Bonjour,
Je reviens encore une fois sur l'expérience des fentes de Young. Cette fois c'est au sujet de l'expérience faite avec des molécules complexes, par exemple le buckminsterfullerène 60 atomes de carbonne liés par leurs électrons.
Autant pour une particule élémentaire je pouvais admettre (difficilement...) la dualité onde-corpuscule, autant pour les molécules je suis plus sceptique. Ces molécules ont une structure spatiale bien définie qui me parait peu compatible avec la notion d'onde.
L'expérience faite avec ces molécules a mis en évidence des franges qui pourraient s'interpréter d'une autre façon :
On peut supposer que la déviation des molécules en passant par les fentes est quantifiée (quantification des angles de diffraction) dès lors qu'il y a deux fentes (les électrons des surfaces des fentes étant intriqués, ou en résonance, ou via tout autre phénomène), et pas dans le cas d'une seule fente.
Il est aisé de voir que dans ce cas on obtiendrait aussi des bandes, sans que les molécules aient besoin de voyager en tant que 'ondes'...
Il n'y aurait pas de zones d'annulation, simplement des zones jamais atteintes par les molécules car pour y arriver il faudrait un angle de déviation autre que les angles quantifiés autorisés.
Quelqu'un aurait des liens prouvant que mon hypothèse est fausse ? (ce serait facile à vérifier simplement en éloignant pas à pas l'écran, car l'évolution des figures ne serait pas la même dans les deux cas).
Cordialement
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