Bonjour à tous.
Je souhaiterai avoir des éclaircissement sur la notion de mise en position :
Tout d'abord, en gros pour faire sa mise en position, on se contente de placer des liaisons ponctuelles sur les différentes faces afin que la mise en position soit :
1 : isostatique
2 : fasse en sorte qu'on respecte les tolérances géométriques
Par exemple si j'ai un cube où je veux usiner le haut et que ce dernier doit être parallèle au bas, je vais placer un appui plan sur la face du bas pour assurer le parallélisme avec le plan du bas de manière correcte.
Est-ce bien celà ?
Ensuite, je vous invite à regarder la fin de ce pdf (les 6 exemples)
http://masson.sebastien.free.fr/STI2...atiqueProf.pdf
1er exemple :
On met l'appui plan sur la face de gauche F2 pour usiner F3 car on veut assurer un parallélisme entre F3 et F2.
Et on veut assurer un bon positionnement de F5 par rapport à F1 (précision à +/- 0.5) : on met donc une linéaire rectiligne.
Dans le premier cas c'est logique de mettre un appui plan à gauche (on est sur d'avoir le plan "à plat" quand on usinera, donc la face usinée sera bien parallèle au plan souhaité).
Mais dans le second cas, pourquoi on met une linéaire rectiligne et pas juste une ponctuelle ???
On ne peut pas mettre d'appui plan ici, dont on en supprime un maximum tout en restant isostatique ????
Sur le second exemple, pourquoi on met pas un appui plan sur la petite face tout en bas ?
Comme ça on est sur d'avoir la coaxialité avec le cylindre de gauche quand on réalisera le petit cylindre de droite.
En fait je comprends pas trop ce second exemple...
Aussi je souhaiterai savoir pourquoi on ne contraint que 5 degré de liberté avec les pièces qui font passer sur la fraiseuse (exemple 1), alors que dans la section juste avant les exemples ils disent qu'en fraisage on doit supprimer tous les ddl.
Enfin, quelqu'un peut il m'expliquer le principe du maintien en position par rapport à la mise en position ?
Merci !!!
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