Bonjour à tous,

L'expérience de pensée dont j'aimerais avoir une réponse est celle-ci :
Tous d'abord je décide d'exprimer les vitesses dans le repère du fond diffus cosmologique (qd il est isotrope pour v=0) et je les expriment sous la forme du décalage en fréquence causé par le mouvement (entre la fréquence reçue dans le cas ou le fond est homogène ET le point "le plus chaud", "de fréquence maximal", "dans la direction du mouvement"). J'espère être clair,

Maintenant "vitesse" sera entendu comme cette différence de fréquence.

Si mon vaisseau spatiale v à une vitesse de 1 Hz et que j'ai par rapport à mon vaisseau une vitesse de 1 Hz (j'entends par là que je parcours mon vaisseau dans le même laps de temps que lorsqu'il était immobile à 0 Hz avec ma montre à mon poignée).

Es-ce que j'observe une vitesse de 2 Hz en RG ?
J'espère que la question n'est pas trop mal posée...

J'ai par exemple rapidement trouver avec un calcul classique :
L'expression Fv = F*(1+v/c) pour l'effet doppler d'une source sonore à la fréquence F de célérité c par rapport au milieu observé par un recepteur de vitesse v. Ce qui donne pour la vitesse comme présenté ici V[Hz]=F*v/c. Comme c'est une équation linéaire et que la composition est valable pour v (en classique) cela sera aussi valable pour V[Hz]. (rien d'étonnant tous est classique ici)

J'ai pensé à ça à cause du fait que certaine galaxie ont un redshift supérieur à 1. Ceci m'a fait penser que ça pourrais être un moyen de mesurer les vitesses en Hz sans limites possibles hautes.
Ensuite ce que j'ai pu lire sur l'éther, notamment l'analogie avec la vitesse du son comme limite indépendante de la vitesse de l'émetteur (pas du récepteur contrairement à ce que la lumière fait vraiment). Tous ça m'a fait penser à cette question,

Merci à vous de pas vous moquez, et excuser l'orthographe,