Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Quand quelqu'un raconte n'importe quoi, ça ne veut pas dire qu'il «fait des maths et pas de la physique», ça veut juste dire qu'il raconte n'importe quoi. Je comprend pas ce que les maths ont à voir là dedans.Où est-il question de postuler quand on cherche à calculer la probabilité de présence d'un électron sur son orbitale 1s ?
Là, je ne postule pas que l’électron se trouve quelque part, je sais qu'il y est.
Hors, à cause d'une condition qui est légitime et qu'on impose comme étant égale à 100%, toi, tu trouves une erreur de signe et tu en déduis que l'électron n'existe pas ?
J'appelle ça faire des Maths, pas de la physique.
Je n'en déduis pas que l'électron n'existe pas j'en déduis que l'électron est 100 % présent avec la condition de normalisation calculable à la valeur 1, ce qui n'est possible que, toujours selon le calcul de l'intégrale de normalisation, (et oui, çà se calcule une intégrale, comme a du le faire L. de Broglie en 1923) que si le rendement du niveau est sur-unitaire au sens où le photon non émis interne (virtuel) sert à stabiliser la présence de l'électron sur son état et son niveau d'énergie. Mais en aucun cas que l'électron n'existe pas, mais que sans ce photon, le niveau n'est plus stationnaire et la condition de normalisation, qui est une intégrale calculable, entrainez-vous, passe de la valeur 1 à 0; ce qui explique bien la raison pour laquelle ce photon n'est pas rayonné: son énergie stabilise le niveau et l'état, rien de plus...Bref, rien à voir avec les foutaises habituelles sur un rendement sur-unitaire magique et hérétique !
De cette hypothèse, on peut en déduire que l'énergie cinétique de l'électron sur son niveau d'énergie est proportionnelle à un produit scalaire du spin d'un photon et du spin de l'électron; on peut en déduire la valeur de la vitesse associée au niveau, qui peut etre comprise comme celle de l'électron qui ne ressent plus le potentiel sur son niveau quand la condition de normalisation est égale à 1 et dont l'énergie totale peut etre considérée comme de la pure énergie cinétique de rotation.
Le calcul traditionnel donne V = 2 pi K e² / h et le nouveau calcul donne V = h / 2 pi m R ; ces deux valeurs sont complètement égales: en les égalant on retrouve ( pour le nombre quantique principal n = 1 pour l'hydrogène atomique) la rayon R = h² / 4 pi² K m e² = ao = 0, 53 A; ce qui est remarquable !
Quand je dis que tu fais des maths et pas de la physique ce n'est pas n'importe quoi, la condition de normalisation ne se calcule pas, elle est imposée selon le modèle qu'on veut calculer.
Exemple :
Quand j'impose la condition je ne calcule pas la condition elle-même mais la somme des aires qui se trouvent sous la courbe qu'on a voulu décrire.
Pas besoin de supputer quoi que ce soit si c'était pas égale à 1, c'est toujours égale à 1 puisque c'est la condition sine qua non.
Dans ce genre d'intégrale, la seule chose qui pourrait être égale à 0 c'est une certaine région de l'espace, et encore, puisque par définition ce qu'on cherche à décrire(dans mon exemple) remplit TOUT l'espace, alors on ne trouvera jamais 0.
L'electronique, c'est fantastique.
Excuse moi, mais il y a pleins de choses dans ce que tu dis qui ne veulent rien dire. Par exemple, le «rendement d'un niveau» ça ne veut rien dire du tout. Et le photon n'a rien à voir là dedans.Je n'en déduis pas que l'électron n'existe pas j'en déduis que l'électron est 100 % présent avec la condition de normalisation calculable à la valeur 1, ce qui n'est possible que, toujours selon le calcul de l'intégrale de normalisation, (et oui, çà se calcule une intégrale, comme a du le faire L. de Broglie en 1923) que si le rendement du niveau est sur-unitaire au sens où le photon non émis interne (virtuel) sert à stabiliser la présence de l'électron sur son état et son niveau d'énergie. Mais en aucun cas que l'électron n'existe pas, mais que sans ce photon, le niveau n'est plus stationnaire et la condition de normalisation, qui est une intégrale calculable, entrainez-vous, passe de la valeur 1 à 0; ce qui explique bien la raison pour laquelle ce photon n'est pas rayonné: son énergie stabilise le niveau et l'état, rien de plus...Bref, rien à voir avec les foutaises habituelles sur un rendement sur-unitaire magique et hérétique !
