La théorie du temps, est une théorie qui essaie de modifier les équations sous la forme d’une égalité entre espace et temps. Elle évoque le plus souvent une proportionnalité entre temps et espace, et la causalité.
I). Dimension et réalité.
Ce titre un peu bizarre est la première partie qui consiste à décrire ce qui se passe en supposant la téléportation dans le temps possible et en supposant que la personne qui se téléporte n’influe pas sur la causalité. Il faut imaginer tout d’abord, que son cerveau est comme un disque dur remplie d’information. On notera cette somme d’information 1 pour plus de simplicité. On remarque alors que lorsque l’on se téléporte dans le passé on a cette d’information qui passe de 1 à 2. Pourquoi ? En fait, vu que la personne n’influe pas dans la causalité, il reverra toutes les actions qu’il a vécues, donc il aura vécu deux fois toute cette suite d’action. Mais par quel procédé ? On a additionné le temps noté t ou dt à la durée noté rho ou drho. Là vous allez me dire : mais c’est impossible à faire, cela ne sert à rien etc… Je vais tout vous expliquez, alors tendez bien vos oreilles…
Le temps noté t est la flèche du temps. C'est-à-dire à la direction du temps. Cette flèche du temps n’est ni passé (parce que déjà passé), ni futur (car pas encore arrivé). La flèche du temps ne vie que dans le présent. Le temps est, pour moi, synonyme de causalité. Le temps va être défini par une suite d’évènement, d’où l’une sera la cause, et l’autre sera la conséquence de cette cause. Cette conséquence est donc l’évènement qui suit la cause. Cette conséquence devient cause entraînant une autre conséquence etc… Et ce qui était avant cause fera donc partit du passé.
Un évènement est défini par l’espace et le temps. Un évènement est donc défini dans la causalité, donc dans la flèche du temps, et cette flèche du temps entraîne la modification de l’espace.
Je reviens à ce que je disais précédemment. Le t du temps vie dans le présent. Mais la durée ajouté est la durée entre le présent (le moment de la téléportation) jusqu’au temps déjà passé. Il s’agit donc d’une autre flèche du temps, puisque je revis des évènements qui sont déjà passés et qui ne font pas parti de t. Je suis donc obligé d’additionner ces deux flèches du temps pour expliquer ce que vit mon corps, ce qui donne t + rho = t(a) + t(b) – ( t(a) – t(b) ) = t(a) – t(a) + t(b) + t(b) = 2t(b).
J’avais pris comme explication le cerveau et la somme des pensées. Mais imaginons que ce soit un évènement associé au temps. On notera la somme des temps attribué à l’évènement t(i) et la somme des évènements e(i) se passant dans la flèche du temps du présent. Si je reviens en arrière on a 2t(i) et 2e(i). L’explication est la même que précédemment : on vit deux fois les mêmes évènements, donc deux fois les mêmes moments attribué à cet évènement !
Le problème, c’est que dans le futur, nous avons exactement le même résultat. Mais si je me téléporte dans le futur, vue que je ne connaissais pas mon futur, je ne peux savoir qu’une fois ce qui va s’y passer, ce n’est pas logique ! Eh bien si ! Vous avez (je l’espère) tous vu retour dans le futur ? Quand les deux personnages se téléportent dans le passé ou le futur, ils retrouvent deux fois eux-mêmes, celui qui a réellement vécu dans la flèche du temps et celui qui s’est téléporté, entraînant donc la deuxième flèche du temps.
En fait, ce qui se passe, c’est qu’il y a proportionnalité entre temps et espace. L’égalité est ds = dt. L’espace est égale au temps. Et s’il arrive alors qu’en ajoute l’autre flèche du temps à dt, nous avons deux fois du temps (deux flèches du temps vivant à l’union), nous avons dont 2ds = 2dt.
II). Relativité restreinte.
Dans la relativité restreinte, il n’y as pas grand-chose à décrire. On aura juste à mettre en produit gamma avec ds et dt, qui donne yds = ydt. Ce qui implique aussi que la courbure de l’espace est égale à la courbure du temps. Le problème que vous allez me soulever est que si v = ds/dt, on aurait v = 1. Eh ben non ! On ne définit pas la vitesse sur la flèche du temps, mais sur la durée, donc v = ds/drho. Après, tous les autres théorèmes de la relativité restreinte s’applique normalement sans avoir de répercussion sur notre théorie…
III). Relativité générale.
