Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets
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Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets



  1. #1
    Daniel1958

    Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets


    ------

    Bonjour


    Voilà je sais (ou du moins crois savoir) que pour évaluer la durée de vie d’une particule comme on ne peut pas travailler pour raisons évidente dur la durée on analyse sur une année ou plus un très grand nombre particules et on évalue les modifications éventuelles.
    Plus le nombre de particules est grand plus on la chance théorique d’assister à un/des événements.
    On extrapole ainsi la durée de vie (par rapport à une année et au pourcentage d’événements sur le nombre de particules.
    J’ai lu que c’était le cas pour l’expérience de Super-Kamiokande pour le neutrino (pour détecter ses rares collisions avec la matière) Là cela me parait logique plus de matière équivaut à plus de durée pour le comptage. Pareil cela semble cohérent pour calcul le tempo d’une désintégration radioactive en nombre.

    Mais cette méthode est « aussi » la même pour déterminer la durée de vie du proton. On a ainsi appris que la durée vie ne pouvait pas être inférieure à 1034 ans.
    J’ai du mal à appréhender cette méthode car si la probabilité, par rapport, à la particule est epsilonesque on risque bien de ne rien voir jusqu’a la durée concernée.
    A moins qu’il y ait des indices désintégration Béta plus, calcul sur protons issus de rayonnement neutronique, voire étude sur des collisions protons/protons. Je ne vois pas (ou plutôt je ne comprends pas) la base du raisonnement statistique

    Mais sur le plan statistique /probabilité qu’elle est la loi le théorème qui permet de comparer une durée très longue avec une durée courte mais avec un échantillon important. ?
    Est-ce une loi de mécanique quantique ou est-ce une pratique d’usage (empirique) ?


    Cordialement

    -----

  2. #2
    jiherve

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    bonjour
    la méthode est utilisée ailleurs qu'en physique c'est un classique en fiabilité ex
    https://www.google.com/url?sa=t&rct=...-xD38lNPzQbPeT
    mais tout çà est bien loin dans ma mémoire.
    JR
    l'électronique c'est pas du vaudou!

  3. #3
    stefjm

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  4. #4
    mach3
    Modérateur

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Quand le processus étudié est Poissonnien (=sans mémoire), et c'est le cas la plupart du temps quand il s'agit d'une désintégration, cette méthode convient parfaitement.
    En effet, la "durée de vie" dans pareil cas est le temps qu'il faut pour que la moitié de la population de particules étudiées se soit désintégrée.
    Prenons un neutron dont la "durée de vie" est 15 minutes. Si on en prend un seul, on a une chance sur deux de le voir se désintégrer dans les 15 minutes, puis encore une chance sur deux de le voir se désintégrer dans les 15 minutes suivantes, etc, etc. C'est sans mémoire, c'est à dire que peu importe depuis quand ce neutron existe ou ce qu'il a "vécu" avant, il y a une chance sur deux pour qu'il se désintègre dans les 15 minutes suivantes.
    Quelques calculs montrent ensuite que si je prend n neutrons, alors au bout de 15 minutes l'état le plus probable est qu'il n'en reste que n/2, les n/2 autres étant désintégrés. On peut ensuite calculer le nombre de désintégrations le plus probable sur 10, 5, 2 minutes ou même 1 seconde.
    Plus la durée de vie est longue, plus il faut attendre longtemps pour voir un évènement se produire mais cette durée peut être réduite en augmentant la population de particules étudiées.
    Une durée de vie de 1034 ans signifie qu'au bout de cette durée ans la moitié des protons se seront désintégrés. Mais il n'est pas utile d'attendre aussi longtemps pour voir un de ces protons se désintégrer, il suffit juste d'avoir suffisamment de protons pour qu'un évènement se produise en moyenne tous les ans par exemple.

