bien, je vois ici qu'il y en a ici qui sont prêts à faire avancer la discussion (et donner raison aux autres quand il le faut)... et d'autres pas vu que je n'ai eu aucune réponse à ce post...ok, tu marques des points. Je pense que le fait qu'il soit définit généralement comme un phénomène inélastique est parce que expérimentalement, un électron est arraché d'un solide et ensuite se comporte comme un électron libre. Ce n'est donc pas élastique... mais dans les expériences "conventielles" de Compton, les énergies des photons sont tellement grandes que les 3-4 eV nécessaire pour arracher l'électron ne comptent pas; ce qui fait que de façon effective, on a une collision élastique...
Note: j'avais dit plus haut que je n'aimais pas du tout cette page wikipedia !! et j'avais même déjà dit que c'était plein d'approximations et d'incohérences... maintenant on y voit plus clair
Salut,
Dans l'immédiat j'ai pas trop le temps, mais je me manifesterai sous peu.
Cordialement
Ludwig
Bonjour,
Voila j'ai un peu de temps pour revenir sur cette affaire. J'avais donc dit que je n'étais pas convaincu de l'aspect collision entre électron et photon.
Lors d'une étude spectrale (Optique) des éléments périodiques, il apparait des séries complétes (spectres) pour les éléments considérés. On peut dans certain cas, observer des longeurs d'ondes identiques pour certains éléments. On peut alors, dans certain cas reconstituer des liaisons chimiques à partir de ces longueurs d'ondes.
Ceci me donne à penser que le modèle mécaniste n'est pas forcement le bon. J'aurai donc tandence à pencher vers un modèle ondulatoire qui me semble bien plus approprié et surtout plus satisfaisant.
Dès lors on peut me semble t'il en se basant sur les longueurs d'onde des éléments périodiques, construire une matrice d'état ou les pôles (Valeurs propres sont obtenues à partir des longeurs d'onde des éléments périodiques.
J'ai déja cité le cas de l'hydrogène avec ses 16 pôles complexes conjugués (deux doubles). Ici une réflexion sur les valeurs propres dégénérés s'impose aussi. Une autre réfexion sur la réduction du paquet d'onde s'impose également, ça resemble d'avantage à une affaire introduite par l'aspect mathématique, un peu comme les non linéarités que nous introduisons par nos modèles.
Cordialement
Ludwig
Le collapse au moment de la mesure apparaît dans le formalisme mathématique oui.
C'est sur comment il convient de l'interpréter que les multiples théories de la PhyQ s'opposent depuis 90 ans.
Dernière modification par Nicophil ; 24/12/2013 à 13h51.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Bonjour,
ce que tu as ecrits est juste. Le probleme est que ce que l,on appelle usuellement effet compton c'est un modele de collision entr un electron libre et un photon et donc une collision elastique. Autrement dit on n 'a pas a tenir compte de la maniere dont sont issus les particules libres. maintenant en pratique l,energie de l'electron libre est beaucoup plus grande que l'energie de liaison de l'electron et le modele est correcte. Si par contre l'energie de l'electron libre est du même ordre de grandeur que l'energie de liaison alors il s 'agit d'un phenomene de phototïonisation qui est bien un processus fortement inelastique puisque une partie de l'energie du photon a servi a arraché l'electron.
Conclusion: On ne peut pas faire abstraction du domaine d'energie pour qualifier un phenomene. D'ailleurs si un photon d'energie superieur a 2.m.c2 en prsence d'un electron immobile va creer une paire electron positron, ce qui estbencore un autre phenomene qui lui se comprendd dans le cadre QED.
Salut
D'abord je te souhaite un joyeux Nöel.
Ensuite laisse moi te dire que je suis ébahi et agréablement surpris par ta conclusion, serais-tu en train de devenir un Automaticien?
Bien sur la circulation de l'énergie au travers des systèmes est le point central de toute l'affaire, je ne peux que souscrire.
Tu verras on finira par s'entendre.
Cordialement
Ludwig.
Il y a d'autre Leitfaden
Joyeuses fêtes de fin d'années
Patrick