Salut à tous les scientifiques amateurs.
Je viens du monde des sciences de l'information. Et je vous livre une petite analyse philosophique.
Les sciences de l'information sont un nouvel outil, extrémement puissant, qui permet de modeliser le réel suposé. Au départ un peu comme les mathématiques.
Malheuresement celles ci sont déroutantes pour beaucoups de par leur formalisme viellot. Elles compliquent inutilement la physique en empéchant l'homme de visualiser ce dont ils parle. Certains même, ne parlent plus que de maths et sont déconectés de la réalité. C'est surement pour cela qu'il est trés difficile de trouver un document qui explique sans ambiguités les phenomenes quantiques. Les scientifiques ne savent meme plus expliquer leur science !
Avec les sciences de l'information le contexte est toujours présenté (et non sous entendu), les variables sont nomées (plus d'une lettre incompréhensible) et ont un sens, elles sont typées, déclarées, référencées, les formules sont remplacées par des algorithmes (...) Bref on écarte le nombre dantesque de sous-entendu que l'on peut voir dans le moindre article mathématique.
Une autre différence importante porte sur la remise en cause d'une large partie des maths: ici n'existe plus que les Entiers. Pas de Réels, Complexes, ni meme Quotient. Et l'ensemble des Entier n'est pas représentable, car ils sont caractérisés par une précision qui équivaux a leur longeur. Pour le reste tout est approximation, donc erreur.
Ceci est une lourde remise en question des acquis mathématiques, mais pour défendre ce point de vu, je dirait que rien n'indique que la nature soit 'continue'. Au contraire le quantique nous affirme que rien n'est continue, et en ce sens je ne comprend pas que l'on n'y remplace pas enfin les équations continues par des équations discrétes. Peut etre les maths sont elles en retard sur l'étude du discrét, et ne peuvent le faire ?
Les sciences de l'informations ont un autre avantage, la notion d'objet/classe. C'est comme si elle intégré dans sa conception la relativité. Tout y est relatif car chaque objet est indépendant des autres (variables/données) mais peut etre classé par type avec des fonctions communes (methode de classe).
La physique théorique est dans l'impasse depuis un demi-siécle, mais je pense qu'elle est a l'aube de son plus grand bouleversement: l'intégration d'un nouvel outil de conceptualisation, les sciences de l'information.
Je recherche a ce propos des modélisations physique qui utilisent un language moderne tel UML.
Si quelqu'un en connait...
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