Les stimulus.
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Les stimulus.



  1. #1
    inviteabd41e49

    Question Les stimulus.


    ------

    Bonjour.
    Donc ma question est peu etre complexe...
    Le cerveau humain à la qualitée (ou le defaut) d'associer les choses entre elles, meme si elles n'ont aucun rapport entre elles.
    Les stimulis neutres associés a certains stimulis, permet par simple presentation du stimulis neutre, le déclanchement du stimulis lui etant associé:
    Exemple: La salivation d'un chien: dont le son d'une cloche est significatif d'apport de nourriture, le simple fait de faire sonner la cloche, déclanche la salivation du chien.
    Exemple 2: Un enfant n'ayant pas peur des souris (par exemple), si à chaque fois qu'il souhaite s'approcher de l'animal, un son désagréable se fait entendre dans la pièce (ou autre qu'un son (les posibilitées sont très vaste)) l'enfant associera cette animal à la gène produit par le son, à la douleur.
    Et ainsi ne s'approchera plus de cet animal dans le future. (les fameuses phobies, sont généralement dues à ce phénomène, mais tout à fait inconsciement)
    Ma question est celle-ci:
    Le cerveau associe-t-il TOUT les stimulis neutres à n'importe quel autre situation (souvent primitive (se nourrir, se reproduire,...))
    En plus clair, le cerveau humain peut-il associer n'importe quel stimulis à n'importe quel situation? (de manière à ce que, comme pour le chien, la présentation de celui-ci, engendre le comportement qui lui est associé)
    Merci bien!!

    -----

  2. #2
    invite6c250b59

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Le cerveau associe-t-il TOUT les stimulis neutres à n'importe quel autre situation (souvent primitive (se nourrir, se reproduire,...))
    En plus clair, le cerveau humain peut-il associer n'importe quel stimulis à n'importe quel situation?
    Normalement oui, ou disons que j'ai pas de contre exemple en tête. Par contre ça dépend de la saillance des stimuli et de leur "appétence", plus il faut que tu tiennes compte des phénomènes d'extinction (une association tend à disparaitre si elle n'est pas présentée régulièrement). Il y a en plus des cas de "période critique", comme l'exemple de l'oisillon qui s'attache à ce qu'il voit en sortant de l'oeuf.

  3. #3
    inviteabd41e49

    Question Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Jiav Voir le message
    Normalement oui, ou disons que j'ai pas de contre exemple en tête. Par contre ça dépend de la saillance des stimuli et de leur "appétence", plus il faut que tu tiennes compte des phénomènes d'extinction (une association tend à disparaitre si elle n'est pas présentée régulièrement). Il y a en plus des cas de "période critique", comme l'exemple de l'oisillon qui s'attache à ce qu'il voit en sortant de l'oeuf.
    Ok, merci.
    Existe-t-il un moyen, grace auquel le cervreau associe "mieux" ou en tout cas "plus vite" les élements?
    Une personne passant une phase de dépression, par exemple, se renferme sur elle meme, et devrait donc, logiquement etre moin influencable par les autres.
    En fait, existe-t-il un "conditionnement", une sorte de comportement à déceler chez l'individu, ou, un comportement à adopter, pendant lequel, la personne est plus sensible aux stimulis... ?

    Et, une deuxième petite question:
    Si le stimulis est faible (de toute facon, le stimulis doit etre inconscient,dans ce cas, pour pouvoir agir correctement, sans quoi, l'individu peut passer par une phase de "panique" et prendre ses distances) et est présent dans un dialogue, donc dans un domaine bien précis (choisis par l'expérimentateur, évidement)
    Je clarifie... (parce que je sais que mes questions sont vagues...)
    Un stimulis du genre "clignement répétitif à rythme régulier (ce qui arrive presque jamais en temps normal), ou position corporelle adoptée (du genre l'avant bras gauche contre le ventre et le bras droit le long du coprs (de manière à ne pas user d'une position "ordinaire") etc. Suffissent-ils comme stimulis? (Le cerveau parvient-il à faire un lien entre le sujet du discours et la position; clignement; de son interlocuteur?)
    De sorte, que par simple clignement répétitif (à rythme égale, bien entendu) ou par simple prise de cette position peu commune, le cerveau "pense" (inconsciement) à ce meme sujet.
    PS: Tout ce qui est inconscient joue sur le conscient!
    En hypnose par exemple, aussi bien Ericksonienne que Clasique, on emploi beaucoups la "memoire inconsciente".

