Bonjour à tous,
A l’instar d’une imprimante à jet d’encre, j’aimerais projeter des quantités infimes de peinture sur une toile.
J’ai pensé utiliser un vent ionique pour effectuer ce transfert, pensez-vous que ce soit une bonne solution de propulsion ?
Afin de rester en deçà du claquage de l’air, j’ai pensé construire un élévateur ne disposant pas d’élément de stockage d’énergie, c'est-à-dire en sortie d’un convertisseur, uniquement un ensemble de diodes.
Dans la même veine d’idées, afin de réduire la quantité d’enroulements de l’élévateur, je vais générer en amont une tension la plus haute possible admissible par le hacheur que j’aurais choisis, et aussi un abaisseur rapide pour le cas où je puisse détecter et inhiber l’apparition d’un arc.
Pour les électrodes, je vois un plan de masse sous le tissu et une pointe au-dessus. S’il s’avère que la peinture présente sur la pointe, disperse les charges, je pourrai placer une autre pointe sous le tissu.
Il y aura encore des compromis à faire sur plusieurs paramètres car je suis certain d’en avoir pas fait un tour exhaustif.
Par exemple, s’il s’avère qu’un arc franc est plus efficace qu’un vent, j’aurai encore la possibilité d’ignifuger ma toile de lin ou de coton.
La machine qui va accueillir cette « tête d’impression » existe. Elle est entièrement automatique. Je vais soigner son isolation et la doter d’un carter intégral dont l’ouverture coupera la THT. J’ai déjà séparé la partie informatique de commande par le biais d’une transmission sans fil. Si le driver de type électromagnétique devait être perturbé, je le remplacerai par un système optique.
Que pensez-vous de la chance que j’ai de parvenir à mes fins ?
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