Bonjour,
Ce message est juste une interrogation, qui m'est venue après avoir rencontré dans une grille de mots croisés le mot "Lawrentium", hier.
La chimie donne donc des noms de vieil ancêtre à des éléments qui sont rigoureusement cadrés dans la classification de Mendeliev des éléments et structurés par leurs propriétés.
Les physiciens, qui ont donné aussi des titres honorifiques à leurs "unités dimensionnelle" comme l'intensité électrique (Ampère..), refusent de structurer ces unités dans la physique espace-temps, qui selon eux pourtant, rassemble toute la création. Mais dans ce cas, si je reprends l'exemple des ampères, pourquoi ne pas montrer qu'il s'agit bel et bien d'un débit de charges, et que donc on a affaire, au moins au départ à des "charges/seconde".
La logique est très facile à installer: si le temps est présent (seconde) dans les ampères, que valent les charges.. d'après vous ?
Mais tout comme la chimie présente des éléments isotopiques, il y a par contre dans le secteur de la physique des "identifications" troublantes entre certaines unités comme la pression mécanique et la tension électrique. L'analyse dimensionnelle donnerait pour ces 2 considérations des m²/sec², mais ce genre de tour de passe-passe n'a pas bonne presse sur ce forum "par souci de rigueur et de refus de théorie personnelle".
Alors si j'ai fait un boulot dont personne ne voulait, il me faut le mettre à l'épreuve et montrer à quoi cela peut être utile.. Ce sera fait prochainement (1 mois pour vous donner le résultat).
En attendant, vous sentez-vous bien dans la science Espace-Temps, qui admet paradoxalement 6 autres unités dimensionnelles (comme le candela, etc) ?
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