8.2 aux Aléoutiennes.
http://www.ndbc.noaa.gov/station_pag...20180123093200
lien temporaire, 50 cm de variation de la colonne d'eau
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8.2 aux Aléoutiennes.
http://www.ndbc.noaa.gov/station_pag...20180123093200
lien temporaire, 50 cm de variation de la colonne d'eau
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
En temps réel !
50 cm sur les grands fonds, cela fera plusieurs mètres sur les cotes ?
Comprendre c'est être capable de faire.
Là est la question, faut connaitre quelle surface de la mer a bougé, c'est la bouée la plus proche de l'épicentre et le risque ne semble pas se confirmer.50 cm sur les grands fonds, cela fera plusieurs mètres sur les cotes ?
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
j'ai extremement de mal à comprendre pourquoi les satellites ne sont pas capables de visualiser les tsunamis en cours ?
est ce un manque d'interet de la part des meteorologues , les specialistes des oceans , les climatologues , les politiques etc
du coup j'en viens à douter fortement sur ce qu'on nous raconte sur le changement climatique , basé sur les données des océans principalement
je desespere une nouvelle fois de l'homme
La station 46410 indique le passage d'une vague de 10m vers 9h33. Est ce une vague exceptionnelle ?Là est la question, faut connaitre quelle surface de la mer a bougé, c'est la bouée la plus proche de l'épicentre et le risque ne semble pas se confirmer.
Comprendre c'est être capable de faire.
Voir à des centaines de kilomètre, une ondulation transitoire de 1 m sur-imposée à un champs de vagues de 10m et ce en temps réel n'est pas à notre portée.
Par contre que la pression varie de 0.1bar à plus de 4000 m de profondeur (40 bars) et que cette info soit transmise immédiatement par satellite, oui.
Tempête..Est ce une vague exceptionnelle ?
Dernière modification par SK69202 ; 23/01/2018 à 14h43.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Les satellites se déplacent et je ne sais pas s’il y en a toujours un capable de mesurer en direct une variation de niveau de la mer dans une zone donnée.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Éventuellement des bouées flottantes avec des gyroscopes.Envoyé par SK69202Voir à des centaines de kilomètre, une ondulation transitoire de 1 m sur-imposée à un champs de vagues de 10m et ce en temps réel n'est pas à notre portée.
Par contre que la pression varie de 0.1bar à plus de 4000 m de profondeur (40 bars) et que cette info soit transmise immédiatement par satellite, oui.
À priori, non si j'en crois les infos NASA et ESA
https://grace.jpl.nasa.gov/news/
https://earth.esa.int/web/guest/miss...sa-eo-missions
Les satellites mesurent la moyenne de l'océan sur un pixel, ce pixel étant propagé avec la propagation du satellite, ce qui donne une trace. Il faut plusieurs jours non pas pour recouvrir entièrement le globe, mais pour le quadriller suffisamment au point où on peut interpoler et reconstituer les anomalies d'une certaine échelle.
Les satellites mesurent également l'écart-type (variance) de l'océan sur ces mêmes traces. Si en suivant la trace on voit un pic de variance dans une mer à priori calme, c'est très probablement qu'il y a de fortes vagues d'une autre origine, comme un tsunami.
Il y a donc des espoirs de détecter les forts tsunamis dans une mer calme.
http://ieeexplore.ieee.org/document/...2/?reload=true
On est à la surface de la mer, le plan va de zéro défaut à des creux de près de 40 m avec du vent sur la bouée qui va de 0 à 60m/s tout ça étant extrêmement variable, et on cherche à mesurer, une ondulation éventuellement unique à longue période, si "on" a conclu que la pression au fond était le meilleur compromis, c'est qu'il y a de bonnes raisons.Éventuellement des bouées flottantes avec des gyroscopes.
C'est en temps réel que cela doit être fait, dans quelques heures il sera trop tard.Il faut plusieurs jours
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Si le tsunami change nettement la variance de la mer, alors en suivant à la minute près le signal du satellite suivant sa trace, on doit pouvoir détecter ce tsunami quasiment en temps réel.
Cela ne marchera pas pour les petits tsunamis et pour toutes les situations de mer agitée qui ont déjà une forte variance par nature.
Comme il est dit en introduction: le tsunami de 2004 a été détecté sur des signaux de variance mesurés par satellite.
Sans même parler de variance, le tsunami de 2004 a été très nettement identifié sur les pixels du satellite Jason 1 (largeur 5 km) comme une anomalie de 60 cm, entre Indonésie et Sri Lanka.
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/1...05EO040002/pdf
http://oiswww.eumetsat.org/WEBOPS/io...6_tsunami.html
Donc aussi bien en étudiant la variance que la moyenne, dans les pixels des satellites, on a des chances de détecter quasiment en temps réel les gros tsunamis, sous la condition, évidemment, qu'au moins un satellite passe au bon moment.
On s'en doute : les probabilités qu'un satellite passe au bon moment augmentent quand le front du tsunami s'étend.
De plus, cela ne permet pas de reconstituer directement le front entier du tsunami mais cela permet sans doute de calibrer des modèles qui, dans le cas d'une procédure suffisamment rapide, peuvent aider à faire de la prévision immédiate.
Les probabilités qu'un satellite puisse mesurer un tsunami 15 minutes après le tremblement de terre, avec un front d'onde peu étalé, sont donc très faibles.
On s'en doute aussi : les probabilités qu'un satellite passe au bon moment augmentent avec le nombre de satellites.
Il n'y a donc pas d'impossibilité formelle sur l'utilité du satellite. Il faut être dans le bon sens en se disant qu'on ne lancera jamais 100 satellites uniquement pour surveiller les tsunamis. Par contre, cela peut inciter à des stratégies de drone pour les lancer sur les zones suspectes, avec la nécessité d'être très rapide.
Une autre stratégie est de multiplier les capteurs sous-marins. De façon générale, on a tellement à apprendre de l'océan par des capteurs sous-marins que ce n'est pas la dernière des stratégies.