vous vous etes un reveur ! (c est un compliment). Ya aussi des profil psychos qui ont des noms com ca.
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vous vous etes un reveur ! (c est un compliment). Ya aussi des profil psychos qui ont des noms com ca.
Bonjour Mopral
Cet auteur n'a donc rien compris, ni au bouddhisme ni à la neuro anatomie, ni de quel système nerveux il parle.un livre sur le bouddhisme comportant un chapître entier sur la méditation. Dans ce chapître, l'auteur explique que la méditation développe le système nerveux.
Je pense qu'il ne faut pas confondre développement et plasticité.D'oû la question suivante : Le développement du système nerveux par la pratique de la méditation induit-il une augmentation des performances intellectuelles ?
Quand à la méditation du point de vue bouddhisme n'a pas pour objet d'augmenter la performance mais de diminuer l'opacité mentale qui est une notion qu'il faut bien comprendre dans le contexte pour ne pas faire de contre-sens.
Les ergonomes aurait d'ailleurs beau jeu de demander comment on défini la performance d'un système. (cf. P.Cazamian, Y Schwartz, Francois Hubault, M. Noulin.)
Ce fil étant relatif -Méditation : effet sur le cerveau- il y a une petite induction tordue (involontaire) puisque l'on ne distingue plus de l'objet "cerveau" de sa ou plutôt de ses fonctions multiples.
Donc restons centré sur l'objet de ce fil ce qui ne sera déjà pas si simple même s'il y a des choses intéressantes à creuser mais plutôt du coté psychologie et surtout psychanalyse, plutôt du coté neuro-sciences.
Cordialement
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Dernière modification par Zozo_MP ; 05/12/2010 à 13h23. Motif: coquille
Faim dans le monde. Ne laissez de contributeur "sur leur faim", informez nous
L'auteur du livre est la Dalaï Lama (j'ai retrouvé le livre) et ce livre s'intitule "Comment pratiquer le bouddhisme". Si c'est c'est lui l'auteur j'ai envie de prendre ce qu'il dit plus au sérieux.Bonjour Mopral
Cet auteur n'a donc rien compris, ni au bouddhisme ni à la neuro anatomie, ni de quel système nerveux il parle.
Je pense qu'il ne faut pas confondre développement et plasticité.
Quand à la méditation du point de vue bouddhisme n'a pas pour objet d'augmenter la performance mais de diminuer l'opacité mentale qui est une notion qu'il faut bien comprendre dans le contexte pour ne pas faire de contre-sens.
Les ergonomes aurait d'ailleurs beau jeu de demander comment on défini la performance d'un système. (cf. P.Cazamian, Y Schwartz, Francois Hubault, M. Noulin.)
Ce fil étant relatif -Méditation : effet sur le cerveau- il y a une petite induction tordue (involontaire) puisque l'on ne distingue plus de l'objet "cerveau" de sa ou plutôt de ses fonctions multiples.
Donc restons centré sur l'objet de ce fil ce qui ne sera déjà pas si simple même s'il y a des choses intéressantes à creuser mais plutôt du coté psychologie et surtout psychanalyse, plutôt du coté neuro-sciences.
Cordialement
La méditation diminue l'opacité de l'esprit et n'a pas pour but de rendre plus intelligent. Cependant, rien ne dit qu'elle ne peut pas rendre plus intelligent. Si je ne me trompe pas, elle active des aires cérébrales comme l'hypocampe et les lobes frontaux.
Il faudrait savoir si la méditation, du moins certaines formes de méditation, développent des aires du cerveau ou sa plasticité. Mais que ce soit l'un ou l'autre, si on constatait une augmentation des capacités intellectuelles des pratiquants avec certaines formes de méditation, cela constituerait une découverte intéressante.
Il faudrait aussi que des tests de QI soit demandés à volontaires sur plusieurs mois à qui on fait faire des séances de méditation sous contrôle scientifique.
Plusieurs cas d'amélioration dans des disciplines intellectuelles ont été médiatisées comme des champions de calcul mental ou de la mémoire et certains d'entre eux disaient qu'ils étaient médiocres dans ces domaines et que le travail intensif leur a permis de faire des progrès impressionnant. Il reste à savoir s'il s'agit d'une meilleure plasticité ou d'un développement des aires cérébrales qui s'est produit, s'il y a une augmentation des connexions synaptiques et/où une fabrication de neurones.
