On s'écarte du sujet.
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On s'écarte du sujet.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Salut !
[HS déclenché]Le truc c'est qu'une espèce qui détruit le super-prédateur agit sur tous ces facteurs[/fin du HS]
@ +
Bonsoir,On s'écarte du sujet.
Ne devrait-t-on pas dire :
"On s'écarte de l'objet." Le sujet étant celui qui examine l'objet, ici l'objet de la discussion...
Nous sujets curieux, exerçons notre curiosité à propos de la curiosité. Une mise en abime de la curiosité, en quelque-sorte, le comble de la curiosité, la curiosité à la puissance 2...
Cordialement,
Bravo..., c'est le cas pour toutes les questions qui concernent les sciences humaines.Bonsoir,
Ne devrait-t-on pas dire :
"On s'écarte de l'objet." Le sujet étant celui qui examine l'objet, ici l'objet de la discussion...
Nous exerçons notre curiosité à propos de la curiosité. Une mise en abime de la curiosité, en quelque-sorte, le comble de la curiosité, la curiosité à la puissance 2...
Cordialement,
Moi au moins deux : les bactéries et les virus.
C'est sujet à discussion. Donc non, il suffit de lire la phrase "dans le texte", valable pour la langue Française (du forum).
http://www.linternaute.com/dictionna...inition/sujet/
http://www.mediadico.com/dictionnair...nition/sujet/1
http://fr.thefreedictionary.com/sujet
Pourquoi pas la curiosité de la curiosité de la curiosité, etc .. puissance X ?
Pour quelqu'un d'aussi obtus sur ... la tournure des phrases (pourtant claires et correctes), celle-ci est ... surprenante.
Tout y passe, sauf le sens ou le contexte...
Le "super-prédateur" de mes deux genoux à tatie Lulu, on va mettre ça de côté bien au chaud pour des sujets basés sur la prédation humaine, d'accord ?
Actuellement, nous nous intéressons à l'origine de la curiosité. Les circonvolutions locutives diverses et variées sont à réserver pour des forums littéraires -- ce que n'est pas FSG au passage. Mais on peut s'amuser à qui noiera le poisson en premier aussi...
Enchaînons maintenant sur l'illustration citée plus haut : l'animal en tant que commensal de l'homme -- donc qui n'a aucune relation de proie ou prédation avec l'homme.
Comme par exemple le rat noir habitué des égouts parisien, ou le pigeon ramier, ou la corneille commune souvent confondue avec le corbeau (beaucoup plus rare). Qu'ont ces espèces comme caractéristiques comportementales qui leurs permettraient de côtoyer l'homme avec tant de faciliter, sans devenir domestiques ? Certains diront que ce sont des nuisibles, mais plus parce que nous ne voulons pas d'eux dans notre environnement que parce qu'ils échouent à s'adapter.
Ce serait étonnant que ces animaux n'aient jamais observé l'homme ni compris quelles limites assujettissent ses capacités, même mécanisées. A l'origine, observer l'homme n'a aucun avantage direct, à part peut-être prendre la fuite. Avec un peu de curiosité, parce qu'un individu observe sans forcément prévoir de fuir, juste pour récolter des informations d'utilité(s) indéterminée(s), l'animal peut anticiper un ou plusieurs avantage(s) déductible(s) -- dans le cas présent, déductible(s) des actions humaines -- comme trouver ses restes de nourritures d'une rare qualité, déjà tués/préparés, avec peu de prédateurs et/ou concurrents immédiats, occuper une partie de ses infrastructures en fait d'habitat, prospérer à peu de frais (explosion des populations de "nuisibles").
La curiosité comme avantage naturel sélectionné ?
Bonsoir,
La question de l'origine de la curiosité, admet-elle la possibilité d'une réponse scientifique ?
Car après tout, l'objet dont-il est question, n'est guerre objectivable.
C'est une objet, sans substance...
Comme peut-on observer un comportement et affirmer à coup sûr, qu'il s'agit de curiosité ?
Pire encore comme attester à coup sûr d'une tel comportement, chez l'animal, sans tomber dans une sorte d'anthropomorphisme ?
En d'autre terme, je pose la question :
La curiosité peut-elle est considérée comme objet de science ?
Quelle méthodologie adopter pour objectiver la curiosité que ce soit chez l'humain, ou chez l'animal ?
