Oui, merci, le début ce tient mais vous dérapez complètement sur des conclusions qui relèvent plus d'une critique forcenée et partisane que de la réalité sanitaire politique et sociale.
Comme le soulignait un professeur une pandémie est un événement chaotique, N fois ça passe. la N+1 fois vous avez un "crash" majeur. ( Peste noir - vingt-cinq millions de victimes. Grippe espagnole - vingt-cinq à cent millions de victimes. etc. etc)
On pourrais éventuellement critiquer les décideurs de n'avoir pas pris suffisamment en compte les premiers rapports faisant état d'une létalité plutôt "normale", mais les données sur une courte période ne sont pas assez probante pour jouer avec la vie des gens, les programmes sanitaire ne ce montent pas d'un claquement de doigt et les décideurs n'ont pas oubliés les critiques faite par les mêmes médias sur d'autres affaire de santé. (car vous leurs déniez certainement toute humanité, je n'insiste donc pas sur ce point)
Personne ne prétend que ce premier plan fut une réussite totale et qu'il n'est pas perfectible mais la question est: votre article fait-il avancer les choses, propose-t-il quelque chose de concret voir une critique constructive sur les détails des opérations ou n'est ce qu'un défouloir venimeux navigant entre point godwin, obscurantisme et fourre-tout nauséabond d'idéologies mal digérées ?
"Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus. [...] Nos concitoyens [...] continuaient de faire des affaires, ils préparaient des voyages et ils avaient des opinions. Comment auraient-ils pensé à la peste qui supprime l'avenir, les déplacements et les discussions ? Ils se croyaient libres et personne ne sera jamais libre tant qu'il y aura des fléaux." - Albert Camus
Dan
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