Je me souviens avoir lu ou écouté que les chauffeurs de taxi, du fait qu'ils exercent régulièrement la représentation spatiale dans l'exercice de leur profession, ont un hyppocampe plus volumineux après quelques années. J'aimerais trouver des articles sur ce sujet.
Je termine avec quelques citation du livre que j'ai cité plus haut :
-"L'objectif de la méditation stabilisée consiste à renforcer l'aptitude de l'esprit à se focaliser sur un objet ou sur un thème qui, en retour, permet à l'esprit de triompher des prolèmes à la racine.
Cela vous donnera plus d'acuité et de vivacité dans votre vie quotidienne, augmentera la puissance de votre mémoire, ce qui sera utilie au cours de votre vie"
-"Vous avez atteint un stade béni de flexibilité physique et mentale."
Très franchement...où est le côté scientifique de tout ça, hmm?-"L'objectif de la méditation stabilisée consiste à renforcer l'aptitude de l'esprit à se focaliser sur un objet ou sur un thème qui, en retour, permet à l'esprit de triompher des prolèmes à la racine.
Cela vous donnera plus d'acuité et de vivacité dans votre vie quotidienne, augmentera la puissance de votre mémoire, ce qui sera utilie au cours de votre vie"
-"Vous avez atteint un stade béni de flexibilité physique et mentale."
Et ça veut dire quoi, "stade béni de flexibilité physique et mentale"?
Je pense qu'on ne peut pas parler de méditation entre européens comme en parlent les indiens et/ou de façon générale les peuples qui sont à l'origine du bouddhisme. Leurs structures mentales sont sûrement très différentes des nôtres, leur langue fonctionne différemment de la nôtre, donc chez eux ce concept a si ça se trouve une autre signification que celle que nous lui donnons couramment, et ils ne recherchent peut-être pas la même chose.
On ne pourrait le savoir qu'en lisant les textes dans la langue dans laquelle ils ont été pensés et écrits.
Ah mon avis, pour ce sujet, on a deux solutions ;
- soit on part dans un discours anthropologique
- soit on essaie de se recentrer "neurosciences et méditation" , c'est-à-dire ; "qu'est-ce que les neurosciences ont à nous dire en 2010 sur la méditation" et là il faut cesser de convoquer des personnalités qui ne sont pas des scientifiques ( genre le dalaï lama) et/ou des témoignages personnels qui n'ont rien à faire ici.
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
Les exercices de mémorisation et la plupart des activités "intellectuelles" (calcul mental, par exemple) activent ces aires.
A noter également que l'épilepsie permet aussi "d'activer" ces lobes, ou bien l'hyppocampe dans les MCI (mild cognitive impairment) qui serait un facteur prédictif d'une aggravation rapide (d'une "sclérose" déjà débutée).
C'est noté à chaque fois qu'il y a apprentissage (chez "tout le monde").Plusieurs cas d'amélioration dans des disciplines intellectuelles ont été ...
On remarque que l'entrainement permet quasi-systématiquement une amélioration des performances intellectuelles.
Il est aussi remarqué une différence d'activité (adaptation avec changement des zones mises en jeu) avec une diminution de l'activité des aires considérées pour certaines activités (tâches) alors que l'entrainement progresse.
http://www.cqma.info/article94.html
http://www.aae.ens-cachan.fr/colloqu...06-10-2006.pdf
Je pense que ce qu'il dit est basé sur son ressenti après sa pratique de la méditation. C'est une sensation très spéciale, à la fois de bien-être total et d'une perception plus intense et globale des choses qui nous entourent.
Ces propos ne sont pas seulement les siens car ils sont les même pour tous ceux qui méditent régulièrement. J'ai également envie de croire ces mots même s'ils ne sont pas scientifiques car la méditation est une pratique datant de plus de 2000 ans et que durant cette période, les bouddhistes ou les hindouistes par exemple ont largement eu le temps de tester et de vérifier les effets.
http://www.zen-deshimaru.com/FR/real...meditation.htm
Lorsqu'il parle de sujet précis, je pense qu'il fait allusion entre autre à la méditation par la visualisation mentale. Elle consiste à fixe une image mentale pendant une durée déterminée et a comme effet de stimuler la mémoire et l'imagination. Donc, il existe des méthodes développant l'intellect, même si le développement de l'intellect n'est pas le but final, ce dernier étant de développer sa compréhension globale du monde environnant.- Vous avez utilisé un type particulier de méditation?
