Bonsoir,
Voilà quelques temps, j'ai montré que les symétries intrinsèques aux formules de Planck plaçaient la valeur A, fonction de la constante de structure fine alpha sans dimension, au cœur de notre espace-temps : http://entrelacs.c.la/
Comme un lambda calcul, λα.E génère dans cette arène une sorte de fractal où l'information qui y prend corps se comporterait comme une "métonymie d'une partie pour le tout" E. Si chaque nœud, chaque métaphore, représente une composante motrice du système, alors ces composantes sont présentes à toutes échelles du système.
Les exposants de lois de puissance, dans cette figure 5 ( https://sites.google.com/site/entrel...et-information) pour C et dans la conclusion (https://sites.google.com/site/entrelacsbrunnien/essai) pour la charge élémentaire, sont des arguments en faveur d'un tel univers.
En voici encore un aperçu :
La loi de Koide établit une relation entre la masse des trois leptons chargés ; le rapport devrait plutôt se référer à la somme du carré des masses, car en fait
2(me^1/2 + mμ^1/2+ mT^1/2 )2 ≈ 3(me + mμ + mT ) ≈ (me^2 + mμ^2 + mT^2 )10^27
Plus fort encore, (me^4 + mμ^4 + mT^4) ≈ me^8 + mμ^8 + mT^8 d'un rapport 0,999975 !
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