Est-il possible de penser que l'éther des physiciens du 19ème siècle (omniprésent, infiniment rigide, infiniment transparent) correspond au vide quantique et que la vitesse de la lumière est définie par les caractéristiques de ce vide (interactions avec des photons avec particules - électrons - virtuelles)?
A-t-on pu mettre en évidence une augmentation de la vitesse de la lumière dans un vide modifié par la présence quasi jointive de "murs" (comme pour l'effet Casimir) qui limite la nature et le nombre de ces fluctuations ?
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