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    XK150

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Salut ,

    @Daniel1958 : en clair , est ce que votre question est la détermination des longues périodes ( ou demie vie ) des éléments radioactifs ?
    Celui qui accroît son savoir , accroît sa souffrance . L'Ecclésiaste 1-18

  7. #6
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Bonjour,

    Le mémoire suivant semble traiter du sujet de manière assez rigoureuse:

    https://orbi.uliege.be/bitstream/226...C3%A9moire.pdf

  8. #7
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Oui d'accord quand on A un élément de base, là dans le cas un taux de défaillance. Là c'est Ok selon moi.
    Mais dans le cadre de désintégration possible du proton il faudrait (je m'avance) un soupçon éléments sur sa durabilité. S'il dure 1034 Années je ne vois pas à partir de quelle piste on peut conclure.

  9. #8
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Quand le processus étudié est Poissonnien (=sans mémoire), et c'est le cas la plupart du temps quand il s'agit d'une désintégration, cette méthode convient parfaitement.
    En effet, la "durée de vie" dans pareil cas est le temps qu'il faut pour que la moitié de la population de particules étudiées se soit désintégrée.
    Prenons un neutron dont la "durée de vie" est 15 minutes. Si on en prend un seul, on a une chance sur deux de le voir se désintégrer dans les 15 minutes, puis encore une chance sur deux de le voir se désintégrer dans les 15 minutes suivantes, etc, etc. C'est sans mémoire, c'est à dire que peu importe depuis quand ce neutron existe ou ce qu'il a "vécu" avant, il y a une chance sur deux pour qu'il se désintègre dans les 15 minutes suivantes.
    Quelques calculs montrent ensuite que si je prend n neutrons, alors au bout de 15 minutes l'état le plus probable est qu'il n'en reste que n/2, les n/2 autres étant désintégrés. On peut ensuite calculer le nombre de désintégrations le plus probable sur 10, 5, 2 minutes ou même 1 seconde.
    Plus la durée de vie est longue, plus il faut attendre longtemps pour voir un évènement se produire mais cette durée peut être réduite en augmentant la population de particules étudiées.
    Une durée de vie de 1034 ans signifie qu'au bout de cette durée ans la moitié des protons se seront désintégrés. Mais il n'est pas utile d'attendre aussi longtemps pour voir un de ces protons se désintégrer, il suffit juste d'avoir suffisamment de protons pour qu'un évènement se produise en moyenne tous les ans par exemple.

    Alors ok de mon point vue (attention je raison par intuition logique (ou pas) pas en physicien. Pour le neutron c'est l'explication. Mais quand tu n'as pas une base, une idée de le demis vie ou autres ...je ne vois pas comment.

    Ma "critique" c'est que j'ai vu ce système validé dans plusieurs livres (statistique, quantique etc... Ça marche très bien avec un minimum de données. Mais pour le proton là je sèche. Ou alors les scientifiques ont des pistes mais sur quelle base ?

  10. #9
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Non

    Par exemple le proton qui ne l'est pas sauf en béta +. Mais il faut de circonstances particulières.

  11. #10
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Bon

    Là il faut prendre son temps pour les formules (et surtout pour moi les notations) mais le document (en lecture très rapide) me parait clair. Comme le document est copieux il traite peut-être de ce type de cas
    Mais pour le cas du proton je ne vois pas de distribution style "loi normale". La courbe d'événement de l'échantillon est ......à Zéro (selon moi) ou alors les physiciens ont des pistes non connues du public.

    Merci

  12. #11
    mach3
    Modérateur

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Il faut prendre les choses dans l'autre sens. Si on cherche la désintégration du proton, c'est parce que des spéculations théoriques (notamment la supersymétrie il me semble) prédisent un mécanisme permettant sa désintégration. Les recherches sur la désintégration du proton visent donc à falsifier ces spéculations théoriques (certaines versions de la supersymétrie sont dors-et-déjà exclues il me semble car elles prédisent des durées de vies telles qu'on aurait dû détecter un nombre significatif de désintégration de protons).
    Le mécanisme prédit est, comme l'essentiel des processus de ce genre, poissonnien.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Proton_decay

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  13. #12
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Oui merci c'est clair.

    Mais (c'est totalement gratuit de ma part) la supersymétrie est encore spéculative. Je parle un peu sans savoir mais il n'y aurait pas eu de détection de particules.

