Interfaces cerveaux-machines

[inviteb904ff6e]

Bonjour,

Je vois que ce sujet est plutôt récent, je vais donc en profiter pour poser mes questions (notamment à Dicedead qui semble calé dans le sujet).

A vrai dire je suis dans une situation assez proche de Arajiny, j'aimerai étudier à l'EPFL la biologie computationnelle, notamment les interfaces cerveaux-machines. Cependant, je ne sais pas par où commencer. Vaudrait-il mieux prendre un Bachelor en Informatique ou en Ingénierie du Vivant ? Aussi, je n'ai pas vraiment compris le fonctionnement des filières et des mineurs, si quelqu'un pourrais m'expliquer ce serait sympa.

@Arajiny, au final qu'a tu choisis ?

Voilà, merci d'avance,
Ataraxa
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[albanxiii]

Merci de ne pas détourner un fil créé par quelqu'un d'autre.

[Dicedead]

Eyyo!

Nous avons conversé en MP (car justement le topic était détourné et je préférais ne pas continuer le détournement), voici un résumé de ce qui a été dit.

Lien vers la discussion d'origine (hypertexte)
Comme il était ressorti dans le topic d'origine, il n'y a pas de réponse absolue à ce genre de questions, car on peut approcher ce sujet vaste des neurosciences sous des angles différents allant de la biologie à l'informatique en passant par la robotique, les maths*, etc. moyennant un 'minimum' de connaissances en bio.
Ceci dit, à l'EPFL - comme ailleurs je suppose, il vaut mieux prendre le sentier bachelor SV - master SV mineur neuroscience (ou sciences computationnelles), car le bachelor SV est généraliste, avec des cours en bio, info, maths, physique et chimie équilibrés, puis le master permet de se spécialiser, du moins de pousser plus loin un sujet plus que d'autres.
La question sur les filières tombe à pic: une filière de bachelor (une "spécialisation" en master) n'est rien de plus qu'un bouquet de cours gravitant autour du même sujet - on en complète typiquement plusieurs. Un exemple important: bio-info en info et communications, qui vise les étudiant(e)s voulant rester dans l'informatique et utiliser la bio comme domaine d'application.
C'est ce qui a été conseillé à Arajiny à l'époque, car il s'intéressait à l'IA quoique la bio l'attirait. Pour Ataraxi par contre la SV fait plus de sens pour les raisons citées ci-dessus.

Voilà, j'espère que ce message sera utile à celles et ceux dans la même situation.

*Je pense à certains projets de modélisation de l'activité cérébrale, appuyée par des succès dans le cœur - organe apparemment plus simple à comprendre