Je ne compte pas m'étendre sur la définition des dimensions, cela sera peut-être le thème d'une autre discussion... Je résumerais que, une dimension est une extension, une projection de l'une (des unes) sur l'autre (des autres). Pour expliquer un peu cela, je dirais que la longueur à pour extension la largeur, et que la largeur avec sa longueur à pour projection la hauteur, qui fait d'une surface de type aire, à une surface de type volumique.
Le temps est classé comme la quatrième dimension, tout simplement parce qu'on ne parvient pas à s'idéaliser un espace contenant une forme plus aboutie qu'est le volume. Et pourtant, j'ai l'impression d'être parvenu à un raisonnement qui dans son ensemble fait "naître" une nouvelle dimension spatiale. Et ce, par une compréhension plus globale de l'Univers, en essayant de se le dessiner... À vous de juger de ma tentative de démonstration...
Je tiens à vous avertir qu'elle est incomplète... Que je l'ai eu cette nuit, et que c'est la troisième fois que j'en reviens à ce résultat. Les deux autres fois, je me suis résigner à penser autrement cette élaboration, m'empêchant toujours à croire en cette dimension... du moins, par ce moyen là.
Bref, rentrons dans le vif du sujet...
L'univers est-il sphérique ? Selon moi, oui. Tout simplement parce que les photons vont dans toutes les directions, et que l'univers à connu une énergie produisant (?) son continuum spatio-temporel. Expliquer autrement, l'espace en lui-même, telle que nous nous le représentons, connait une longueur, une largeur, et une hauteur. Que les directions prises par les photons sont très probablement les mêmes que ces dimensions induisent, à savoir ces 6 axes majeures que sont le bas, le haut, la gauche, la droite, l'arrière et l'avant.
Mais là n'est pas la question, cette univers serait selon moi sphérique sous une autre représentation toujours tridimensionnelle. En fait, c'est une personne de ce forum qui m'a fait comprendre une notion plus profondément, et il se reconnaîtra, en m'expliquant un peu mieux ce qu'était une représentation du continuum spatio-temporel, selon Einstein. Selon ce que j'en comprend, c'est que le temps est la surface plane (unidimensionnel) et l'objet (la matière par exemple) serait tridimensionnel, où ces dimensions se dessinerais sur le papier par un plan euclidien, deux dimensions. Plus l'objet a une masse importante, et plus alors il courbe l'espace-temps, et donc plus il est massif, et plus forcément d'autres objets dans son sillage serait propice à toucher l'autre, ainsi irait de la gravité... Enfin, c'est ce que je crois en avoir compris, mais le raisonnement d'après n'utilise que très peu cette notion, et je ne me permettrais pas de concilier ma conception nouvelle à celle-ci tant qu'une personne qualifié m'a confirmer l'hypothèse que je viens d'émettre.
D'abord, je vais présenter les notions qui me conduisent en quelque sorte à ce futur raisonnement, puisqu'en découle une explication fort censé de ces phénomènes, bien que je ne m'en sois pas réellement inspiré...
Notre Univers connais une expansion, ce qui formulerais l'idée d'un univers sans cesse plus "grand", plus vaste.
Une conception en cosmologie, c'est de penser que notre galaxie est le centre de l'Univers.
Une autre dit que l'Univers observable n'est pas forcément celui de Tout l'Univers.
En regardant les étoiles, je vois le passé de ces étoiles, puisque c'est le temps que la lumière émise par ces astres ont prises pour nous parvenir.
La conception d'Einstein, enfin, ce que j'en ai compris, c'est que l'Univers repose sur un continuum spatio-temporel, sur lequel les masses (l'énergie, les objets ... particules), sont "posés" (pour son plan).
Ces éléments sont bons à rappeler, bien que je pense que vous les connaissiez et maîtrisiez peut-être mieux que moi.
Alors voilà ma fameuse théorie après cette aussi longue introduction qu'explication.
Imaginons maintenant, mentalement, les éléments suivants. L'Univers, qui après le Big Bang, pris une forme physique et fût apparaître le continuum spatio-temporel, celui était très dense, très chaud, et très énergétique pour une surface donné.
