
cordialement
de plus tout dépend de ce que l'on entends par "importance"...
cordialement
Je pense que les questions sont hierarchisées selon un ordre utilitaire.
Pour moi, le pourquoi s'oppose assez nettement au comment, alors que le où et le quand sont nécessaires à la réponse du second.
On peut essayer de réaliser une théorie en se posant d'autres questions, mais le succès est loin d'être garanti.
D'autre part, on n'a accès qu'à un nombre très restreint d'informations quantitatives : principalement la position : la position d'une aiguille sur une montre, d'un curseur sur une règle, celle du timpan, etc.
Globalement, la question du pourquoi est beaucoup trop soumise à une composante psychologique, et si nous préférons l'éviter en physique, c'est parce que la réponse à la question n'est que rarement unique, et elle conduit inévitablement à d'autres pourquoi.
N'avez-vous jamais eu en face de vous un enfant qui vous posez des questions : "pourquoi la balle roule ?", "pourquoi elle est ronde ?", "pourquoi elle a été fabriquée ronde ?", etc.
C'est presque sans fin. La seule limite est le niveau de compréhension de la réponse par l'enfant (compréhension des concepts, formations de nouveaux éventuellement). Pour les physiciens, les questions sont plus complexes (en fait non, elles sont plus nombreuses, il y a plus de pourquoi posés), mais la limite d'abstraction/de compréhension existe bien sûr aussi.
Par "importance", j'entends le nombre de réponses qui ont été données et qui sont légitimes, c'est à dire capable d'expliquer notre monde !
Cordialement,
dans ce cas je voit pas pourquoi tu donne un ordre d'importance par rapport à des notions fondamentales, ils peuvent tous avoir une importance...
ce qui est important alors c'est de savoir si on peut répondre à chacunes de ces notions...non?
Oui, il est important de préciser les notions "utiles" !
