Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique
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Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique



  1. #1
    antiparticules

    Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique


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    Bonjour, je ne suis pas physicien mais juste curieux. Et le souhaite juste partager un idée et faire une expérience de pensée.

    On nous dit que la lumière est constituée de photons. La lumière étant une partie du spectres des fréquences des ondes électromagnétiques, on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x ! Et si la lumière (et les ondes en générale) n'était pas constituée de photons ou de choses impalpables mais était le résultat d'une réaction à une intrication quantique ? Prenons l'exemple d'une source de lumière qui est un émettrice et regardons la non pas comme émettant des photons mais plutôt une excitation d'intrication quantique particulière qui se manifeste par la réaction de la cible qui réagit en émettant à son tour une lueur par intrication que nous percevons. La lumière est un cas particulier que nous percevons avec nos yeux. Reprenons l'expérience de Young. Si on mesure ce qui passe par une fente, on perturbe le résultat et les franges interférences disparaissent. De même, quand on mesure une tension électrique par exemple, ou toute autre grandeur physique, on le fait en prélevant une portion de la grandeur à mesurer. Supposons alors que l'emetteur utilisé par Young n'émet pas des particules comme on le pense, mais excite l'intrication quantique, l'explication du phénomène semble alors plus évidente au prime abord. Le fait de faire la mesure de ce qui passe par l'une des fentes prélève une portion d'information qui perturbe le phénomène. En fait, dans ce nouveau monde quantique, les photons et ondes électromagnétiques auraient disparu et l'interaction et manifestation de phénomènes physique entre les choses ne serait qu'intrication quantique. Du coup, un émetteur radio n'émet plus des ondes mais une excitation de l'intrication quantique, idem lampe de poche et autres exemples... La physique de ce monde devient ainsi plus homogène : 4 forces de la nature*: intrication. La lumière éclaire par intrication, l'aimant attire par intrication, les planète s'attire par intrication, etc. Le photon quant à lui ne serait que le reliquat des connaissances du passé dont on ne peut (veut) se séparer.

    Revu par l'IA
    Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique
    Introduction
    La physique quantique révèle des phénomènes qui échappent aux cadres classiques : superposition, intrication, absence de trajectoire définie… Ce texte propose une vision où les corrélations quantiques constituent la structure fondamentale du réel, plutôt que les particules ou les champs.

    *
    1. L’intrication comme fondement
    L’intrication quantique n’est pas une propriété secondaire entre objets préexistants, mais un réseau primaire de relations :

    Les "objets" comme les photons ou les électrons émergent de ce tissu de corrélations.

    Ce sont les relations qui définissent la structure du système, non des entités localisées.

    L’univers pourrait être décrit sans recourir à des éléments individuels, mais par la cohérence relationnelle.

    *
    2. Relecture des fentes de Young
    L’expérience classique des deux fentes est revisitée :

    L’interférence ne résulte pas du passage d’un photon par deux trajectoires, mais d’une superposition corrélée entre l’émetteur, les chemins et le détecteur.

    Le système complet forme un état global, dont la dynamique est définie par ses connexions, pas par des trajectoires locales.

    *
    3. Lumière et cohérence globale
    La lumière est réinterprétée comme un phénomène émergent d’un champ corrélé :

    Un photon détecté n’est pas une entité en transit, mais la manifestation locale d’un état quantique globalement structuré.

    Les phénomènes non-locaux, souvent vus comme paradoxaux, deviennent naturels dans ce cadre fondé sur des corrélations étendues.

    *
    Conclusion
    Cette approche propose de refonder notre compréhension de la physique quantique sur une base strictement relationnelle. Elle dépasse les modèles mécanistes classiques pour offrir une vision cohérente et unifiée, où les corrélations quantiques sont le moteur des phénomènes physiques. Une telle théorie ouvre la voie à des perspectives nouvelles en matière de modélisation, d’expérimentation et d’interprétation.

    -----

  2. #2
    bibifikotin

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Bonjour à toi,
    ".....on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x..." C'est parce qu'on n'en parle pas , qu'ils n'existent pas !
    Ils existent bien.
    Demandent donc aux pros....de la radio et autres.
    Attention la "lumiére" n'est pas seulement ce l'on voit.
    C'est tout le spectre électromagnétique et il est trés large.
    Ne précipite pas trop vite sur tes vues "personelles".
    DEMANDE d'abord si ce que tu dis est plausible.Evite...d'affirmer
    (.... Une telle théorie ouvre la voie à des perspectives nouvelles en matière de modélisation, d’expérimentation et d’interprétation. ...)
    Cordialement
    Dernière modification par bibifikotin ; 13/08/2025 à 09h20.