    Je peux aussi dire
    1.67×1034years
    que c'est qu'une probabilité basée sur des conjectures et que le proton peut très bien atteindre 10100ans.
    Là il n'y pas de loi statistique au sens de Poisson.

    Cela dit je ne conteste pas car c'est un age minimum. Mais j'en avais une présentation sur l'équivalence entre durée très lointaine et un très gros échantillon comme une loi établie. Là j'ai tiqué car c'est plus à la marge pour le proton.

    Merci pour ces infos et tes recherches.

    Cela prouve qu'il y a presque toujours une logique.

  14. #13
    stefjm

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Ben, le 10^34 s est la borne inférieure obtenue suite aux expérimentations.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  15. #14
    Sethy

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    On parle bien de borne inférieure et pas (si j'ai bien compris) d'ordre de grandeur.

    D'autre part, à titre indicatif, l'âge de l'univers est de 13,8 mia d'années, soit 4,35.10^17 secondes.

    C'est quand même un nombre (10^17) à comparer avec le 10^34.
    Tout est toujours plus complexe qu'on (que je) ne le pense de prime abord.

  16. #15
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Oui vous avez raison (vous deux)

    Mais je grossis volontairement le trait. Ce serait basé sur la supersymétrie SUSY. Elle reste spéculative cf Wikipédia
    La supersymétrie (abrégée en SuSy) est une symétrie supposée de la physique des particules
    On peut aussi dire que c'est un "supposé" résultat. Là c'est effectivement la borne inférieure. J'ai du mal (sans doute à tort) à valoriser ce résultat avec cette méthode. Pour les éléments radioactifs on est plus sur des calculs statistiques "solides"

  17. #16
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Bonjour,

    Je pense que vous prenez toujours les choses à l'envers (voir le message #11 de mach3): on ne cherche pas à confirmer si la supersymétrie est bien la bonne théorie. On cherche à montrer qu'elle n'est pas la bonne théorie en montrant que la demi-vie du proton est au moins supérieure à une borne donnée qui ne cadre pas avec SUSY.

    C'est une démarche (si pas LA démarche) très classique en physique.
    Dernière modification par Paraboloide_Hyperbolique ; 22/09/2022 à 12h49.

  18. #17
    Deedee81
    Modérateur

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Salut,

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    On cherche à montrer qu'elle n'est pas la bonne théorie
    En effet, cette bonne vieille "réfutation à la Popper". Tout bon physicien essaie de démolir sa théorie.

    Idem avec le LHC. Mais avec l'espoir bien sûr d'avoir une validation (partielle). le SUSY minimal est invalidé maintenant (les super partenaires devraient être trop massifs) mais il y a le modèle suivant (dont l'acronyme m'échappe, EDIT NMSSM je crois, NM pour "non minimal") et SUGRA (super gravité). Je ne suis pas trop partisan mais faut dire que c'est assez élégant. J'avais été séduit en découvrant mon premier article sur le sujet (une introduction dans ArXiv). J'ai perdu mon enthousiasme en découvrant que ce devait forcément être une symétrie brisée

    Mais bon, ces modèles là faudra longtemps avant de les valider/réfuter. L'échelle d'énergie est assez lointaine.
    Dernière modification par Deedee81 ; 22/09/2022 à 13h33.
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

  19. #18
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    On cherche à montrer qu'elle n'est pas la bonne théorie en montrant que la demi-vie du proton est au moins supérieure à une borne donnée qui ne cadre pas avec SUSY.
    Bon moi je prends ce qui vient. Ah je n'avais pas remarqué "falsifier". Je ne suis pas aussi qualifié que vous. J'ai lu trop rapidement

    Là c'est pour invalider une des branches de Susy

    Mais cela ne répond pas à ma question de base comment a-t-on pu et/ ou estimer la durée de vie du proton. Sur quelles bases. A moins qu’il y ait des indices désintégration Béta plus, calculs sur protons issus de rayonnement neutronique, voire études sur des collisions protons/protons. Je ne vois pas (ou plutôt je ne comprends pas) la base du raisonnement statistique

    Je reprends le titre de mon fil qui Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets.
    Cette méthode ne me semblait pas coller avec proton