    Je doute que le stimulis soit percu par le cerveau, et soit relié aux sujet du discourt.
    Tout ceci se joue sur la répétition évidemment.
    Le pouvoir de la répétition (de l'habitude) est bien connu...

    Meci beaucoups!

  4. #4
    invite6c250b59

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Une personne passant une phase de dépression (...) devrait donc, logiquement etre moin influencable par les autres.
    Pure spéculation.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    En fait, existe-t-il un "conditionnement", une sorte de comportement à déceler chez l'individu, ou, un comportement à adopter, pendant lequel, la personne est plus sensible aux stimulis... ?
    ...quand la personne porte son attention sur les stimulis.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    de toute facon, le stimulis doit etre inconscient,dans ce cas, pour pouvoir agir correctement, sans quoi, l'individu peut passer par une phase de "panique" et prendre ses distances
    PSII

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Le cerveau parvient-il à faire un lien entre le sujet du discours et la position; clignement; de son interlocuteur?)
    De sorte, que par simple clignement répétitif (à rythme égale, bien entendu) ou par simple prise de cette position peu commune, le cerveau "pense" (inconsciement) à ce meme sujet.
    Oui, mais la taille de l'effet doit être très faible, puisque 1) ton stimuli est peu saillant 2) si la personne pense à ce sujet hors conditions expérimentales, il y aura extinction.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Meci beaucoups!
    De iens!

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    invite02ff802c

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Existe-t-il un moyen, grace auquel le cervreau associe "mieux" ou en tout cas "plus vite" les élements?
    En fait, existe-t-il un "conditionnement", une sorte de comportement à déceler chez l'individu, ou, un comportement à adopter, pendant lequel, la personne est plus sensible aux stimulis... ?
    Il me semble que tu réduis tout au réflexe pavlovien de type stimulus-réponse.
    Un son de cloche peut être considéré comme un stimulus, c’est à dire la perception d’un phénomène physique simple. Il est facile de l’associer à un autre stimulus relativement simple comme la perception de nourriture afin de provoquer le réflexe de l’ouverture de l’appétit et donc la salivation.
    Ce type de conditionnement est abondamment utilisé dans le dressage des animaux et par extension dans l’entrainement militaire, par la méthode de punitions-récompenses pour associer « mieux ». Tu penses bien que les corporations des dresseurs n’ont cessé de perfectionner leur méthodes.

    Par contre, sur le reste, je ne vois pas bien où tu veux en venir. Il est clair que nous faisons souvent des associations entre des perceptions, qu’on ne peut pas réduire à de simples stimuli. Je te renvoie au fameux épisode de la madeleine de Proust.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Une personne passant une phase de dépression, par exemple, se renferme sur elle meme, et devrait donc, logiquement etre moin influencable par les autres.
    Tu fais là une erreur de méthode. Il ne faut jamais déduire par la logique en matière de psychologie en particulier et de sciences humaines en général. D’autant plus que cette phrase est tautologique : se renfermer sur soi-même consiste par définition à être moins réceptif aux autres.

    Souhaiter agir sur la dépression d’une personne par l’approche de type réflexe stimulus-réponse représente le degré zéro de la psychologie comportementale. D’une part cela a démontré son inefficacité et d’autre part elle pose surtout un problème d’ordre éthique. C’est oublier que la personne est un sujet, ce n’est pas un chien ou un cheval (ou un bidasse) qu’on peut, et qu’on a le droit de conditionner par la méthode pavlovienne.

    Il y a pourtant un paradoxe en la matière. D’un côté ce que tu dois considérer c’est la psyché d’un sujet, son histoire, ses représentations et, surtout dans le cas d’un dépressif, sa souffrance. De l’autre, comme tout ceci est en général très stéréotypé, on est bien obligé de prendre en compte un certain déterminisme. C’est néanmoins beaucoup plus compliqué, et moins logique, que de simples réflexes.

