Bonjour,
Celle-là est bien bonne : on prétend faire mouvement perpétuel (appelons un chat un chat), et on pense qu'on peut négliger le rendement !
Ok...
Donc, sauf erreur de ma part, il y aurait autosuffisance si :
Energie de chute >= Energie d'électrolyse (constante) - Energie de combustion (constante) + Energie minimale d'évaporation (constante)
Du coup, mon hypothèse me semble correcte...
whoami> Je ne le néglige pas, j'émets l'hypothèse qu'il puisse être compensé par la hauteur du système... tant que le rendement est supérieur à 0.
La seule chose, selon moi, pouvant rendre l'électrolyse inutile, c'est si :
Energie d'électrolyse (constante) >= Energie d'électrolyse (constante) - Energie de combustion (constante) + Energie minimale d'évaporation (constante)
Pardon, j'ai fait une erreur dans mon dernier post.
Electrolyse inutile si :
Energie de combustion (constante) - Energie minimale d'évaporation (constante) <= 0
Ce qui n'est pas le cas...
En prenant les résultats de NTT (59%), pour un litre d'eau :
5130 kJ * 0.59 - 2257.92 kJ = 3026.7 kJ - 2257.92 kJ = 768.78 kJ
Ce qui nous fait donc une chute de 444.568,8073394495m, pour atteindre l'autosuffisance (ce à quoi il faut ajouter les pertes...).
Bonjour,
En plus, l'hypothèse elle-même contient un élément qui tue le système :
Cette condensation par échange avec l'extérieur implique des pertes d'énergie.Bonjour à tous,
Prenons un système parfaitement isolé (thermiquement) hormis à son sommet, afin qu'il y ait une condensation qui s'y forme.
Si je fais une électrolyse continue et, tout en bas du système, j'y brûle les gaz produits (accessoirement, juste sous le bac à électrolyse, pour améliorer le rendement) et laisse les vapeurs remonter dans le système.
Ces vapeurs se condensant reforment de l'eau qui s'écoule dans un tube parallèle, via un siphon.
En ajustant la hauteur du système et en récupérant l'énergie de chute, dans le 2ème tube, qu'est-ce qui pourrait empêcher le système d'être auto-suffisant?
Merci d'avance pour vos réponses.
Par quoi remplaceras-tu l'énergie ainsi perdue ?
Bref, inutile de te décarcasser à défendre ton idée, c'est une tentative de mouvement perpétuel, donc impossible, et pour lequel tu introduis d'origine une perte systématique d'énergie, ce qui aggrave encore le cas.
Je sens que ce sujet ne tardera pas à être fermé.
Et puis une "chute" de 444 km, ce n'est pas possible, la poussée d'Archimède au mieux pourrait te la faire grimper vers la 50aine de killomètre (ordre de grandeur). Comme je le disais : monter plus haut veut dire plus d'atmosphère, plus de pression en bas, et donc plus d'énergie pour vaporiser les composants
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
J'ai trouvé ce qui cloche dans votre raisonnement :
L'énergie d'électrolyse n'est pas constante, l'énergie minimale d'évaporation non plus : elles dépendent de la pression où elles sont effectuées, DONC de la colonne d'air au dessus, DONC de la hauteur de chute de l'eau
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/