Bonjour
Voilà je sais (ou du moins crois savoir) que pour évaluer la durée de vie d’une particule comme on ne peut pas travailler pour raisons évidente dur la durée on analyse sur une année ou plus un très grand nombre particules et on évalue les modifications éventuelles.
Plus le nombre de particules est grand plus on la chance théorique d’assister à un/des événements.
On extrapole ainsi la durée de vie (par rapport à une année et au pourcentage d’événements sur le nombre de particules.
J’ai lu que c’était le cas pour l’expérience de Super-Kamiokande pour le neutrino (pour détecter ses rares collisions avec la matière) Là cela me parait logique plus de matière équivaut à plus de durée pour le comptage. Pareil cela semble cohérent pour calcul le tempo d’une désintégration radioactive en nombre.
Mais cette méthode est « aussi » la même pour déterminer la durée de vie du proton. On a ainsi appris que la durée vie ne pouvait pas être inférieure à 1034 ans.
J’ai du mal à appréhender cette méthode car si la probabilité, par rapport, à la particule est epsilonesque on risque bien de ne rien voir jusqu’a la durée concernée.
A moins qu’il y ait des indices désintégration Béta plus, calcul sur protons issus de rayonnement neutronique, voire étude sur des collisions protons/protons. Je ne vois pas (ou plutôt je ne comprends pas) la base du raisonnement statistique
Mais sur le plan statistique /probabilité qu’elle est la loi le théorème qui permet de comparer une durée très longue avec une durée courte mais avec un échantillon important. ?
Est-ce une loi de mécanique quantique ou est-ce une pratique d’usage (empirique) ?
Cordialement
-----