Attention, ne faite pas le test car pour avoir le résultat il faut envoyer un sms qui coûte 4,5 € d'où le résultat maxi de 124 car au delà on n'est pas assez c.. pour payerBjr à toi,
Ben suffit de demander à Google:
"...étude sur le QI en France.."
Chose amusante SUIVANTE les études le QI varie de 94 (les débiles ?) à 124 (au dessus de la moyenne).
On ne sait plus à qui se fier !!!
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&...7MPcvZ6X-nuvkw
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&...ZWv0L13ObHGgdw
Bon AM
Le classement Pisa est quand même sacrément controversé.
Par exemple en math, il n'évalue pas ou peu les connaissances géométriques. Sur ce point ce sont les écoliers français qui sont lésés, sur d'autres points ce sont d'autres élèves.
Comme disait un certain A. Einstein: "tout le monde est un génie ; mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide "
Le sujet est : QI et réussite
Si on parle de réussite dans les écoles c’est un peu vrai.
Mais pour la réussite en général dans la vie, le QI n’a pas de place.
L’ai lu que QI de George Walker Bush est très faible mais il a réussit à devenir président des USA
que veut dire :
"réussite en général dans la vie". ????
c'est totalement subjectif .( à la fois du point de vue de "l autre" et du point de vue de soi même )
Ca, j'aimerai bien en avoir la preuve, parce qu'à titre personnel, je doute que quelqu'un ayant des capacités limitées ait pu avoir ce parcours.
Je pense que cela relève plus de la légende que d'autre chose.
Quant à "la réussite en général dans la vie", chacun ayant ses propres critères, il est en effet impossible d'évaluer l'incidence du QI sur celle-ci.
aucun site ne donne la même évaluation.
mais en général, cela autour de 120 , ce qui n'est pas mal.
à part un seul qui lui attribue un 91, le même qui donne un plus de 180 à clinton ?????
d'ou sortent ces chiffres.
on dirait du sous-closer !
je sais pas d'ou sortent ces chiffres,
Mais George W Bush dit lui meme que je n'ai pas un esprit analytique, le role du QI n'est pas l'imporant
Plusieurs remarques :
- Les américains en général n'utilisent pas la même échelle que les européens pour évaluer le QI.
Ils utilisent l'échelle de Catell, beaucoup plus "large" que l'échelle de Wechsler que nous utilisons.
Ainsi, un QI américain de 120 correspond à un QI de 113 chez nous.
c'est pour ça, notamment qu'on entend parfois des chiffres faramineux, que telle ou telle star ou scientifique US a un I de 190 ou 220 ... ce qui chez nous n'a pas de sens, le WISC ou la WAIS n'allant pas jusque là.
- ce chiffre de 120 pour Bush, est si j'ai bien compris issu d'une "estimation" faite par un psy américain.
Une bonne fois pour toute, un test de QI ne relève pas d'une démarche type "boule de cristal" et le QI d'une personne ne peut s'estimer à distance.
Ce chiffre ne peut donc qu'être considéré comme fantaisiste.
- Ceci dit, un QI américain de 120 veut dire que sur 100 personnes de la population de référence, 85, seront moins intelligentes que lui, et 14 plus intelligentes.
Ce n'est pas non plus le dernier des idiots.
j'ajoute 2 liens intéressants
- sur la différence de mesure entre France et EU
- et le QI des célébrités
oui,
j'aime bien le second
sinon , il me semble que ce topic est un peu en bout de course.
Cdt
et sans le I ça marche pas mieux ?
en bout de course dites vous , alors je me retire
Aucun posteur n'aurait il tapé "QI et réussite" dans google ?