    ND

  7. #6
    inviteabd41e49

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Nicolas Daum Voir le message
    Il me semble que tu réduis tout au réflexe pavlovien de type stimulus-réponse.
    Un son de cloche peut être considéré comme un stimulus, c’est à dire la perception d’un phénomène physique simple. Il est facile de l’associer à un autre stimulus relativement simple comme la perception de nourriture afin de provoquer le réflexe de l’ouverture de l’appétit et donc la salivation.
    Ce type de conditionnement est abondamment utilisé dans le dressage des animaux et par extension dans l’entrainement militaire, par la méthode de punitions-récompenses pour associer « mieux ». Tu penses bien que les corporations des dresseurs n’ont cessé de perfectionner leur méthodes.

    Par contre, sur le reste, je ne vois pas bien où tu veux en venir. Il est clair que nous faisons souvent des associations entre des perceptions, qu’on ne peut pas réduire à de simples stimuli. Je te renvoie au fameux épisode de la madeleine de Proust.


    Tu fais là une erreur de méthode. Il ne faut jamais déduire par la logique en matière de psychologie en particulier et de sciences humaines en général. D’autant plus que cette phrase est tautologique : se renfermer sur soi-même consiste par définition à être moins réceptif aux autres.

    Souhaiter agir sur la dépression d’une personne par l’approche de type réflexe stimulus-réponse représente le degré zéro de la psychologie comportementale. D’une part cela a démontré son inefficacité et d’autre part elle pose surtout un problème d’ordre éthique. C’est oublier que la personne est un sujet, ce n’est pas un chien ou un cheval (ou un bidasse) qu’on peut, et qu’on a le droit de conditionner par la méthode pavlovienne.

    Il y a pourtant un paradoxe en la matière. D’un côté ce que tu dois considérer c’est la psyché d’un sujet, son histoire, ses représentations et, surtout dans le cas d’un dépressif, sa souffrance. De l’autre, comme tout ceci est en général très stéréotypé, on est bien obligé de prendre en compte un certain déterminisme. C’est néanmoins beaucoup plus compliqué, et moins logique, que de simples réflexes.

    ND
    Ok, merci beaucoups!
    Je comprends bien, qu'un individu ne peut etre considéré comme un vugaire animal de laboratoire (quoi que, j'éprouve une certaines peine pour eux, qui n'ont pas choisis d'etre torturé pour une espèce "intelligente").

    Il est clair, que la psychologie est une science très vaste, dont nul règles n'existe. Je veux dire par là, que les bases existes, mais comme tout individus est differents, comme chacun percois les choses differements, ayant vécus d'autres choses ( comme tu l'indique), c'est impossible de suivre un chéma stricte.
    Voila, j'ai deux questions qui me viennent... (oui, je sais, je suis un moulin à questions!)

    -> Un stimulis du type "je te prends la main", sans raisons apparente, et sans expliquations (l'autre se demandera "pourquoi me prendre la main?") lors d'un sujet bien précis d'un discours.
    Si cette "expérience" se répète, pour devenir presque "habituelle", l'individus ne se posera plus la question "pourquoi me prendre la main?". Et ainsi, je supose, à l'avenir (le facteur est décroissant, bien evidement, au fil du temps) qu' inconsciement (ou consciement peu etre, je ne sais pas) il repense à ce sujet bien précis, et donc, sera influencé dans ses jugements.
    (Comme le précise Freud, nos pensées incoscientes engendre une réponse consciente, dont on ne trouve souvent pas l'origine)

    -> Pratiquant l'hypnose Ericksoniènne, je me demande s'il est possible de faire entrer un sujet en etat de transe légère (qui peut s'approfondire par la suite) rien que dans un discours?
    Normalement, on demande de se détendre etc...
    Dans un discours, on se doit d'etre très concentré sur ce que l'on nous dis, mais aussi sur ce que nous disons. Et comme on le sais, toute concentration, est suivis d'un grand relachement de l'atention.
    Et c'est, celon moi, ce moment qu'il faut pouvoir percevoir...

    Merci beaucoups! Vous etes géniaux! Toutes vos réponses compte beaucoups pour moi!