Ce continuum spatial (et non temporel pour ne pas surcharger le cerveau) se résume à ce que je vois, c'est à dire les 3 dimensions. Analogie : Prenons une Terre où tout serait transparent. Je suis au coeur de la Terre, je vois alors la surface terrestre, dans les 6 axes majeures, qui me paraîtrons à égale valeurs considérant la distance. Encore sur cette Terre, en regardant vers le bas depuis la surface, je verrais le noyau (d'une couleur on va dire). Ici, c'est pour se représenter une image d'une tri dimension spatiale, ce que nous côtoyons tout les jours par la vue (et pas uniquement ce sens). Par analogie, si je me positionne sur le moment du Big Bang, alors je verrais l'ensemble de l'Univers... Si je me positionne à son "hypothétique" bord, surface, je pourrais voir, si cette Terre est très large, qu'une partie menant à ce Big Bang. Logique qu'un point sur une surface est une vue plus acéré sur le reste... Et puis, il me prendrais plus de temps pour voir ce qu'il y'a de l'autre côté du Big Bang. Le truc, c'est que dans cette analogie, si je regarde du bord de la Terre, je ne verrais pas seulement partiellement la Terre elle-même, puisque cela inclus principalement un axe, à savoir le bas. Les 5 autres axes verrait autre chose. Ce qui signifierais qu'au bord de l'Univers, un être ayant traversé avec les photons, et à la même vitesse (c'est impossible je sais, mais c'est juste une image pour mieux expliquer le pourquoi c'est encore plus impossible), alors il serait au bord de ce fameux Univers Tridimensionnel spatial, et serait donc à même de le considérer selon aussi cette angle, c'est-à dire de ne le voir (oui, faut s'imaginer une chose comme un stabilisateur instantané de lui-même, parce qu'à la vitesse de la lumière, il ne se peut qu'il voit au sens propre quelque chose, puisque justement il va à la même vitesse que les photons qui nous permettent de voir) que sur un axe et quelque déclinaison. C'est un des paradoxe, peut-être mal expliquer, de la cosmologie actuel. On ne peut concevoir un univers fini et borné, puisque ce paradoxe apparaît. Et en tant que personne convaincu d'un Univers fini et borné, je ne peut trop m'en satisfaire...
Prenons maintenant l'idée que je sois (ou que nous soyons) un tout petit point dans l'Univers, autant moi que la Terre.
Introduction de la notion de 4e dimension spatiale. Considérons maintenant que l'Univers est en expansion, que son espace est progressivement plus importante, par le fait que le temps évolue. Cette univers, voyez le comme Einstein le dessinais, par sa dimension plane dit le continuum. Et maintenant, imaginez que nous sommes non pas Dans cette Univers, mais un point sur Cette Univers en expansion.
C'est à dire que cette surface plane qu'est le continuum selon sa représentation forme l'univers en entier. Vous me direz fort logiquement que cette surface sera un cercle qui s'étend à l'infini tant qu'il y'a du temps pour que l'expression des forces traduisent son idée d'espace-temps.
Mais là, je rappellerais quelque chose qui est difficile à expliquer - et comprenez le mal que j'ai pour le décrire, et vous parviendrez peut-être à excuser le fait que je traîne en longueur le dénouement final de cette théorie, c'est que ce continuum lui est infini, puisque plat...
Imaginons aussi que nous sommes obliger d'enlever la hauteur (par exemple) pour la représentation de cette nouvelle dimension. Dessiner l'ensemble demande un travail que j'ai plus ou moins déjà bien réaliser (seulement en brouillon). Alors, nous obtiendrons un cercle pour une sphère comme la Terre, ou même l'univers. Cette troisième dimension se reportera à traduire le temps passé (et donc, logiquement, permis), où la limite de cette sphère est la nature de l'espace temps. Cette façon de voir fait apparaître une surface conique, sur le quel le continuum spatiaux temporel nous paraîtra toujours comme le montrais Einstein, par une surface linéaire temporel, mais avec ce cône, nous suivrions l'évolution temporel modéliser en un objet 3D, avec deux dimensions temporelles, et une surface qui elle... sera uni dimensionnel. Et pourtant, il s'agit, toujours selon sa conception d'un espace qui peut se modéliser en trois-dimension, dont une temporel, donc, l'on devra uniquement changer de plan pour revoir le cercle, avec des objets dessus possibles comme tridimensionnel au besoin (par la perspective). Depuis le cône, pour faire apparaître ces deux dimensions, alors nous nous la représenterons par une sphère indiquant l'état dans lequel se trouve l'univers à l'instant où vous lisez ces lignes.
Mon but n'étant pas, pour l'instant de prouver les deux dimensions temporelles, alors j'en reviens à ce qu'on peut dire que l'ambigüité donné par le concept d'interface spatio-temporel prévu par Einstein.
