Bonjour,
voici ce que j'ai retenu, je souhaiterai que vous me corrigiez si ce que je dis n'est pas exact ou si les termes et formulations utilisés ne sont pas adéquats.
En redressement mono-alternance, nous n'avons qu'une unique diode (diode issu d'une jonction P-N). Dans le cas d'une polarisation direct, l'anode est directement relié à la borne + du générateur et la cathode à la borne - (c'est le contraire dans le cas d'une polarisation inverse). En courant alternatif, lors de l'alternance positive (polarisation direct) cette diode est passante ; lors de l'alternance négative (polarisation inverse), elle est bloquante. Le redressement mono-alternance a donc pour désavantage de ne produire un courant continu que lors de l'alternance négative.
>> je ne suis pas sûr d'avoir bien expliqué...
Dans le cas d'un redressement bi-alternance, on parvient, avec un pont de diode, à redresser les alternances positives ainsi que les alternances négatives. Ce second type de redressement est donc plus adapté à une alimentation, qui requiert un source continue (et parfaitement stable)
Cependant en bi-alternance on passe par deux diodes lors de l'alternance positive, et par deux autres lors de l'alternance négative. Il y a donc une chute de tension de 0,7 X 2 , ce qui est gênant lorsque l'on veut redresser des tension de faibles valeurs. (Pour prévenir cette chute de tension on utilisera un transformateur avec un rapport de transformation tel que Umax dans le secondaire soit légèrement supérieur à la tension continue souhaité.)
Après, on peux ajouter que ces deux types de redressements ont l'avantage d'être très économique -- par rapport à quoi ?--
J'ai aussi noté que les diodes bloquants ne sont soumisent qu'à une tension inverse de Vmax >> je ne comprends pas en quoi cela est un avantage ?
Enfin question subsidiaire : dans quels cas utilise-t-on le redressement mono-alternance au final ?
merci !
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