  8. #7
    invite02ff802c

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Il est clair, que la psychologie est une science très vaste, dont nul règles n'existe. Je veux dire par là, que les bases existes, mais comme tout individus est differents, comme chacun percois les choses differements, ayant vécus d'autres choses ( comme tu l'indique), c'est impossible de suivre un chéma stricte.
    Les sciences humaines, dites « molles », sont beaucoup moins matures que les sciences de la matière, dites « dures ». Elles en sont encore à définir leur objet et leurs méthodes mais elles ne sont pas sans règles pour autant.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Un stimulis du type "je te prends la main", sans raisons apparente, et sans expliquations (l'autre se demandera "pourquoi me prendre la main?") lors d'un sujet bien précis d'un discours.
    Un stimulus au sens strict est un général la perception d’un phénomène simple, en principe dépourvu de sens à priori, comme le son de cloche de Pavlov. Prendre la main de quelqu’un est au contraire chargé de sens, au moins d’un sens potentiel. Si la personne ne sait pas ce que tu signifies par là elle pensera que tu as nécessairement une intention et elle s’interrogera. À mon sens ça ne peut pas être utilisé comme un simple stimulus.
    Cela dit, je ne comprends toujours pas où tu veux en venir.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Pratiquant l'hypnose Ericksoniènne, je me demande s'il est possible de faire entrer un sujet en etat de transe légère (qui peut s'approfondire par la suite) rien que dans un discours?
    Je n’ai aucune idée de ce qu’est l'hypnose Ericksoniènne.

    ND

  9. #8
    inviteabd41e49

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Nicolas Daum Voir le message
    Les sciences humaines, dites « molles », sont beaucoup moins matures que les sciences de la matière, dites « dures ». Elles en sont encore à définir leur objet et leurs méthodes mais elles ne sont pas sans règles pour autant.


    Un stimulus au sens strict est un général la perception d’un phénomène simple, en principe dépourvu de sens à priori, comme le son de cloche de Pavlov. Prendre la main de quelqu’un est au contraire chargé de sens, au moins d’un sens potentiel. Si la personne ne sait pas ce que tu signifies par là elle pensera que tu as nécessairement une intention et elle s’interrogera. À mon sens ça ne peut pas être utilisé comme un simple stimulus.
    Cela dit, je ne comprends toujours pas où tu veux en venir.


    Je n’ai aucune idée de ce qu’est l'hypnose Ericksoniènne.

    ND
    Bon, l'hypnose Ericksonniene c'est un peu comme l'hypnose traditionelle (comme durant les spectacles) mais, dans un but plus térapeutique. Et surtout, à l'avantage d'utiliser des subtilitées psychologiques de manière à contourner l'esprit critique du patien, et par le meme cas, sont "blocage".
    Car certaines personnes ont peur de l'inconnu, donc de l'hypnose, peur de perdre le controle,... etc.

    Ou je veux en venir?
    Et bien, je souhaite simplement effectuer un test psychologique, metant en scène cette fameuse "mémoire inconsciente".
    D'une manière plus générale, je souhaite obsèrver une variation d'opignons (ou comportements...) lors du stimulis.
    (Ayant pour objectif de prouver la capacité de notre cerveau à relier les choses entre elles, sans raisons apparentes)


    Si la personne ne sait pas ce que tu signifies par là elle pensera que tu as nécessairement une intention et elle s’interrogera. À mon sens ça ne peut pas être utilisé comme un simple stimulus.

    ND
    Et bien, si le stimulis se répète comme je le disais, ce sera comme "une habitude" et donc l'esprit critique ne sera plus eveillé par cette "prise de main".
    Enfin, je pense...
    Merci pour vos réponses!
    Merci.

  10. #9
    invite02ff802c

    Re : Les stimulus.

    Tout ça ne me parait pas clair du tout et je pense que tu joues avec le feu. Je trouve que tes intentions sont assez critiquables et que tu devrais avoir plus de bouteille avant de te lancer dans des expériences psychologiques visant à contourner les défenses de tes cobayes.