En supposant que le continuum spatio-temporel évolue, mais aussi qu'il ne soit pas infini, et en considérant les instants suivants le big bang, alors est-ce si illogique de penser que le continuum progresse de pair avec l'expansion des trois autres dimensions, l'expansion de la distributivité de l'énergie sur son plan, et enfin du parcours des photons...
Si ce n'est pas illogique, alors pourquoi serait-il plat, infini donc ?
Considérons le sous un autre angle, où le temps aurait deux dimensions, alors l'espace ne pourrait pour notre conception et modélisation intérieure, qu'une seul dimension. Ce qui signifierais, selon ce cadre, que le temps ne serait plus une ligne total, mais un cercle... puisque évolue en fonction de son espace. Si il serait bidimensionnel (et comme je le rappel, je tenterais une explication plus aboutie lorsque j'aurais mieux compris cette notion, et cette approche), alors l'espace serait, en étant une longueur, ce qui ferait de ce cercle une sphère. Il ne peut y avoir d'espace sans temps, ça j'en suis convaincu aussi (si il le faut, je l'expliquerais, demandez le moi si vous n'êtes pas d'accord), et donc de temps sans espace n'est pas possible non plus (induit dans la logique de l'autre, mais comme vous le voyez ce message est déjà très long). Et donc, le temps double permet la durée et l'instant, puisque représenter par un carré (bi dimension), il serait la somme des instants, qui formerait la durée... la logique de la bi dimensionnalité est conservé. Je ne suis pas entrain de dire qu'il existe deux dimensions temporels, enfin, un peu, mais ce n'est pas le présent but. Sur cette idée, je serais toute la surface de cette aire, ajouté à une hauteur qui serait une de mes dimensions (à définir laquelle, mais peu importe laquelle en mon idée).
Si le temps, considéré avec la durée évolue, lui sur un plan où il n'est plus qu'une dimension, mais avec deux dimensions spatiales (référence au plan d'Einstein), alors le continuum serait replié sur lui-même... alors il serait une sphère. On ne pourrait aussi dire qu'il est fini. En effet, il n'évolue pas "magiquement", et où c'est la durée qui créer de l'espace-temps (dans le sens où il y'a une sorte "d'interface" qui permet à la matière d'exister), mais c'est juste une dilatation progressive de son contenu (au continuum, qui est un très grand mystère il me semble, mais que je comprend assez bien avec le modèle de la Théorie M, dois-je en faire un autre sujet sur le forum ?).
Je pense que cette idée permet de mettre une limite, progressive, à notre univers, et ainsi, une limite d'utilisation fini à l'énergie de l'univers, qui est elle... infinie ? (si vous me le confirmez, alors je pourrais continuer à écrire quelques éléments sur ce que j'ai tenter d'expliquer dans le forum "Qu'est-ce qui permet l'Univers").
Ensuite, visualisons cette univers fait de deux dimension spatiale sur un cadre où le temps aurait deux dimensions, mais que ne représentera qu'en une seule. En même temps, la durée est une projection, tout comme l'est une largeur sur une longueur... alors est-ce faux de pouvoir l'appeler dimension ?
Il serait alors une sphère. Pour cette sphère, je me positionnerais sur la "ligne" d'univers, en deux dimensions mettons. Je serais alors un cercle, inscrit au dessus de la courbe qu'est la sphère dû au continuum.
Pour ce point, je serais le centre de l'Univers. Effectivement, peu importe où je me trouve, je serais toujours à considérer comme son centre.
L'Univers me paraîtrais plat, puisqu'évidemment, je ne vois pas le temps, il agit comme reflet (comme moteur d'interactions) des événements, lorsque moi-même je vois les choses en trois dimensions physique spatiale, sans même d'horizon. C'est un peu comme une bille qui serait dans l'espace, et où une fourmi progresse dessus, il lui semblerait qu'il progresse tout le temps, alors qu'il en fait infiniment la révolution de cette bille.
Le truc, c'est que cette sphère n'est pas spatiale au sens pur... cette sphère représentant le continuum serait sphérique que sur un autre plan, et sur celui d'Einstein, puisque déroulé, il formerait une "feuille"...
L'image de la fourmis, c'est aussi ce qui illustre ce que je pense de cette sphère non déroulé, c'est qu'il y'aurait deux choix pour représenter la dimension de l'espace, soit à l'extérieure de la sphère, soit à l'intérieure. Mais rien qu'en la déroulant, vous comprendrez que nous serions à l'intérieure, et non à l'extérieure... logique, mais contre intuitif...
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