Ah non, il y a erreur, la Condition de Normalisation se calcule avec une intégrale définie avec les bornes - ∞, + ∞ et c'est là que le bat blesse justement
Bonjour a tous.
Ce fil ne respecte pas la chartre qui n'accepte pas les "théories" personnelles.
Il serait temps de le fermer.
Oh, tout le monde sait ce qu'est un rendement sur un cycle; on peut très bien définir un niveau d'énergie après l'avoir rapprocher de ses propriétés thermodynamiques et le considérer mathématiquement et thermodynamiquement comme un cycle, meme si la trajectoire de l'électron n'est pas définie ! Charmant et surprenant; nier qu'on est en présence d'un cycle pour éluder le calcul de son rendement, n'est pas ce qu'on fait de mieux pour échapper aux lois de la thermodynamique parce qu'on n'a pas l'habitude d'en calculer avec une énergie interne comme ce photon; l'oublier c'est faire que le calcul de la moitié de l'intégrale et pas de la totalité et qui est bien égale à 0; je sais bien que l'enseignement secondaire n'apprend plus à calculer des intégrales difficiles...il faut se recycler en permanence, comme les médecins...
Essaie de placer un -infini dans l'intégrale que j'ai donné en exemple et tu verras que ça n'a pas de sens physique si ce n'est qu'un volume négatif c'est une volume positif qui se trouve aux coordonnées opposées de x, y, z, les coordonnées 0, 0, 0 étant celle du noyau.
Sinon, donne un exemple concret, calculs à l'appuie, il y aura bien un spécialiste pour y regarder de près.
L'electronique, c'est fantastique.
Quand je dis que tu fais des maths et pas de la physique ce n'est pas n'importe quoi, la condition de normalisation ne se calcule pas, elle est imposée selon le modèle qu'on veut calculer.
Exemple :
Quand j'impose la condition je ne calcule pas la condition elle-même mais la somme des aires qui se trouvent sous la courbe qu'on a voulu décrire.
Pas besoin de supputer quoi que ce soit si c'était pas égale à 1, c'est toujours égale à 1 puisque c'est la condition sine qua non.
Dans ce genre d'intégrale, la seule chose qui pourrait être égale à 0 c'est une certaine région de l'espace, et encore, puisque par définition ce qu'on cherche à décrire(dans mon exemple) remplit TOUT l'espace, alors on ne trouvera jamais 0.et justement non l'integrale est défini entre 0 et +l'infini.
Il s'agit d'une integrale sur d3r en coordonnées sphériques (r, théta, phi). Le r designe une norme et est donc forcément positif. En conséquence on intégre bel et bien entre 0 et l'infini et non pas entre - ∞, + ∞. Regarder n'importe quel cours de L1 sur les différents systèmes de coordonnées pour plus de précisions
Bonjour,
Compton a été banni. Il sagit d'un ancien troll (MarioB) qui avait essayé de se déguiser pour récidiver. En tous cas votre remarque révèle bien son niveau... Bref, il n'y aura plus de théorie farfelues et/ou personnelles sur ce fil, du moins de sa part.
Pour la modération,
Dernière modification par obi76 ; 05/03/2014 à 17h49.
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
Bonjour,
Ce fil en en est a 42 messages a partir d'un fil lancé sur des considérations purement farfelues. Ne serait-il pas raisonnable de fermer celui-ci?
Bonjour,
Tout à fait !
Pour la modération.
Not only is it not right, it's not even wrong!