  3. #3
    antek

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Citation Envoyé par antiparticules Voir le message
    . . . on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x !
    Il faut se méfier des "on".
    Wiki serait donc à corriger https://fr.wikipedia.org/wiki/Photon
    L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .

  4. #4
    albanxiii
    Modérateur

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Bonjour,

    Alors, si, on en parle des photons radio ou X.
    Il faut juste ouvrir un cours de physique (par exemple "rayonnement quantique" d'Alain Laverne, https://cel.hal.science/cel-00092934).
    Quand la première phrase est fausse, j'arrête de lire, et je pense que c'est mieux ainsi, car...

    ...je vous rappelle (cf la charte du forum) que l'exposé de théories personnelle n'est pas admis sur le forum.
    "Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre." Marie Curie

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    mach3
    Modérateur

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    on ne parle pourtant pas de photons radio ou photons x !
    fallait l'oser celle-là...

    https://www.arpansa.gov.au/understan...adiation/x-ray
    https://www.sciencedirect.com/topics...g/x-ray-photon
    https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6412180/

    https://van.physics.illinois.edu/ask/listing/287277
    https://imagine.gsfc.nasa.gov/scienc...spectrum2.html

    etc, etc, en moins de 2 minutes avec un moteur de recherche.

    Bref, plutôt que d'utiliser l'IA, apprendre à chercher soi-même sur internet...

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  7. #6
    bibifikotin

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Ca devait forcément arriver et ça va continuer... (les méfaits de l'IA utilisée à tord et à travers)!!
    ( c'est forcément vrai...c'est l'IA qui l'a dit !!!)
    Cordialement

  8. #7
    champetre

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Bonjour,

    Pas mal pour un premier (et unique au moment où j'écris) message.

  9. #8
    stefjm

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    C'est l'IA qui a posté toute seule et elle a perdu le mot de passe...
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  10. #9
    antiparticules

