Bonjour.
J'aimerais partager avec vous une théorie que j'ai bâtie il y a quelques années, histoire de boucler la boucle avec la théorie de la relativité que je trouvais somme toute assez incomplète. J'ai imaginé le pendant à ce que tout le monde décrit de la vitesse lumière. Que j'appelle la vitesse "ZERO" et la démarche qui s'ensuit, pour laquelle j'aimerais bien avoir votre opinion.
Si un voyageur se rapproche de la vitesse de la lumière, il se retrouve avec des distances qui ont tendance a diminuer, et le temps a ralentir.
Ce voyageur, aurait donc, à la vitesse de la lumière, une distance égale à 0 et une durée éternelle.
Bien, mais imaginons quel serait le raisonnement symétrique :
Dont le résultat serait : des distances infinies et un temps nul.
Il faudrait mettre en oeuvre une sorte d'anti-vitesse (?!) Ou plus exactement une vitesse négative. Comment ?.
Nous sommes sur une planete en mouvement dans un système solaire qui se déplace, dans une galaxie propulsée elle-même dans un amas de galaxie mobile, etc... Si nous disposions d'un instrument de mesure aproprié,
nous pourions mesurer ce mouvement global, cette vitesse, que nous subissons que nous appelerions (Y),
Ainsi, nous aurions une vitesse Y non négligeable par rapport à la vitesse de la lumière (Z) qui est le maximum absolu.
Si Z est un plafond absolu. N'y aurait-il pas non plus un "sol" absolu ? Qui serait l'immobilité totale (X).
Nous avons donc une vitesse absolue Y qui se situe quelque part entre le maximum Z et le minimum X.
Maintenant, imaginons que nous ayons la possibilité de diminuer cette vitesse initiale Y-n. On pourait se poser la question si cela n'aurait pas pour conséquence d'augmenter les distance, et de diminuer le temps ?
Et si nous parvenions, non seulement a diminuer, mais aussi a stopper totalement cette vitesse initiale Y=X. N'aurions-nous pas "une dimention infinie dans un temps nul ?".
Pourquoi ?
Si nous accéptons les précepts suivants :
- Notre vitesse initiale, ne peux pas être additionner à celle de la lumière.
- La lumière que nous emmétons ne va pas plus vite par ce que nous sommes en mouvement.
- La lumière dans le vide a toujours la mème vitesse quelle que soit la vitesse du corps qui l'émmet.
Donc si nous avons déjà une vitesse Y située entre X et Z, nous avons logiquement subit une part de rétrécissement des distances, et une part de ralentissement du temps, En rapport avec notre vitesse initiale Yappliquée à l'échelle de mesure qui va X à Z.
Nous pouvons déduire que :
Si nous avons une perception du temps et des distances. C'est bien parce que nous sommes en mouvement. Une sorte de "je me déplace donc je suis". Si nous étions immobiles le temps et les distances n'existeraient pas pour nous. Si nous sommes capables de mesurer un objet, c'est bien parce lui et nous, sommes situés à l'interieur de cette même échelle spatio-temporelle à la même vitesse Y. Mais imaginons que l'objet n'ait pas tout à fait la même vitesse Y que nous (Y+n par exemple). La conséquence serait deux mondes juxtaposés incapables de se rencontrer. Car nous ne serions pas dans le même environnement spatio-temporel. Cela nous donnerait même l'impression qu'il accélère car notre temps s'écoulerait plus lentement que le sien Etc…
Conclusion :
Au "plafond" nous avons un temps infini et des distances nules.
Et au "sol" un temps nul et des distances infinies.
Extrapolation à propos de l'enigme de l'univers qui s'emble s'expanser en s'accélérant :
Si nous avons l'impression que l'univers s'emble s'expanser en s'accélérant, cela ne serait-il pas dù au fait que nous sommes en mouvement, mais pas avec la même vitesse Y que ces parties de l'univers que nous observons. Comme nous avons assez de recul par rapport à elles, nous les voyons s'éloigner avec un coeficiant d'accélération. Mais elles n'iraient pas en s'accélérant. Le temps serait pour elles tout simplement plus "compact". Elles vivraient plus d'événement que nous dans le même temps, donc elles parcoureraient plus de chemin. Et inversement nous devrions découvrir des parties de l'univers qui s'éloigne mais en ralentissant (pour qui, le temps serait plus expensé donc plus lent que nous, donc moins de chemin parcouru selon "notre temps").
Curieusement, si nous avions un instrument (très théorique) dont le mouvement serait capable de compenser la vitesse Y (et les diverses rotations de ce giroscope géant qu'est l'univers), nous serions peut-être bien en mesure d'assister au Big-Bang : Ce big bang qui ne serait pas dans le passé mais bien permanant dans l'espace temps limite (X). Le moment suprème avant le démarage du temps, et la mesurabilité des distances.
selon cette théorie, ne suffirait-il pas de s'arréter complètement pour vivre en direct le big bang ?
Cordialement.
Christophe Martin
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