Bonjour,
Depuis quelque mois, je me préoccupe fréquemment - il serait plus véridique d'affirmer que je m'inquiète - à propos de ce sujet : la perte de facultés intellectuelles.
En fait, il est de mon avis que l'intelligence est, du moins pour l'instant, ce que j'ai de plus précieux.
Par conséquent, je suis souvent anxieux à propos de la perte de celle-ci.
Ainsi, je crains régulièrement de respirer du CO (monoxyde de carbone), polluant toxique si gentiment émis par les voitures, puisqu'il se colle à l'hémoglobine du sang, et, par conséquent, empÂche la respiration cellulaire.
Je sais également qu'il est possible de subir des lésions au cerveau, mÂme tellement minimes qu'elles ne peuvent Âtre détectables par radiographie, à la suite d'un coup à la tÂte, et, aussi étonnant que cela puisse para”tre, je me suis déjà heurté la tÂte - sans perte de connaissance, mais avec une bonne "bosse" sur la tÂte en guise d'accompagnement.
La question est de savoir jusqu'où peut-on aller avant de subir des dommages irréversibles au cerveau?
########################## Donc, voici mes questions énoncées explicitement ##########################
1-. Jusqu'où puis-je respirer du monoxyde de carbone avant de subir des dommages au cerveau?
Je ne parle pas de cas isolés... Ma question se réfère à la vie courante.
Par exemple, si je suis dans une voiture, et que je respire les émanations du véhicule me devançant durant
cinq minutes, est-ce qu'après ce délai, mon cerveau pourrais subir des conséquences fâcheuses?
Ou encore, si j'attends au coin d'une rue, et qu'un autobus (moteur diesel) s'arrête juste à côté de moi, parce qu'il
y a feu rouge, et que je respire ses émissions de gaz durant 2 à 3 minutes, est-ce probable que j'aie essuyé des
dégâts au cerveau?
Après combien de temps à respirer du monoxyde de carbone sommes-nous à risque d'éprouver une perte d'intelligence
irréversible - je parle, bien entendu, dans les cas courant, c'est-à-dire lorsque l'on respire également de l'air
mêlée à ce polluant ?
Que signifie un mal de tête dans cette situation? Cela veut-il dire que des cellules faisant partie de notre
cerveau agonisent?
2-. Si je me cogne le front, par exemple, contre le comptoir de la cuisine, et que cela est TRÈS douloureux, est-il
possible que je me sois endommagé le cerveau? Considérez que, contrairement à ce que l'on a longtemps pensé,
on peut subir des lésions au cerveau sans pour autant perdre connaissance... Quel "genre" de coup peu causer de tels
dommages? Est-ce des coups à la tête d'une violence inouïe, ou de simple coups provoquant un "bleu" suffissent à
causer ce que je redoute?
Par exemple, je sais que cela est parfaitement ridicule, mais je me rappelle m'avoir volontairement cogné la tête sur mon bureau,
parce qu'un problème de programmation informatique me résistait. J'étais horriblement fâché ainsi que frustré, et je me suis cogné
la tête sur mon bureau (comme on voit dans les films, parfois). Cependant, mon jugement altéré par l'effet de la frustration,
j'ai mal évalué la force avec laquelle je me suis cogné la tête, et cela m'a fait horriblement mal
(de plus, mon bureau en... mélamine).
3-. Les médications agissant sur la concentration peuvent-ils endommager notre tête, provoquer une
perte d'intelligence, ce que je redoute tant...
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Je suis conscient que mes questions ne sont pas rigoureusement précises, mais figurez-vous simplement les situations que je
viens d'énoncer.
Ce que je veux savoir, c'est s'il est possible de s'endommager les neurones aussi facilement, et, si oui,
ces dommages sont-ils irréversibles?
Je préférerais également avoir précisions sur... vos connaissances en la matière (êtes-vous certains de ce que vous
dites, où non?).
Si vous trouvez ridicule ces questions (et je dois dire que j'ai tendence à ne plus dfférencier l'exagéré du réaliste),
n'hésitez pas à me le faire savoir...
Je remercie les auteurs des futures réponses,
Respects,
Yann1ck
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