– Nous en avons utilisé plusieurs mais principalement celle de la compassion universelle. Elle ne s'exerce pas sur un sujet précis, ce qui permet d'éviter la stimulation de la mémoire et de l'imagination.
Oui, d'accord, mais la méditation, elle, ne fait pas absorber de produit chimique à l'individu et a pour avantage de permettre à l'individu de maîtriser son état. Il faudrait aussi savoir si le cerveau de ceux qui absorbent des neurotropes est aussi stable que celui d'un méditant.
Enfin voilà, c'est un sujet réellement passionnant.
Apparemment, leur cerveau est justement nettement moins capable de gérer certaines situations (accidents ou déchéances, par exemple) mais les descriptions restent pourtant souvent identiques.
Peut-être que c'est le cas pour certaines formes de méditation, comme celle visant à se dépersonnaliser où effectivement il faut du temps pour reprendre conscience de soi-même et retrouver sa réactivité.
Cependant, la méditation concentrée (visualisation mentale), ou la méditation sur la compassion universelle permettent une plus disponibilité à l'action (c'est ce que dit Mathieu Ricard).
En fait, les résultats diffèrent selon les méthodes utilisées.
Par contre, quand je cherche des docs sur les zones cérébrales activées lors de la méditation je ne trouve que des IRM disponibles sans descriptif.
Bonjour
J'attire votre attention sur le fait que vos références répétées, majoritairement au bouddhisme du grand véhicule, commencent à être gênantes.
Soit vous êtes en mesure de développer un minimum d'arguments techniques sur les effets psychiques de la méditation dans le contexte en référence et non pas le cerveau qui a peu de sens, (comme on vous l'a déjà fait remarquer), soit nous serions malheureusement contraints de fermer ce fil en nous référant aux points relatifs aux religions dans la charte.
Cordialement.
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Tiens les rênes de ton esprit, comme tu tiendrais les rênes d'un cheval rétif.
Tu as aussi déjà fait remarquer que le Dalaï Lama ne s'y connait rien en bouddishme...
Régulation du système limbique par la méditation
Différence dans l'hémodynamique de méditant expert vs naifs.
Intéraction corps-esprit chez les méditants experts vs naifs.
Région spécifiquement associée au sens spirituel.
Effet de la pratique méditative sur les capacités attentionnelles.
Pour mémoire, PLoSOne, Neuron, J of Neuroscience, Neuroimage, c'est juste la crème de la crème des publications en neurosciences. Heureusement que tu es là pour nous rappeler que le cerveau n'a pas grand chose à voir avec la méditation, sinon on s'y tromperait.
Bonjour Jiav
aurais-tu l'amabilité de me dire dans quel message j'ai dit ça s'il te plait.
merci
Tu as aussi déjà fait remarquer que le Dalaï Lama ne s'y connait rien en bouddishme...Sur ce point, je me suis mal exprimé et tu fais bien de le relever car la méditation ne vise pas le cerveau en tant que tel par exemple en visant à réguler le système limbique.Heureusement que tu es là pour nous rappeler que le cerveau n'a pas grand chose à voir avec la méditation, sinon on s'y tromperait.
D'ailleurs qui serait capable de dire mon système limbique va mieux depuis que je médite ; si tu vois ce que je voulais exprimer.
C'est une question de visée finale et pas de mesures sur l'activité du cerveau qui existe bel et bien je suis d'accord avec toi et les sommités que tu m'as gentiment servi.
Pour précision de ce que je voulais exprimer c'est que la méditation bouddhiste (ou autres phylosophie) n'a cure du cerveau ce n'est pas la visée.
Merci pour les liens en tout cas, je vais en prendre connaissance.
Cordialement
Faim dans le monde. Ne laissez de contributeur "sur leur faim", informez nous
La méditation ferait-elle sécréter des endorphines ou de la sérotonine?C'est une sensation très spéciale, à la fois de bien-être total et d'une perception plus intense et globale des choses qui nous entourent.
( je n'ai pas encore lu les liens fournis par Jiav...)
