Je rappelle qu'au message n° 20 j'avais écrit :
Moi aussi j'ai des a priori : vu la diversité des formes d'homosexualité je vois mal comment on pourrait tout résumer à un cerveau plus féminin. C'est carrément projeter sur un sujet qui a l'air d'être une recherche en physiologie un préjugé populaire caricatural. Mais en disant cela j'admets clairement que c'est un préjugé (inverse) de ma part.
Le plus navrant me paraît être le fait qu'il y a aux US une fraction de la communauté gay qui pousse dans le sens d'une recherche qui mettrait en évidence des caractères anatomiques ou physiologiques distinctifs parce que cela permettrait de revendiquer les dispositions légales aux US sur les minorités.
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