En poursuivant quelques recherches sur internet, je vous fait part de cartains elements qui pourraient ici interessé pas mal de monde.
J'ai fait ainsi connaissance avec les travaux de Vierordt (time psychology) et de moles (space psychology).
En lisant les différents travaux, j'ai pu constater l'importance de la démarche experimentale en psychologie : MP, MR MVE.
Les résultats de ces experiences convergent vers des lois de la perception. grand intérêt de ma part cherchant à justifier certains de mes propos. J'ai ainsi pu valider mes hypothèses merci à tous les psychologues qui ont trvaillé sur ces questions.
Donc, j'interviens en aval de ces travaux en propsant une mathématique simple pour ces lois qui ne sont pas formalisées/
Pour l'espace 2 possibilités pour ce que Moles qualifie de Proxémique des espaces :
- soit une décroissance exponentielle de la perception des volumes en fonction de la distance à l'individu : L(x) = Lr^(x)
- soit une décroissance logistique (effet de frontière psychologique) de type : L(x) = Lexp(-wx+p)/(1+exp(-wx+p))
Pour le temps là encore deux lois possibles : compte tenu des élements forunis par les nombreux articles sur la question : On a une loi tel que :
- perception temps exponentielle T(t) = Ta^t avec un point d'indifference IZ tel que f(t) = IZ = t
soit a = (IZ/T)^IZ avec 0.5 < IZ < 1 seconde
- une perception de type logistique :
T(t) = T/(1+exp(-yt+k) et IZ définit par
-yIZ + k = Ln((T - IZ)/IZ)
A partir de deux hypothèses formalisés, on peut en déduire un concept unifié d'epsce temps puis une transformée (un repère à une autre repère) et enfin une relation vitesse : densité population.
Sans parler de ces modèles spécifiques à la géographie. Quel intérêts voyez vous en psychologie pour les deux ou quatre modèles présentées plus haut (métrique humaine de l'espace temps car on suppose (Cf Moles) que le perçu construit le réel donc que la métrique des structures humaines est de ce type) ?
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