Cette description peut même évoquer certains états provoqués par des substances d'usage illicite...
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
bonjour
si je puis me permettre, tout le monde ici parle de choses différentes....
Les images de quelqu'un en train de méditer permettent de "voir" les zones activées pendant cette activité, mais de là à en déduire des hypothèses sur les capacités intellectuelles de quelqu'un, même ceux qui étudient l'intelligence et les images cérébrales ne s'y risquent pas .
L'intelligence, et la pensée, sont justement ce que aucune image ne peut montrer....
D'autre part, encore faudrait-il s'entendre sur le terme "méditation"...
Et invoquer le dalai lama ici me parait pour le moins osé.....voire limite escroquerie tant sa pensée est utilisée déformée ici!!!!!!!
Quant au développement du système nerveux, tous les scientifiques ici vont bondir je suppose, car "développêr le système nerveux" est une expression de vulgarisation qui signe le peu de connaissance de celui qui l'utilise.....
Conclusion: dommage que la question de départ dévie........
Dans le 4è lien que tu donnes, ils disent que la capacité à la "self transcendence" ( comment traduire? auto-transcendance?)est augmentée après une lésion pariéto-temporale, si j'ai bien compris...sais-tu si on a essayé de voir s'il y avait plus de facilités à la méditation chez les personnes souffrant d'épilepsie temporale?
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
Spiritualité? the predisposition of human beings toward spiritual feeling, thinking, and behaviors.
Sur cette question spécifiquement je n'en ai pas vu, mais la Fig 2A montre un petit effet pré-chirurgie des gliomes en pariétal versus en antérieur sur le score de self-transcendance. Or ce type de lésion va aussi avec des épilepsies focales donc ça semblerait logique.
Bonsoir, je précise une seconde fois que l'hypothèse d'un éventuel bénéfice intellectuel lié à la pratique de la méditation sur une image mentale en continu est une simple hypothèse, ou plutôt une question.bonjour
si je puis me permettre, tout le monde ici parle de choses différentes....
Les images de quelqu'un en train de méditer permettent de "voir" les zones activées pendant cette activité, mais de là à en déduire des hypothèses sur les capacités intellectuelles de quelqu'un, même ceux qui étudient l'intelligence et les images cérébrales ne s'y risquent pas .
L'intelligence, et la pensée, sont justement ce que aucune image ne peut montrer....
D'autre part, encore faudrait-il s'entendre sur le terme "méditation"...
Et invoquer le dalai lama ici me parait pour le moins osé.....voire limite escroquerie tant sa pensée est utilisée déformée ici!!!!!!!
Quant au développement du système nerveux, tous les scientifiques ici vont bondir je suppose, car "développêr le système nerveux" est une expression de vulgarisation qui signe le peu de connaissance de celui qui l'utilise.....
Conclusion: dommage que la question de départ dévie........
Et comme je l'ai écrit plus haut, je pense qu'il faudrait que des tests d'intelligence soient demandés à des volontaires qui auront fait une séance de méditation sur l'attention juste avant de passer ce test.
Cette idée m'est venur lorsque j'ai lu à plusieurs reprises que certaines formes de méditation développent l'attention. Les changements observés par des scientifiques sur le calme des volontaires montrent que les effets vantés par certains auteurs se vvérifient sur le plan expérimental. Mon idée était donc de pousser la recherche scientifique sur le plan de l'intellect pur, avec des tests les plus sérieux possibles avant de faire une conclusion.
En tout cas, bien que j'ai cité le Dalai-Lama, je précise que je ne fais pas de prosélytisme, tout simplement car je ne suis pas bouddhiste mais un simple curieux. Ce sont ces gens-là qui ont écrit beaucoup de choses sur ce sujet et j'ai jugé utile de les citer, et il convient aussi de montrer des informations scientifiques sur le sujet pour voir s'il y a correspondance entre la théorie véhiculée dans ces livres et l'expérientation scientifique.