Cordialement
Salut !
Personnellement, il me semble que l'anthropomorphisme se caractérise par une rationalisation de notre animalité !!!
Cordialement,
Bonsoir,Bonsoir,
La question de l'origine de la curiosité, admet-elle la possibilité d'une réponse scientifique ?
Car après tout, l'objet dont-il est question, n'est guerre objectivable.
C'est une objet, sans substance...
Comme peut-on observer un comportement et affirmer à coup sûr, qu'il s'agit de curiosité ?
Pire encore comme attester à coup sûr d'une tel comportement, chez l'animal, sans tomber dans une sorte d'anthropomorphisme ?
En d'autre terme, je pose la question :
La curiosité peut-elle est considérée comme objet de science ?
Quelle méthodologie adopter pour objectiver la curiosité que ce soit chez l'humain, ou chez l'animal ?
Cordialement
ce qui serait plus cohérent notamment en reprenant vos anciens messages où vous laissiez entendre que la curiosité était mauvais-en-soi, ca serait de savoir si pour vous, il y a possibilité d'une discussion sur la question à partir du moment où l'on définit de manière scientifique la curiosité en étant tout à fait conscient du caractère partiel des réponses que la science peut apporter dans notre compréhension du monde dont la question posée en est un échantillon.
Ainsi la discussion prendrait à la fois un caractère éthique et scientifique car motivée par une curiosité à la fois "prudente" en précisant les limites de la sciences et aussi "ouvertes" car n'interdisant aucuns types de réponse possibles éthiquement reconnus notamment scientifiques.
Si vous n'acceptez pas ce dialogue ouvert et tolérant alors on ne pourrait que qualifier par les épithètes antonymes vos motifs de refus.
Donc finalement la question est plutôt que celle que vous posez : êtes vous en mesure d'accepter selon certaines modalités la possibilité d'une discussion constructive sur la question ?
Dernière modification par invite7863222222222 ; 13/12/2010 à 22h05.
Je suis désolé de faire un gros retour arrière, mais il me semble que, à l'encontre de ce qui est en italique dans ce qui précède, TOUTE curiosité tend JUSTEMENT à modifier son environnement.
Je n'ai jamais vu un enfant chercher à comprendre son environnement sans s'y impliquer, autrement dit le modifier.
Le rôle de l'observateur non intrusif ne tient pas la route, même pas JJ Fabre.
Il le modifie pour en explorer les limites. Il prend de la neige, il constate qu'il peut en faire une boule. Ca reste de la curiosité. Ce n'est plus le cas quand il fait un bonhomme de neige. Là, c'est de l'art et de la technique.
May pre house the seamy side volitation!!!
Bonsoir,
Peut-on objectiver la curiosité par un comportement spécifique ?
Cordialement,
Jolie pirouette.
Et jusqu'où peut-il le modifier "pour en explorer les limites", avant que TU ne décides que cela devienne de l'art ou de la technique ?
Tu me transposes cela avec Einstein, Dirac ou Newton pour que je sois sur de bien comprendre.
Etablir une théorie scientifique tel Einstein l'a fait, demande de la curiosité, mais pas seulement, cela demande notamment de la persévérance, de l'imagination. La curiosité peut se manifester dans différents domaines aussi scientifiquement, socialement, culturellement, historiquement etc.
Par habitude, on entend plus curiosité comme comportement atomique : l'enfant cherchant à comprendre, ou l'adulte qui se comporte de manière à en savoir davantage, par exemple.
Je pense plutot que vous vous méprenez sur l'objectif de la discussion que vous semblez avoir compris comme "Qu'est-ce que la curiosité ?". Je vous conseille donc dabord la lecture de la page wikipédia donnant une définition de la curiosité : http://fr.wikipedia.org/wiki/Curiosi...acult%C3%A9%29
Si on reprend l'expérimentation de l'enfant avec la neige...
Qu'est-ce qui le pousse à expérimenter ? Qu'est-ce qui le pousse à imaginer ? Qu'est-ce qui le pousse à jouer ? L'instinct d'apprendre ?
Bonjour Cécile,
Petite question :
La période du "pourquoi ?" suit-elle ou précède-t-elle le questionnement fatidique : "D'où viennent les enfants ?"