Le mystère de l’atome et de sa composition fût dévoilé, progressivement, depuis « 450 av. J.-C. » jusqu'en 1913, lorsque « Niels Bohr » proposa un modèle atomique comparable au système solaire. Jusqu’à cette date, un objet, ou une particule de masse absolument nulle, ne pouvaient exister (relevaient du domaine de l’irrationnel ou de l’immatériel absolu).
Seulement, en 1916, cette mythique barrière qui traçait la limite de l’existant, fût repoussée d’un cran . Une particule de masse absolument nulle pouvait exister. En effet, Einstein montre que la lumière (et non pas seulement son énergie) est quantifiée : c'est la découverte du photon (dual conception ondulatoire et corpusculaire de la lumière).
Le fait est, du jour au lendemain, l’absolu irrationnel est devenu physiquement existant. Ce qui m’intrigue, c’est qu’aucune polémique philosophique existentielle n’a été soulevée autour de ce fait.
Ma question est :
Maintenant que cette origine de l’existant n’est visiblement pas si absolue qu’elle en a l’air, pourquoi ne pas la repousser encore davantage . Autrement dit : « serait-t-il possible que, ce photon de masse nulle et cette vitesse absolue de la lumière, ne soient que la limite de notre capacité de perception. Et non pas la limite de l’existant ? C'est-à-dire que des particules de masse inférieure à celle du photon (négative) pouvaient exciter, évoluant à des vitesses multiples de celle de la lumière »
Effectivement, la masse négative parait absurde. Mais elle ne le serait plus si l’origine « 0 » était décalé au-delà du photon, C.a.d. au-delà de notre capacité de perception !
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