Détermination théorique du zéro absolu - Page 2
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Détermination théorique du zéro absolu



  1. #31
    obi76

    Re : Détermination théorique du zéro absolu


    ------

    Et pour terminer,

    avec tout le respect que je dois au professeur qui a écrit ce TP, je suis sceptique sur un point. Je cite :
    loi des gaz parfaits :
    PV = nRT (1)

    echelle de température :
    T = 273.13 + (2)

    [...]

    donc si V=0, °C (3)
    Etant donné que (3) est STRICTEMENT équivalent à (2), la conclusion qu'il en tire dépend donc simplement des conditions initiales qu'il a prise pour l'équation 2. Je ne vois pas très bien comment il peut en déduire quelque chose avec ça...

    -----
    \o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/

  2. #32
    b@z66

    Re : Détermination théorique du zéro absolu

    Citation Envoyé par obi76 Voir le message
    En réponse à b@z66 pour le TP qu'il nous a transmi, passer à van der waals est tout bête : au lieu de faire tendre V vers 0, on le fait tendre vers le volume occupé par les molécules. C'est donc une grosse approximation en ces températures.

    Évidement, dans le cas d'un TP niveau lycée, on ne va pas leur coller une équation cubique, sinon je ne suis même pas sur qu'il existe une solution analytique (ou si oui, incalculable simplement). C'est une très bonne approximation, mais quand on me parle de micro-Kelvins je doute que ce soit suffisant...

    Cordialement,
    OK, alors on est donc d'accord. Et sinon, encore merci d'avoir encore détailler la méthode que tu avais auparavant évoqué.
    La curiosité est un très beau défaut.

  3. #33
    invitea350fd50

    Re : Détermination théorique du zéro absolu

    Citation Envoyé par LPFR Voir le message
    Re.
    Non. Ce n'est pas une question de définition. Dans l'échelle Celsius vous définissez le point triple et le point d'ébullition de l'eau. Et le zéro absolu ne peut être que mesuré.
    Pour le kelvins on cale le zéro sur le point mesuré pour les Celsius.
    A+
    Il me semble que justement si vous changer la définition de l'échelle (pourquoi l'eau? pourquoi pas le méthane ? ou l'azote ?), vous changez la valeur numérique de 273 en tout autre chose, c'est en ce sens que je parle (visiblement vous aussi cf votre citation) de définition.
    Pour ce qui est de la détermination de la valeur numérique par des considérations de thermodynamiques et/ou physique statistique il devrait être possible de trouver la correspondance, dans la limite de validité des modèles. Tout cela dépendant de la définition du Kelvin, historiquement choisi pour que la conversion Kelvin/Celsius soit "simple".

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