    ND

  11. #10
    inviteabd41e49

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Nicolas Daum Voir le message
    Tout ça ne me parait pas clair du tout et je pense que tu joues avec le feu. Je trouve que tes intentions sont assez critiquables et que tu devrais avoir plus de bouteille avant de te lancer dans des expériences psychologiques visant à contourner les défenses de tes cobayes.

    ND

    Pourquoi dire ca?
    Je n'ai aucune mauvaises intentions!
    Pourquoi dire que je joue avec le feu ?
    Est-ce donc encore si mal vu?
    On ne peut pas aller a l'encontre des ideaux d'une personne, donc on ne peut en aucun cas, la manipuler, au sens direct.
    ?-- -- Je ne comprend toujours pas pourquoi dire ca...
    Les experiences psychologiques devraient au contraire etre solicitées, car les gens ont une très mauvaise notion du fonctionnement humain, des relations entre individus...
    Merci.

  12. #11
    invite02ff802c

    Re : Les stimulus.

    Ce qui m’inquiète justement c’est que tu parles de thérapeutique et de manipulation des opinions de ton cobaye par des moyens de type réflexe pavlovien ou alors, de façon plus élaborée, hypnotique, alors que je ne comprends vraiment ni tes objectifs, ni tes méthodes, ni ta déontologie.
    Tu te lances à la fois dans la thérapie et l’expérimentation avec des bases psychologiques plutôt dévaluées et assez confuses. Ça ne me plait pas, c’est vrai.

    ND

  13. #12
    invite6b1a864b

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Bonjour.
    Donc ma question est peu etre complexe...
    Le cerveau humain à la qualitée (ou le defaut) d'associer les choses entre elles, meme si elles n'ont aucun rapport entre elles.
    Les stimulis neutres associés a certains stimulis, permet par simple presentation du stimulis neutre, le déclanchement du stimulis lui etant associé:
    Exemple: La salivation d'un chien: dont le son d'une cloche est significatif d'apport de nourriture, le simple fait de faire sonner la cloche, déclanche la salivation du chien.
    Exemple 2: Un enfant n'ayant pas peur des souris (par exemple), si à chaque fois qu'il souhaite s'approcher de l'animal, un son désagréable se fait entendre dans la pièce (ou autre qu'un son (les posibilitées sont très vaste)) l'enfant associera cette animal à la gène produit par le son, à la douleur.
    Et ainsi ne s'approchera plus de cet animal dans le future. (les fameuses phobies, sont généralement dues à ce phénomène, mais tout à fait inconsciement)
    Ma question est celle-ci:
    Le cerveau associe-t-il TOUT les stimulis neutres à n'importe quel autre situation (souvent primitive (se nourrir, se reproduire,...))
    En plus clair, le cerveau humain peut-il associer n'importe quel stimulis à n'importe quel situation? (de manière à ce que, comme pour le chien, la présentation de celui-ci, engendre le comportement qui lui est associé)
    Merci bien!!
    Bonjour,
    Je pense que oui ! Le tester, ça a du être fait (par Pavlov ? ).

    inon j'ai vérifié, c'est un stimulus, et des stimuli (et non l'inverse)..
    Autant je suis nul en orthographe, autant quand ça touche le son, je le sens tout de suite, ça me saute à l'oeil (phrase humoristique réunissant les 5 sens).

    Moi le teste plus subtile que j'aimerais faire, (je cherche d'ailleurs depuis longtemps à faire un programme informatique capable de ça)
    c'est la capacité de création du cerveau. Je m'explique : ce pouvoir du cerveau à priori est plus puissant que la simple association.
    Par exemple, on peut tester
    - des corrélations plus faibles (des variations de probabilités entre stimuli corrélé entre elle)... par exemple quand une lumière est bleu, il y a 0.6 chance d'être récompensé plutôt que punis, tandis que quand elle est rouge, la probabilité tombe à 0.4.
    Quelle sensibilité à la corrélation en somme (et le nombre d'expérience nécessaire pour l'établir)
    - ensuite des corrélations avec un décalage temporel. Imaginer par exemple qu'on donne de la nourriture au chien seulement 60 minutes aprés la sonnerie de la cloche. Jusqu'à quelle seuil temporelle le cerveau peut il identifier la corrélation. (à priori un humain peut établir des corrélations parfois très longue)
    - avec d'autre bruits. Autrement dit, au lieu de corrélation, on devrait chercher à établir des implications. A implique B, mais B peut arriver sans A.

