L'approche classique de l'énergie totale de mode contextuel a abouti à l'expression de Pierre Simon Laplace qui, considérant le cadre mathématique de Gotfried von Leibniz et de Isaac Newton, détermine l'énergie potentielle Ep et l'énergie cinétique Ec en une somme telle que: Et = Ec + Ep.
Cette approche, quoique séduisante en ce sens qu'elle admet implicitement que la variation de l'énergie totale est constamment nulle et conclut donc que l'énergie totale Et est constante, n'explique cependant pas l'énigme suivante consistant en l'observation théorique que si l'énergie totale est indépendante du milieu ou son potentiel V circule, cette énergie Et devrait etre infinie ! Ce que l'observation réelle contredit !
Un progrés est réalisé quand la définition de l'énergie Et est exprimée en fonction du potentiel, soit: Et = V²*t / Z ou cette fois-ci l'énergie totale dépend du milieu d'impédance Z: on retrouve l'expression de Laplace quand la valeur de Z est constante; mais à présent, ce modéle dit structuraliste, est beaucoup plus riche puisqu'il décrit aussi le cas ou Z est variable ! On doit donc définir cette impédance du milieu comme une structure du modéle de l'énergie totale qui, dans le cas Z = variable, l'énergie totale ne peut plus etre tenue logiquement pour constante, ce progrés contredit donc le résultat de Laplace ! L'observation de la non infinitude de Et s'explique très bien par la valeur non-nulle de Z, ce qui est rassurant à posteriori.
-----