bonjours, une question à propos de l'expérience EPR versus inégalité de bell...
les inégalités de bell ne servent-elles pas à démontrer l'existence de corrélation en dehors du champs de probabilité classique..
et les intriquas, les variables cachés, la non-localité, n'était-elle pas pas théoriquement "les solutions/explications" au problème de l'expérience de pensée EPR...
ma question... si les intriquas sont des solutions "possibles" d'EPR, donc non-démontré... pourquoi Bell pose ses inégalités en utilisant comme base d'etudes, ces états quantique ? alors que la finalité de ses inégalités semble-t-etre précisément la démonstration que la solution des variables caché n'existe pas et que donc ils faut penser comme solution soit aux intriquas, soit à la non-localité comme solution ... (l'une ou l'autre seulement, pas l'une et l'autre)
il y a là, un truc que j'ai du mal à saisir... je pensais que bell posait ses inéquations sur des probabilités classique avec des paires de photons non-corrélé et que l'on obtenais 3 solutions... dont la possibilité des intriquas...
mais a quoi bon tenter de démontrer des intriquas, si il faut les utiliser comme base de travail pour les démontrer (soit élliminer les variables cachés)... ceci est valide logiquement parlant ?
la question suivante, avec l'expérience d'aspect...
même structure problématique, il est nécessaire d'avoir une source fiable d'intriqua pour produire l'expérience qui en démontrant l'absence de variable caché, démontre qu'il est possible de penser à des solutions quantique (intriqua) ou non-localité... en sachant que ces deux solutions s'exclue l'une l'autre...
normalement les états intriqués ne doivent pas etre démontré avant l'EPR... de plus ces états intriqués vont contre l'interprétation de copenhague puisque l'on est capable de déterminer l'état du photon B avant sa mesure, simplement en mesurant A (fondement même de l'intrication, non ?)
merci pour vos eclairssissements
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