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    IA...
    易 Ontologie relationnelle et physique quantique : vers une refondation conceptuelle et théorique
    Préambule
    La physique quantique, malgré son succès prédictif, demeure conceptuellement problématique. Les paradoxes liés à la mesure, à l’intrication, à la contextualité et à la dualité onde-particule suggèrent que le cadre ontologique classique — fondé sur des entités dotées de propriétés intrinsèques — pourrait être inadéquat. Cet article explore l’hypothèse d’une ontologie relationnelle, selon laquelle seules les relations entre systèmes constituent la réalité physique. Inspirée par les travaux de Rovelli, Bitbol, Whitehead et Smolin, cette approche permet de relire les phénomènes quantiques sous un angle nouveau, en révélant les incohérences du paradigme actuel. Elle ouvre également des perspectives théoriques et interdisciplinaires, tout en posant des défis conceptuels et mathématiques majeurs.
    1. Introduction
    Depuis les premières formulations de la mécanique quantique, les physiciens ont été confrontés à des phénomènes qui défient l’intuition classique : superposition, intrication, effondrement de la fonction d’onde, contextualité. Ces phénomènes ont donné lieu à de nombreuses interprétations, mais aucune ne semble pleinement satisfaisante sur le plan ontologique.
    L’expérience des fentes de Young, où un photon interfère avec lui-même en l’absence d’observation, mais se comporte comme une particule lorsqu’il est mesuré, illustre cette tension. De même, l’intrication quantique semble impliquer une forme de non-localité incompatible avec la relativité.
    Face à ces paradoxes, une hypothèse émergente consiste à considérer que les propriétés physiques ne sont pas absolues, mais relationnelles. Cette idée, développée notamment par Carlo Rovelli dans sa Relational Quantum Mechanics, propose une refondation du cadre conceptuel de la physique.
    2. Cadre ontologique et épistémologique
    L’ontologie classique repose sur l’idée que les objets possèdent des propriétés définies indépendamment de toute interaction. Cette vision substantialiste est remise en question par les résultats expérimentaux en physique quantique.
    L’ontologie relationnelle, inspirée de la philosophie du processus d’Alfred North Whitehead, propose que les entités physiques soient définies par leurs relations. En physique, cette approche est reprise par Rovelli, qui affirme que les propriétés d’un système ne sont définies que par rapport à un autre système. Lee Smolin explore également cette idée dans le cadre d’une cosmologie relationnelle.
    Cette ontologie implique une redéfinition du réel : ce ne sont plus les objets qui sont premiers, mais les interactions observables.
    3. Relecture des paradoxes quantiques
    3.1 Problème de la mesure
    Dans une approche relationnelle, la mesure ne révèle pas une propriété préexistante, mais actualise une relation entre le système et l’appareil. Cette idée rejoint les travaux de Michel Bitbol, qui considère l’observation comme constitutive du phénomène.
    3.2 Intrication et non-localité
    L’intrication peut être interprétée comme une relation persistante entre systèmes, sans transmission d’information. Cela évite les paradoxes liés à l’action instantanée à distance, comme le montre Lucien Hardy dans ses travaux sur les fondements quantiques.
    3.3 Contextualité
    L’expérience de Kochen-Specker montre que les résultats de mesure dépendent du contexte. Dans une ontologie relationnelle, cette dépendance est naturelle : les propriétés ne sont pas absolues mais contextuelles.
    3.4 Fentes de Young et dualité onde-particule
    Dans l’expérience des fentes de Young, la lumière n’est ni onde ni particule en soi. Son comportement dépend du dispositif expérimental. L’interférence ne reflète pas une “onde réelle”, mais une structure relationnelle entre les trajectoires possibles et les conditions de détection.
    4. Implications théoriques et reformulation mathématique
    Une ontologie relationnelle implique une reformulation des structures mathématiques de la physique :
    • Utilisation de catégories, graphes relationnels, ou topologies dynamiques pour représenter les relations plutôt que les états absolus.
    • Les travaux de Chris Isham en logique quantique et de Samson Abramsky en théorie des catégories montrent la faisabilité de cette approche.
    • Les notions d’espace, de temps et d’état deviennent des constructions émergentes, dépendantes des relations entre systèmes.
    5. Incohérences révélées par la relecture relationnelle
    La relecture de la théorie actuelle à la lumière de l’ontologie relationnelle fait apparaître plusieurs incohérences :
    Aspect de la théorie actuelle Incohérence révélée Interprétation relationnelle
    Propriétés absolues des particules Contradiction avec la dépendance au contexte de mesure Les propriétés sont définies par les relations
    Effondrement de la fonction d’onde Processus mal défini et non local La mesure est une interaction relationnelle
    Réalisme naïf Suppose un monde indépendant de l’observateur Le réel est co-construit par les relations
    Dualité onde-particule Ambiguïté conceptuelle Le comportement dépend du dispositif
    Intrication Action à distance paradoxale Corrélation relationnelle sans transmission d’information
    Ces incohérences ne sont pas des erreurs, mais des signaux que le cadre conceptuel actuel pourrait être incomplet.
    6. Défis et perspectives
    6.1 Défis théoriques
    • Formalisation rigoureuse d’une physique relationnelle.
    • Développement d’outils mathématiques adaptés.
    • Testabilité empirique de la nouvelle approche.
    6.2 Défis philosophiques
    • Redéfinition du réalisme scientifique.
    • Repositionnement du rôle de l’observateur.
    • Réinterprétation de la causalité.
    6.3 Perspectives interdisciplinaires
    • Gravité quantique : Rovelli propose une gravitation relationnelle.
    • Information quantique : les relations sont centrales dans le traitement de l’information.
    • Biologie théorique : les systèmes vivants pourraient être mieux compris comme des réseaux relationnels.
    7. Conclusion
    L’ontologie relationnelle propose une refondation conceptuelle de la physique quantique. Elle offre une cohérence nouvelle, en accord avec les phénomènes observés, et permet de dépasser les paradoxes du cadre classique.
    Elle transforme notre manière de penser la réalité : ce ne sont plus les objets qui comptent, mais les liens qui les unissent. Dans ce cadre, la lumière, les particules, l’espace et le temps deviennent les manifestations d’un réseau de relations, et non les éléments d’un monde figé.

  11. #10
    champetre

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Pas encore fermé ?

  12. #11
    bibifikotin

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Faut pas etre impatient !
    Cordialement

  13. #12
    non bwana

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    Citation Envoyé par champetre Voir le message
    Pas encore fermé ?
    Si si. Le fil est fermé, ce que tu lis maintenant, c'est l'ontologie relationnelle du fil, faut pas confondre.

  14. #13
    Flyingbike
    Responsable des forums

    Re : Et si on se trompait depuis le début ? Vers une lecture relationnelle de la réalité quantique

    antiparticules, ici on est sur un forum scientifique. Vos discussions avec une IA sur des théories personnelles n’intéressent personne.

    Discussion fermée, vos prochains messages devront être validés.
    La vie trouve toujours un chemin

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