    Bref on chercherais globalement à mesurer le pouvoir du cerveau à recréer des structures causales plutôt que des corrélations.

  14. #13
    inviteabd41e49

    Exclamation Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par One Eye Jack Voir le message
    Bonjour,
    Je pense que oui ! Le tester, ça a du être fait (par Pavlov ? ).

    inon j'ai vérifié, c'est un stimulus, et des stimuli (et non l'inverse)..
    Autant je suis nul en orthographe, autant quand ça touche le son, je le sens tout de suite, ça me saute à l'oeil (phrase humoristique réunissant les 5 sens).

    Moi le teste plus subtile que j'aimerais faire, (je cherche d'ailleurs depuis longtemps à faire un programme informatique capable de ça)
    c'est la capacité de création du cerveau. Je m'explique : ce pouvoir du cerveau à priori est plus puissant que la simple association.
    Par exemple, on peut tester
    - des corrélations plus faibles (des variations de probabilités entre stimuli corrélé entre elle)... par exemple quand une lumière est bleu, il y a 0.6 chance d'être récompensé plutôt que punis, tandis que quand elle est rouge, la probabilité tombe à 0.4.
    Quelle sensibilité à la corrélation en somme (et le nombre d'expérience nécessaire pour l'établir)
    - ensuite des corrélations avec un décalage temporel. Imaginer par exemple qu'on donne de la nourriture au chien seulement 60 minutes aprés la sonnerie de la cloche. Jusqu'à quelle seuil temporelle le cerveau peut il identifier la corrélation. (à priori un humain peut établir des corrélations parfois très longue)
    - avec d'autre bruits. Autrement dit, au lieu de corrélation, on devrait chercher à établir des implications. A implique B, mais B peut arriver sans A.

    Bref on chercherais globalement à mesurer le pouvoir du cerveau à recréer des structures causales plutôt que des corrélations.


    - ensuite des corrélations avec un décalage temporel. Imaginer par exemple qu'on donne de la nourriture au chien seulement 60 minutes aprés la sonnerie de la cloche. Jusqu'à quelle seuil temporelle le cerveau peut il identifier la corrélation. (à priori un humain peut établir des corrélations parfois très longue)
    Et bien celon le principe des réponses ou réflexes "pavlovien" (du nom du personnage en ayant étudier les caractéristique, ce fameux russe, qui fut mal percu a sont époque! Et oui, toutes découvertes est dabord dérangeante avant d'etre utile )
    Bon, donc celon ce principe, le stimulus doit etre très rapporché de l'élément à associer. Je crois que les meilleures résultat, pour le chien, est de quelques secondes!
    De plus, les stimulis sont mieux "plus vite du moin" associés aux fonctions primitives, que secondaire.
    (se nourrire, se reproduire, la communication,...) / (jouer, s'instruire,...)

    Moi le teste plus subtile que j'aimerais faire, (je cherche d'ailleurs depuis longtemps à faire un programme informatique capable de ça)
    c'est la capacité de création du cerveau. Je m'explique : ce pouvoir du cerveau à priori est plus puissant que la simple association.
    Et bien, aucun programme ne sera jamais capable de faire cela!
    Un programme "une machine" n'a pas de rescentit.
    Une machine, aussi complexe soit-elle, n'a pas de subconscient.
    Bref... n'a rien... qui puisse nous etre comparable.
    Tout est different de nous! La memoire, les sensations (corporelles, extra-corporelles,...)
    Donc, sur ce fait... je suis très septique.
    Mais on dit que rien n'est impossible


    des corrélations plus faibles (des variations de probabilités entre stimuli corrélé entre elle)... par exemple quand une lumière est bleu, il y a 0.6 chance d'être récompensé plutôt que punis, tandis que quand elle est rouge, la probabilité tombe à 0.4.
    Quelle sensibilité à la corrélation en somme (et le nombre d'expérience nécessaire pour l'établir)
    Je pense que les réponses doivent etre soit possitives dans 100% des cas ou negatives.
    Je ne sais pas si cette experience mène des résultats interessants... Faudrait essayer pour savoir!