Je ne connais pas ces journaux et je n'ai absolument pas les connaissances qui permettraient d'avoir un regard critique sur ces articles. Mais, pour ouvrir une petite parenthèse, je me permettrais quand même de remarquer qu'en général, le sérieux des articles publiés n'est pas forcément proportionnel au facteur d'impact du journal. Les journaux à haut facteur d'impact publient souvent les articles qui constituent des grandes avancées qui pourront potentiellement être beaucoup citées. Et qui dit, grande avancé dit erreur potentielle. Et les journaux à haut facteur d'impact, si ils contiennent les articles les plus intéressants, contiennent donc aussi plus d'erreurs. (et il est d'ailleurs marrant de constater que ces journaux réchignent plus que les autres à publier les critiques sur leurs articles, les "comments"). Bon, 5 erreurs d'un coup, ça serait étonnant, je ne dis pas ça forcément pour le cas présent, mais dans un cas général.Pour mémoire, PLoSOne, Neuron, J of Neuroscience, Neuroimage, c'est juste la crème de la crème des publications en neurosciences.
En gros, pas de confiance aveugle. (Tout ça pour dire ça, pfff...)
Présenté comme ça, c'est beaucoup mieux car jusqu'à présent on pouvait penser qu'au mieux la méditation n'avait pas d'intérêt "particulier" et au pire, qu'elle pouvait être délétère.
Il est, amha, illusoire d'attendre un bénéfice intellectuel qui serait décelable par test d'intelligence après une seule séance de méditation (sinon on aurait vite beaucoup de nouveaux génies devenant de plus en plus géniaux après chaque séance). Mais que cela puisse faciliter ou améliorer une tâche suivant la séance est objectivable (comme pour certains jeux vidéo).
Sources, références ?et il est d'ailleurs marrant de constater que ces journaux réchignent plus que les autres à publier les critiques sur leurs articles, les "comments")
(rechignent plus que quels "autres" ?)
Plus d'erreur que quels autres journaux ?
Que la presse grand public ?
Et enfin, quelles erreurs si ce n'est le doute toujours accordé a l'hypothèse avancée en fonction de l'état de la science relaté par le dit-journal ?
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Aucune source, c'est juste ce que j'ai entendu de la part de plusieurs personnes lisant et publiant dans ces journaux.
Sinon, je parlais des journaux à haut facteur d'impact, donc par "les autres" j'entendais, les autres journaux scientifiques, à facteurs d'impact inférieurs.
Et dernièrement, les erreurs dont je parlais sont évidement celles qui sont prouvées scientifiquement, et il y en a.
Cela dit, j'accepte que l'on doute de la représentativité de mon expérience.
Mais je ne voulais pas du tout remettre en question les quelques journaux cités plus haut. (les erreurs fondamentales sur des articles importants doivent quand même rares, j'imagine) Je réagissais juste à l'affirmation selon laquelle un journal réputé mérite plus de confiance qu'un autre. En général quoi. Pour moi, un journal n'a pas besoin d'être réputé pour être vraiment digne de confiance, tant qu'il n'est pas financé par l'église de scientologie ou le loby créationniste...
J'ai dû mal exprimer mon idée, car je parlais de tests d'intelligence effectués régulièrement auprès de volontaire effectuant une séance de méditation sur une image mentale quotidiennement, ce qui permettrait de voir si cette méthode peut ou non améliorer progressivement l'intellect. Je pense également qu'un test n'est pas suffisant. Donc, je dis bien "des tests" effectués sur une longue période, par exemple sur 2 ou 3 ans.Il est, amha, illusoire d'attendre un bénéfice intellectuel qui serait décelable par test d'intelligence après une seule séance de méditation (sinon on aurait vite beaucoup de nouveaux génies devenant de plus en plus géniaux après chaque séance). Mais que cela puisse faciliter ou améliorer une tâche suivant la séance est objectivable (comme pour certains jeux vidéo).
En général, si on parle de journal (scientifique) réputé, c'est sous entendu : réputé pour avoir moins "d'erreurs" qu'un autre, sinon, il ne serait pas réputé, justement.
Je comprends mieux mais il faudrait un protocole qui permette de comparer avec un groupe témoin et gommer les autres différences mais je doute que le style de vie d'un méditant soit superposable à celui d'un non-méditant (?) et il restera toujours possible que la différence soient due a tout sauf à la méditation (mais qui en fait partie - ah oui, bah, j'y peux rien ...).J'ai dû mal exprimer mon idée, car je parlais de tests d'intelligence effectués régulièrement auprès de volontaire effectuant une séance de méditation sur une image mentale quotidiennement, ce qui permettrait de voir si cette méthode peut ou non améliorer progressivement l'intellect. Je pense également qu'un test n'est pas suffisant. Donc, je dis bien "des tests" effectués sur une longue période, par exemple sur 2 ou 3 ans.
