Ca reste une hypothèse. Et en plus je ne suis pas spécialiste. Mais j'ai trouvé les articles de Russel fort convaincant
(voir les fils de Geb sur le sujet. Il a donné énormément de liens sur ses publications).
Attention, cette hypothèse n'est pas basée sur les extrêmophiles mais sur le fait que les fumeurs (ou plutôt les grosses structures poreuses des fumeurs, là où il ne fait pas aussi chaud) offrent des conditions physiques et chimiques sacrément favorables à une chimie abiotique exceptionnelle.
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