    Merci.

  15. #14
    invite6b1a864b

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par Shiron Voir le message
    Eh bien selon le principe des réponses ou réflexes "pavlovien" (du nom du personnage en ayant étudier les caractéristique, ce fameux russe, qui fut mal perçu a sont époque! Et oui, toutes découvertes est d'abord dérangeante avant d'être utile )
    Bon, donc selon ce principe, le stimulus doit être très rapproché de l'élément à associer. Je crois que les meilleures résultat, pour le chien, sont de quelques secondes!
    De plus, les stimuli sont mieux "plus vite du moins" associés aux fonctions primitives, que secondaire.
    (se nourrir, se reproduire, la communication,...) / (jouer, s'instruire,...)



    Eh bien, aucun programme ne sera jamais capable de faire cela!
    Un programme "une machine" n'a pas de ressenti.
    Une machine, aussi complexe soit-elle, n'a pas de subconscient.
    Bref... n'a rien... qui puisse nous être comparable.
    Tout est différent de nous! La mémoire, les sensations (corporelles, extra-corporelles,...)
    Donc, sur ce fait... je suis très sceptique.
    Mais on dit que rien n'est impossible



    Je pense que les réponses doivent être soit positives dans 100% des cas ou négatives.
    Je ne sais pas si cette expérience mène des résultats intéressants... Faudrait essayer pour savoir!

    Merci.

    hum c'est plus mes talents de programmeur et ma motivation d'amateur qui sont en cause..
    Le processus est simple en somme : des récepteurs, une mémoire à court terme, des hypothèses de corrélation (faire des statistiques pour déterminer le taux de corrélation entre deux séries de donnée n'a rien d'effroyablement compliqué), une sélection darwinienne des hypothèses..
    Ce n'est pas "l'intelligence" car le système n'a pas d'autre objectif que de prévoir les valeurs de ces récepteurs.. (pour le réflexe pavlovien, il suffit en fait d'établir un retour d'expérience : la douleur remonte (dans le temps) jusqu'à ces causes, le long des corrélations, qui remonte jusqu'aux corrélations chargées de prévoir (et donc en faite de définir) le propre comportement de l'individu virtuel..
    Le problème c'est que le programme en question devra être massivement parallèle pour être efficace, puisqu'il s'agit de choisir parmi P(n*dt)^2 corrélation possible issu de n récepteur.. (étant donné que les corrélations complexe apparaissent dans des "images" rassemblant plusieurs récepteurs, tout comme on remarque d'abord les formes globales avant d'analyser la structure)

  16. #15
    inviteabd41e49

    Re : Les stimulus.

    Citation Envoyé par One Eye Jack Voir le message
    hum c'est plus mes talents de programmeur et ma motivation d'amateur qui sont en cause..
    Le processus est simple en somme : des récepteurs, une mémoire à court terme, des hypothèses de corrélation (faire des statistiques pour déterminer le taux de corrélation entre deux séries de donnée n'a rien d'effroyablement compliqué), une sélection darwinienne des hypothèses..
    Ce n'est pas "l'intelligence" car le système n'a pas d'autre objectif que de prévoir les valeurs de ces récepteurs.. (pour le réflexe pavlovien, il suffit en fait d'établir un retour d'expérience : la douleur remonte (dans le temps) jusqu'à ces causes, le long des corrélations, qui remonte jusqu'aux corrélations chargées de prévoir (et donc en faite de définir) le propre comportement de l'individu virtuel..
    Le problème c'est que le programme en question devra être massivement parallèle pour être efficace, puisqu'il s'agit de choisir parmi P(n*dt)^2 corrélation possible issu de n récepteur.. (étant donné que les corrélations complexe apparaissent dans des "images" rassemblant plusieurs récepteurs, tout comme on remarque d'abord les formes globales avant d'analyser la structure)
    Wooow!
    Ca en fait du temps que je ne suis plus venu..
    Et bien tout ca ma l'air très complexe.. mais, heu, oui ca doit etre faisable!! (avec beaucoups d experience sans doute, et de patience!)
    Mais n'oublie pas qu'une machine n a pas de libre arbitre..

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