On suppose que dt = ds. Cela suppose aussi que dt = dx + dy + dz. Si ds = dt, alors si ds’ = dx + dy + dz – dt, ds’ = 0, car ds = dt. Oui, c’est une équation bizarre, mais totalement vraie ! On arrive à un espace plat. Et même dans un espace sphérique, on retrouve ds’ = 1 et hyperbolique ds’ = -1. C’est génial, nos équations marchent. La métrique ds’ est une métrique espace plus étendue qui prend comme terme le temps en temps que durée. Ainsi, ds se transpose avec la résolution de l’équation en ds’. Il faudra alors développer la métrique ds’ avec l’égalité ds = dt.
Pour les trous noirs, c’est plus compliqué à expliquer. La métrique du trou noir est défini comme d’habitude par ds’, avec dt et ds. Sauf qu’on remarque une antisymétrie. On remarque en effet que la courbure spatiale définit par ds’ est opposé au temps, qui lui est infini, sauf à l’endroit où nous avons une singularité, le centre du trou noir, ou l’égalité s’affirme ainsi : ds’=dt=ds. Nous Retombons sur une géométrie Minkowskienne avec un potentiel gravitationnel gigantesque, le plus énorme dans le trou noir. D’ailleurs, nous avons réussi à déduire que le rayon du trou noir valait la racine de l’addition des deux métriques, dt et ds au carré divisé par deux.
IV). Relativité probabiliste restreinte et générale.
Cette partie consiste à transcrire l’équation métrique ds’ en probabilité. On remarque que la métrique de Minkowski est une dérivée des équations probabilistes, qui donnera lieu aux trois géométries. On a remarqué que chaque géométrie peut être combiné pour définir la géodésique ou la courbure de plusieurs masses. Il en est de même pour la géométrie gravitationnelle. Enfin, chaque dimension peut être définie par le temps relié aux temps absolu. Comment on a fait ? Ecoutez…
L’élément primordiale des probabilités a été de relié évènement, temps et espace. La métrique seconde sera l’addition d’une unification de tous les temps dépendante et indépendante de l’union de tous les temps, ajouté à cela la dépendance et indépendance du tout, moins la multiplication des deux. Ce qui revient aussitôt à écrire que la métrique est défini par l’unification de tous les termes espace dépendant et indépendant de l’unification de tous les temps. On remarque qu’il y a à la fois dépendance du temps et de l’espace, car l’un influe l’autre, et aussi une indépendance car la flèche du temps étant absolu, il n’y a pas de dépendance. Cela est donc la relation causale de l’espace-temps ! Elle nous servira beaucoup dans les théories quantiques.
Nous avons réussi à déduire que chaque dimension peut être définit par une suite de point, car en sommant deux coordonnées, on pouvait en faire apparaître une troisième. Prenons un exemple. Prenons une feuille extrêmement fine. Sa métrique vaudra ds = dx + dy. Maintenant superposons des milliers de ces feuilles vous coller. Nous avons dx + dy = dz. De telle sorte que nous avons une nouvelle dimension. On peut donc supposer que dx = dy = dz. Impressionnant non ? Cela nous permettra de faire la transition avec les théories quantiques.
IV). Modèle quantique de la relativité, formation de la théorie du tout.
Cette partie consiste à transcrire la relativité probabiliste déterministe en théorie quantique. Tout d’abord, nous évaluons un modèle transitoire ou nous écrivons que soit nous avons un espace-temps relatif soit un espace-temps quantique. Ce modèle nous force de trouver une valeur de K semblable à la résolution de l’équation d’Einstein. Grâce à la théorie de la bigravité et la théorie de la relativité d’échelle, j’ai modifié l’équation de Schwarzschild sur la gravitation en géométrie sphérique en équation gravitationnel de l’équation de Schrödinger.
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Voilà pour l'explication. Attention, j'explique très mal, je sais, et j'ai écris surtout ce résumé pour me rappeler des évolutions de mon équation. Sachez que certain élément écris si-dessus sont en cours de modification. J'élimine au fur et à mesure les éléments qui me semblent faux, et je continue dans le même tracé. Il peut donc m'arriver que la majorité de mes équations écrites ci-dessus soit fausse. En tout cas, la base de tout ce système est la partie un, intitulé dimension et réalité.
Ma question est simple : Est-ce assez cohérent ?
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