Bonjour,
La mesure de la vitesse d'un avion se fait généralement par l'intermédiaire de la mesure de la pression d'arrêt (simple tube ouvert à l'avant dit tube de Pitot) ou de mesure de la pression au col d'un Venturi.
Reste à leur soustraire la pression statique ambiante et celle là n'est pas si simple à obtenir, dans un avion en vol: pression sur la paroi en des points à définir par des tests en soufflerie, ou pression sur la paroi d'un cylindre à une distance définie de son extrémité sphérique.
Pourquoi n'utilise-t-on pas plus simplement la différence entre le col d'un Venturi et celle d'un simple tube Pitot ?
Outre l'inutilité d'une mesure fiable de pression statique, la sensibilité aux basses vitesse serait en outre accrue.
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