A noter que la pratique régulière de tests permet l'entrainement à ceux-ci et on peut penser que ça amène à une amélioration des résultats sans avoir besoin autres facteurs (un peu comme l'éducation permet aux enfants de progresser).
Je comprends mieux mais il faudrait un protocole qui permette de comparer avec un groupe témoin et gommer les autres différences mais je doute que le style de vie d'un méditant soit superposable à celui d'un non-méditant (?) et il restera toujours possible que la différence soient due a tout sauf à la méditation (mais qui en fait partie - ah oui, bah, j'y peux rien ...).
A noter que la pratique régulière de tests permet l'entrainement à ceux-ci et on peut penser que ça amène à une amélioration des résultats sans avoir besoin autres facteurs (un peu comme l'éducation permet aux enfants de progresser).
A cause de l'amélioration aux tests de QI liée à la pratique régulière de ces tests, peut-être faudrait-il faire faire ces tests de manière plus espacée pour obtenir les résultats les plus objectifs possibles. C'est en tout cas un problème. Peut-être faudrait-il un grand nombre de volontaires. Si les experts de la méditation affirment qu'elle peut augmenter la mémoire et l'imagination, un suivi de la progression de l'intellect me semble être une bonne chose. Telle méthode semble apporter tels effets, donc une étude sur chaque méthode est plutôt intéressant. Par ailleurs, je voudrais savoir pourquoi cela n'a pas encore été fait à propos de cette forme de méditation alors que le cerveau et l'intellect font l'objet d'études depuis longtemps. Les scientifiques qui ont mené des expériences sur la diminution du stress n'étaient pas au courant de l'existence de la médiation sur l'mage mentale ou n'ont-ils pas eu les budgets, ou n'ont-ils pas souhaité faire cette étude ?
Je crois que tu sous-estimes la jeunesse du domaine. Ce qui a vraiment mis la méditation sur la map de la science, c'est de constater des effets objectifs en neurosciences. Pour cela il fallait de la neuroimagerie chez l'humain, c'est-à-dire des techniques qui n'existent que depuis une quinzaine d'années (l'EEG est plus ancien, mais son utilisation est restée rudimentaire tant que les PC n'avaient pas une puissance de traitement intéressante). Les neurosciences cognitives, c'est peu de gens avec un gros continent à explorer... on est encore au tout début!
Non, quand on dit "un grand journal" on parle du facteur d'impact :En général, si on parle de journal (scientifique) réputé, c'est sous entendu : réputé pour avoir moins "d'erreurs" qu'un autre, sinon, il ne serait pas réputé, justement.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Facteur_d%27impact
On ne juge pas un journal sur le nombre d'erreur qu'il contient mais sur le nombre de citations. Et les gens citent majoritairement les scoops. Une petite découverte ira dans un petit journal et ne sera pas forcément fausse.
Et un chercheur n'admet pas pour vrai un article qu'il n'a pas compris, sous prétexte que le journal et digne de confiance ou réputé. Etant dans son domaine, il comprend l'article et a un regard critique dessus, quelque soit le journal. Il n'a pas besoin de ce genre d'évaluation. En fait il n'est pas du tout question de confiance. Et bien heureusement d'ailleurs, sinon la recherche irait bien mal...
Mais j'ai le sentiment qu'on s'éloigne un peu du sujet et que ça n'est pas trop bon...
Grand journal souvent haut IF. Haut IF pas toujours grand journal. Si je dis grand journal, c'est parce que je veux dire grand journal. S je voulais dire haut IF, alors je dirais haut IF.
Là j'ai dis grand journal, pas grand IF. Bref, tu argumentes contre quelque chose qui est en fait une simple interprétation personnelle de ta part. Et ce que tu dénonces, c'est l'interprétation que tu as fait toi-même... à tort.
Merci quand même pour ce facteur d'impact que je ne connaissais pas mais qui est en fait qualitativement peu utile (seulement quantitatif et calculé a postérori et qui n'est pas représentatif de la qualité et donc, en effet, on peut dire qu'il puisse y avoir plus ou moins d'erreur dedans comme pour tout autre classement non qualitatif).