La thèse centrale du livre:
1. Le Q.I moyen d'un pays détermine très fortement son PIB par habitant (corrélation de 0,757, voyez ci-dessous le tableau)
http://www.douance.org/qi/qicorrel.htm#lynn
2. Les variations d'intelligence sont donc un point central de l'économie mondiale.
3. La question centrale est donc de savoir si les différences intellectuelles entre les nations sont d’origine innée ou acquises: en d'autres termes, la richesse des nations est-elle la conséquence de la haute intelligence ou la cause ?
Toujours suivant le livre:
On a aujourd'hui toutes les raisons de croire que la richesse d’une nation est la conséquence de sa haute intelligence innée. Aussi fataliste que cela puisse paraitre, vous pouvez facilement :
-Mesurer la part des différentes races dans une nation.
-Prédire le niveau intellectuel moyen de cette nation sur base de la répartition raciale et de l’intelligence moyenne de ces différentes races (Ashkénaze 115, Est-asiatiques 105, Européens 100, Sud-est asiatiques 87, Amérindiens 87, Middle easterners 84, africains 70-80 (85 en Amérique car les afro-américains ont en moyenne 25 pourcent d’ascendance européenne), Aborigènes d’Australie 62.
-Prédire grosso modo le PIB par habitant et l’indice de développement humain de cette région sur base du niveau intellectuel moyen.
Voyez cette carte du Q.I moyen des différentes régions du globe (ou on voit bien que l’intelligence est fragmentée par race avec les zones européennes à 100, est-asiatique à 105, africaine à 70, arabe à 85)
http://en.wikipedia.org/wiki/File:Na...Inequality.png
Il y a des exceptions au succès économique : les pays communistes sont évidemment plus pauvres, Corée du Nord, Chine (qui se rattrape petit à petit), Russie (qui se rattrape)
Voilà l’idée générale que je tenais à vous expliquer. Avez-vous déja parcouru « The global bell curve » ou « Race differences in intelligence », 2008 et 2006, Richard Lynn ?
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