Le premier lien : L’importance du QI dans la réussite
et ça permet d'explorer QI et échec qui peut conforter QI et réussite
Un sujet assez sensible, mais tout de même important, est le lien entre le crime et le QI. La probabilité d’avoir été incarcéré, interrogé, interpellé, augmente sensiblement à mesure que les groupes de sujets étudiés montrent des niveaux de QI de plus en plus faibles. L’explication avancée par les auteurs est que le QI serait inversement corrélé à l’impatience et l’impulsivité. Et pour cette raison, les criminels ne réalisent pas tout à fait les conséquences à long terme de leurs actes. Une autre explication, plus indirecte, pourrait être que les gens à faible QI, en raison des échecs répétés à l’école comme sur le marché du travail, tendent à se tourner vers le crime. Enfin, une dernière tentative d’explication serait que les principes éthiques et moraux sont moins accessibles, ou disons moins compréhensibles, pour les individus à faible QI. Une autre possibilité qui n’a pas été relevée directement par les auteurs serait que les parents à faible QI éduquent assez mal leurs enfants. Mais ils ne doivent sûrement pas l’ignorer puisqu’ils insistent à plusieurs reprises sur le fait que les enfants qui grandissent dans des familles instables ont plus souvent des problèmes de comportement.
@eaupure:
tu cites souvent des propos sans en donner la source.( est ce ton lien ? )
en l'occurence, il ne s'agit pas de réussite, mais de comportements déviants.
reste tj le point fondamental entre corrélation et implication.
maintes fois débattu ds le forum.
d'ailleurs tu ne cites qu'un passage du paragraphe qui est plus nuancé et subtil que ton extrait.
tu as finis par trouver la source
Je ne site pas le reste car ce sont des considérations ethniques qui peuvent aussi s'expliquer par des condition sociales
http://www.contrepoints.org/2013/02/...ns-la-reussiteLe chapitre 13, Ethnic Differences in Cognitive Abilities, est celui qui a fait couler beaucoup d’encre, focalisant à lui seul pratiquement toutes les critiques. Les auteurs traitent du sujet sensible des différences de QI entre groupes ethniques.
En effet, mais il ne faut pas trop lui en demander.
Car quand on lit :
On peut y voir deux lectures (voire trois) :La probabilité d’avoir été incarcéré, interrogé, interpellé, augmente sensiblement à mesure que les groupes de sujets étudiés montrent des niveaux de QI de plus en plus faibles.
- les individus à QI "faible" ont plus de "comportement déviant" que les autres.
ou :
- les individus à QI "faible" ont plus de mal à dissimuler les preuves de leurs agissements (ce qui serait assez logique).
ou encore :
- les individus à QI "faible" ont plus de mal à trouver une solution alternative pour éliminer ce qu'ils considèrent comme une nuisance.
Bref, on a une corrélation mais rien d'autre.
Bonjour
Attention, la référence que vous prenez "the bell curve" est un livre très contesté, tant par la méthode utilisée que les concepts idéologiques qui sous-tendent les conclusions des auteurs.
En clair, ils justifient par le QI les inégalités sociales et raciales. Suite à sa parution il y a eu beaucoup de débats aux EU
Pour simplifier : Le QI est principalement déterminé par la génétique -> les chiffres montrent que les noirs sont moins intelligents -> c'est normal que les noirs soient plus pauvres car moins intelligents ->donc les programmes d'aide sociale ne servent à rien, car ils ne parviendront pas à sortir de la pauvreté -> donc on fait des coupes drastiques dans les budgets de l'enseignement et de l'aide sociale -> les programmes de réinsertion, de prévention de la délinquance ne servent à rien puisque le taux de délinquance est liée au QI, c'est génétique -> donc on ouvre plus de prisons au détriment du budget lié à l'éducation et à la prévention.
(mon résumé est caricatural, mais ce sont bel et bien les enjeux qu'il y avait dans les débats ayant suivi la publication de ce livre)
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1323
http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Bell_Curve
une critique de la méthode :
http://www.larecherche.fr/savoirs/au...-01-1997-88891
non, elles ne sont pas uniquement éthniques, elles replacent le sujet sur des plans plus larges.tu as finis par trouver la source
Je ne site pas le reste car ce sont des considérations ethniques qui peuvent aussi s'expliquer par des condition sociales
http://www.contrepoints.org/2013/02/...ns-la-reussite
et montrent justement les biais entre corrélation et implication.
que tu fais mine d'ignorer pour mieux appuyer ton discours.
Au contraire, que ce soit l'article de "la recherche" ou celui de Nicolas Gauvrit, je trouve qu'ils s'attachent à analyser les données en analysant puis s'extrayant du débat idéologique.