    Comment être sûr que c'est la borne inférieure à 1034 an par quel principe d'équivalence ? Par quelles données connues du proton

    Je reprends ma blague le proton peut très bien atteindre 10100ans
    Cette méthode ne me pose pas de problème pour la radioactivité le comptage des neutrinos et des éléments à durées de vie courtes et moyennes. Mais là

  20. #19
    Sethy

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Citation Envoyé par Daniel1958 Voir le message
    comment a-t-on pu et/ ou estimer la durée de vie du proton.
    Je me permets de répéter mes propos : on n'a pas estimer la durée de vie du proton. Non, ce qui est sur la table, c'est que si il a une durée de vie, elle est d'office supérieure à 10^34 s.

    C'est très différent.
    Tout est toujours plus complexe qu'on (que je) ne le pense de prime abord.

  21. #20
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Oui je suis d'accord

    Mais comment par rapport à quel support ou quelles données qui te permet de justifier d'une limite inférieure . Une cuve d'hydrogène froid ? Je dis au hasard

    De mon point de vue la durée de vie minimum du proton est 13,5 Milliards d'années mais le reste comment le prouver physiquement ou par quel théorème. Le neutron s'est facile et vérifiable. Mais là je vois aucune méthode (il doit en avoir une bien sûr) ni aucune théorie qui me permette (il doit y en avoir bien sûr) de justifier de la borne est obligatoirement supérieure 1034ans

  22. #21
    mach3
    Modérateur

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Bon, je vais essayer d'être plus clair.

    Dans le modèle standard des particules, le proton est réputé stable. Certes au sein de certains noyaux atomiques un proton peut se transformer en neutron par désintégration beta+, mais cela n'est possible que parce que le noyau obtenu est plus stable que celui de départ, en fait cette désintégration ne concerne pas le proton, mais le noyau entier. Un proton seul, ou dans un noyau stable, ne peut pas se transformer en neutron par désintégration beta+.

    L'étude de la durée de vie du proton n'a rien à voir avec la désintégration beta+ (vraiment aucun rapport). On pose l'hypothèse que le proton possède une demi-vie (cela se fait dans les spéculations qui vont au-delà du modèle standard, dans lesquelles un processus de désintégration qui n'a rien à voir avec la désintégration béta+ est postulé, le proton se transformant en un positron et un pion neutre). Si l'hypothèse qu'il y a une demi-vie pour le proton est correcte, alors on peut en donner une borne inférieure en constatant qu'après un certain temps passé à observer un certain nombre de proton, aucune désintégration ne s'est produite. Et au contraire, si un nombre significatif de désintégration s'est produit, on peut commencer à encadrer la demi-vie.

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  23. #22
    Daniel1958

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Bonjour


    Ne le prends pas mal pour la critique.

    Je suis étonné car la determination de la durée de vie minimum vient d'une "supputation" à la base (une spéculation théorique).

    Merci c'est clair

    Comme on dit on peut refermer la parenthèse. Ceci explique bien cela

  24. #23
    Deedee81
    Modérateur

    Re : Equivalence entre durée très lointaine et échantillon avec un grands nombre d’objets

    Salut,

    Citation Envoyé par Daniel1958 Voir le message
    Je suis étonné car la determination de la durée de vie minimum vient d'une "supputation" à la base (une spéculation théorique).
    Pourquoi étonné ? Quand on a des théories, faut bien les vérifier non ?

    En particulier pour la supersymétrie qui est :
    - extrêmement sérieuse, techniquement (mathématiquement) très claire
    - très tentante à cause de plusieurs arguments très forts (si ça t'intéresse on peut les donner)
    En fait de toutes les extensions du modèle standard c'est la seule qui soit théoriquement aussi solide et aussi bien fondée (ce qui ne veut pas dire juste évidemment).

    On vérifie (expérimentalement) des idées théoriques parfois bien moins solides que ça (comme les réductions physiques, c'est en cours).

    Et quand on cherchait le Higgs, qui, il n'y a pas si longtemps, n'était qu'une supputation théorique, tu as trouvé ça étonnant ???
    Dernière modification par Deedee81 ; 23/09/2022 à 07h12.
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

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