salut tt le monde..j'ai trouvé un exercice qui me semble illogique !!
on étudie la sédimentation des macromolécules dans une solution..sachant que l'hauteur du tube est de 8 cm et qu'ils sédimentent à une vitesse constante= 5. 10-11 cm/s..calculer l'accélération à une distance de 4 cm de la surface..
c'est bizzard non?? ils disent dabord que la vitesse est constante puis il faut calculer l'accélération??en plus j'ai toujours cru que dans ce cas l'accélération est la pesenteur non?
Bonjour.
C'est n'est toujours pas nécessaire de crier.
C'est même très désagréable.
Oui, c'est bizarre. D'autant plus que la vitesse est constante et que le temps de sédimentation est de l'ordre de 3000 ans.
Donc, l'accélération est zéro.
Au revoir.
je ne comprends pas ..pourquoi vous pensez que je cris???
merci LPFR ..c'est ce que je me disais aussi.
Re.
C'est l'effet qui fait l'utilisation d'une grosse fonte bien noire. Ou de simplement écrire en majuscules.
A+
aaahh je ne savais pas ...désolée LPFR ..je ne voulais pas être désagréable..vraiment..merci encore pour ton aide.
cordialement,
Bonjour.
Attention , je n'y connais rien en sédimentation, mais dans une solution fermée et limitée, quand les macromolécules sédimentent , elles diminuent en nombre, et donc la vitesse de sédimentation devrait baisser, non ?
Il y aurait donc bien une accélération !
Cordialy
1max2mov
vous savez..c'est un sujet d'examen..donc ce qu'a dit triall peut bien être exact...mais j'arrive pas à comprendre
Bonjour
J'avoue que je ne comprends pas bien non plus .Ce qui m'a fait raisonner comme cela c'est que dans la mer la sédimentation est due au dépot de minuscules organismes ou autres qui naissent, meurent (qui sont renouvelés) , ce qui donne sur le fond, je crois ,une sédimentation constante en m/s (ou en mm par année... )
Dans le récipient il n'y a pas renouvellement, donc j'en déduis que la vitesse de sédimentation ne devrait pas être constante comme dans la nature.
Indiquez moi comment fonctionne la sédimentation dans un tube, et peut-on avoir l'énoncé complet .
Je ne comprends pas du tout ce qu'il se passe à 4 cm de hauteur ...
Cordialement
1max2mov
B'jour,
Peut-être parce que la densité du fluide diminue, ce qui modifie le rho g h et donc la poussée d'Archimède.
Je pense qu'il faut connaître quelques formules et coefficients plus ou moins empiriques.
Mais si t'as l'gosier, Qu'une armure d'acier, Matelasse. Brassens, Le bistrot.
voilà l'exo....
Un tube maintenu vertical contient des macromolécules en solution; on laisse ces macromolécules sédimenter sous l'action de la pesenteur. Ces macromolécules sédimentent au fond du tube à une vitesse constante égale à 5. 10-11. La surface libre de la solution se trouve à une distance de 8 cm du fond du tube.
1- Calculer l'accélération à laquelle sont soumises les macromolécules qui se trouvent à 4 cm de la surface libre de la solution.
2- Déterminer le tps minimal necessaire pour que toutes les macromolécules de la solution sédimentent au fond du tube.
Bonjour, désolé en me documentant je viens de voir que la vitesse de sédimentation c'est la vitesse limite des macro molécules, je croyais que c'était la vitesse de formation de la couche de sédiment !
Donc la vitesse limite au fond à 8 cm est 5. 10-11.cm/s
A 4 cm les macro..n'auraient pas atteind leur vitesse limite donc .
Il faudrait peut être connaître la force de frottement des molécules , qui doit être fonction de leur vitesse , faire le bilan des forces , écrire que c'est égal à m
Equation différentielle à résoudre. On sait quand même que
Si l'on savait l'allure de cette équation, on pourrait déterminer à quoi est égal
Il n'y aurait pas une histoire de logaritme là dessous ?
Je réponds surtout pour faire remonter le sujet aussi...
Bonne chance.
1max2mov
Bonjour.
J'insiste en que l'accélération est nulle partout. Avec une telle vitesse toutes les molécules atteignent la vitesse limite en une fraction de seconde et tombent à vitesse constante.
La question originale n'a pas de sens.
Le mouvement Brownien est infiniment plus rapide que la vitesse de sédimentation.
Au revoir.
