Si il y a bien une raison: la poser près ou contre un mur plus froid, pour que, exactement comme lui, elle se refroidisse comme ta solution et celle de Pernelle le préconisent d'ailleurs (il n'y a pas que les murs qui sont capables de se refroidir quand ils sont soumis à une "source froide").
Quelle hygrométrie, relative, spécifique ou absolue ?
Car ça ne représente pas du tout la même chose.
J'ai la même démonstration avec le gruyère à trou: plus il y en a (de gruyère) plus il y a de trous, donc moins il y a de gruyère et en conclusion, plus il y a de gruyère, moins il y a de gruyère mais évidement, dès qu'on va poser le problème avec des équations valides, ce beau raisonnement va voler en éclat puisque qu'il n'est pas tenu compte des quantités et volumes réels de la même façon qu'il n'est pas tenu compte des variations de température et d'hygrométrie - en précisant laquelle est utilisée - (je crois me répéter mais c'est peut être parce que je fais allusion à des affirmations sans cesse répétées et jamais démontrées).
Il n'y a aucun procédé, j'ai simplement cité très exactement les contradictions que tu as écrites et le contexte se retrouve en cliquant sur le petit triangle blanc sur fond bleu à droite du pseudo dans la citation ; personne ne peut se tromper, il suffit de savoir lire.
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