Voilà, j'en suis arrivé à la conclusion suivante..
Dans le monde des pensés, des actes et des opinions... se cache une bête immonde : le nihilisme..
Par nihilisme, j'entend l'acte d'agir sans être motivé par une logique, une réflexion posé qui survivrait durablement au teste de la réalité...
J'observe dans l'océan de pensé, des points de nihilisme flagrant (par exemple : les tabous, le fashisme, la fanatisme, etc... )
Le nihilisme est en générale une chose normale : en l'absence d'information sur une situation on doit choisir et opter pour une attitude bénéfique à soi... en ce sens, ce nihilisme n'en est un que parce qu'il s'oppose rationnelement, pour des impératifs prgamatiques à la recherche d'information : ce nihilisme que chacun posséde au fond de lui, est souvent nécessaire et bénéfique, et découle naturellement de la hiérarchie des priorités décisionnels entre action et réflexion.. c'est le nihilisme du pessimisme possible, c'est à dire l'optimisme..
Mais à certains moments, dans certaines conditions, c'est bien ce nihilisme, qui "déborde", prend du terrain, et conduit l'homme à se conduire comme un animal... en oubliant morale, logique..
Ce nihilisme peut prendre de nombreuses formes.. : par exemple, quand George Bush dit que c'est Dieu qui lui à soufflet son comportement, il peut vraisemblablement en être persuader.. mais en cela réside une forme de nihilisme, car si c'est bien Dieu, ce n'est pas la raison qui a guidé Bush.. Je ne m'oppose pas ici particuliérement à Dieu et au fondement de la philosophie religieuse, mais bien à l'utilisation par Bush et par les américains, du sacré, du devoir, et même du "bien" et du "mal", qui permettrait de légitimer des argument comme étant "vrai" sans justification....
A cause de ce probléme d'honneté intellectuelle de Bush, fondé sur un nihilisme déguisé en foi, on peut cerner l'état de la pensée américaine, et comprendre que ce nihilisme peut très bien emprunté sans encombre, sans l'abimé, ni le remettre en cause, le systéme démocratique américain (au sens propre : le systéme d'expression des volontés pour coordonner l'action national), sans qu'il soit invalidé.. simplement parce que finalement ce nihilisme est une opinion comme une autre... et que la démocratie n'est pas l'opinion de ces citoyens, mais le systéme de leur expression.
(d'ailleurs le probléme mondiale actuellement, c'est plutot la survie de toutes les formes de nationalisme, qui divise spontannément les humains).
L'autre probléme paradoxale, et qu'un systéme de pensé qui serait trop exigeant envers ces adeptes, qui nierait trop brutalement le nihilisme positif des besoins concrets et immédiats conduits inévitablement à l'émmergence du nihilisme négatif, rejetant du même coup le systéme de pensé incriminé... L'homme enfermé dans une perfection structurel, si il n'est pas concrétement satisfait de ces opinions, du résultat directe de ce systéme, finit comme une souris dans une boite en verre : prostré deséspéré, bref dangereux, puisque la raison sencé être bénéfique, et naturellement rejeté par l'organisme aux vus de ses résultats mauvais si ils le sont...
Le nihilisme optimiste, si il devient trop "imposant", trop contraignant pour l'individu, se transforme chez lui en optimisme négatif..
Il convient donc d'établir un seuil de tolérance au changement, un seuil d'endurance à l'asservissement à une cause, qui doit être accepté, même si la cause, une fois appliquée, reste la bonne cause. C'est ce seuil qu'il faut bien définir, bien juger...
Qu'en pensez vous ?
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