Cette déclaration de Dieter Zeh me laisse perplexe :
Various kinds of “quantum fluctuations” (in particular vacuum fluctuations, often visualized in terms of “virtual particles”) are used to describe genuine quantum properties, such as the minimum curvature of the wave function or some entanglement that exists in the static ground states of interacting quantum fields (their physical vacua).
(Cité dans Quantum discreteness is an illusion, 2008 p.18).
Et je peux vous assurer que cette thèse se retrouve partout dans ses écrits. Les fluctuations du vide/particules virtuelles représentent des corrélations quantiques statiques (= intrication) dans la représentation de Schrödinger.
Pourriez-vous m'aider à interpréter cette affirmation (dont, hélas, elle ne dit pas grand-chose de plus, du moins à ma connaissance) ?
J'ai du mal à voir ce que pourrait signifier une intrication entre les vides respectifs de deux champs. Je ne sais pas non plus si cette thèse est particulièrement hétérodoxe...![]()
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pour deux événements x et y de genre espace sont finalement le recouvrement de deux états créés localement en x et y, une corrélation, et elles ne sont pas nulles même si x et y sont sur un intervalle de genre espace. Pourtant, on montre que la causalité est respectée, cela ne permet pas d'envoyer un signal de x à y (cela se déduit du fait que c'est une fonction paire de x et y). Il y a donc des corrélations sans signal possible, et cela ressemble d'une certaine manière à ce qu'on décrit par de l'intrication. Mais je ne sais pas si c'est juste du blabla, une sorte de jeu de mots avec la terminologie, ni même si c'est de cela que Zeh parlait. Donc ce n'est pas vraiment une réponse, juste une idée à creuser.