salut,
le redshift est-il présent dans toute les gammes de fréquence d'études des astres, UV, infra, X, radio etc??
(juste pour savoir)
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salut,
le redshift est-il présent dans toute les gammes de fréquence d'études des astres, UV, infra, X, radio etc??
(juste pour savoir)
Oui il est présent dans tout le spectre!!
Bonjour,
Mais les OCC ne semblent pas être concernées par le phénomène.
http://forums.futura-sciences.com/as...ml#post2962992
Cordialement.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
j'ai une question du même tonneau,
comment se fait-il qu'il y est un redshift au sortir d'un puit gravitationnel, après tout si l'étoiles est stable la courbure spatiale ne se modifie pas, donc les distances aussi. pas de "raison" pour une modification de fréquence de la lumière...
autre machin,
l'on dit qu'un etoile massive vas courber la lumière autour d'elle. mais dans le cas d'un trou noir stable, pour que la lumière ne puisse sortir, il faut qu'elle ralentisse(du à la pente gravitationnelle extrement forte)
si la lumière est plus lente au sortir, elle ne déplace plus à c dans l'espace-temps, son trajet parrait plus long et son redshift proportionnel au temps passé jusqu'a nous
a contrario, si la lumière n'est pas atteinte de ralentissement, elle doit logiquement pouvoir sortir du trou noir sans difficulté après un certain temps(à condition d'être émise par le trou noir), ce qui fait qu'il ne peu y avoir vraiment de trou noir ... grand absorbeur, certes, mais aussi fontaine à photon
si la lumière est ralentie en sortie de puit gravitationnel, cela veut-il dire qu'il y a embouteillage de photon, et un blueshift(compréssion du signal) ?
quel est l'age du capitaine de l'univers, si toute lumière sortant d'une étoile ne se déplace pas à c ?
qu'elle donné j'ai pas ??? c'est abhérant comme ça. pfff
donc y'a de trou noir, puisque si elle n'est pas ralentie, elle finiras bien par sortir??
oui, ce que je dit est pet-être faux, mais vu comment tu le dis, ça pourrait tout autant-être vrai. bref tu ne m'aide pas vraiment à savoir ou son les erreurs dans ce devellopement.
Bonjour,
le redshift gravitationnel est le résultat de la différence du potentiel gravitationnel dans le référentiel d'émission et du référentiel d'observation.
Dans les calculs, c'est la même chose que pour les jumeaux de Langevin. La gravité apparait comme un terme d'accélération. Ainsi les intervalles de temps mesurés dans les deux référentiels diffèrent. La vitesse du photon reste bien évidemment c. Cependant, la variation induite dans l'intervalle de temps mesuré se répercute sur la longueur d'onde mesurée. On observe alors un redshift.
De la même manière, un photon émis depuis une zone peu dense de l'univers qui est observé depuis une zone surdense sera vu avec un blueshift. Le terme de gravité apparaissant principalement dans le référentiel d'observation.
Le redshift gravitationnel est un effet relatif entre deux référentiels.
comment le temps peux jouer sur le photon ??? il est a-temporel, n'a pas de masse, et ne s'exprime qu'en vitesse "c"...
je vois bien pour le redshift, et blueshift, l'expansion justifie très bien le redshift universel, mais c'est super évident que d'un coté l'on est aucune accélération ni décélaration possible, ni même une modification de l'espace, ni même un milieu(densité?), et que l'on se retrouve avec une modification du fait du temps qui ne jouerais que sur la fréquence du photon... après tout dans une lentilles gravitationnelle, pas de blue ou redshift, le signal bien que passant dans un fort champ de gravité ne seras modifié en rien par l'allongement du trajet geodésique topologique versus une distance géométrique pure(euclidienne)
je sèche sur ce temps qui soudain semble avoir un impact sur le signal... ??
C'est juste une façon usuelle de raisonner sur des petits exemples de RG. On compare des horloges et les intervalles de temps de mesures. C'est pour cette raison que je suis parti de ce côté.
Le problème n'est pas intrinsèque au photon. Il s'agit de la différence entre deux référentiels. Pour faire plus simple, on dit souvent que le photon perd de l'énergie pour sortir du potentiel gravitationnel. Vient alors la question "mais où passe cette énergie?"
Elle ne passe nulle part car il s'git simplement d'un effet de mesure lié au référentiel. Le photon est émis avec une certaine énergie (ie fréquence ou longueur d'onde) dans le référentiel de l'étoile. Dans ce référentiel, la masse de l'étoile agit sur la métrique. Si un observateur se trouve loin de tout potentiel gravitationnel fort, la métrique qui décrit son "espace local" est différente de celle autour de l'étoile.
Si un système émet deux photons à une seconde (dans son référentiel) d'intervalle dans le référentiel de l'étoile dans la direction de l'observateur, ce dernier les observera avec un écart temporel supérieur à une seconde dans son référentiel.
Si l'observateur se trouve en présence d'un champs gravitationnel équivalent à celui de l'étoile initiale, il observe un écart temporel d'une seconde exactement.
Pour en revenir au redshift, il faut raisonner sur la longueur d'onde d'un photon. Elle est définit par l'intervalle de temps qui s'écoule entre deux crêtes du champs électromagnétique multiplié par c. On voit tout de suite que l'observation de la longueur d'onde dépend de l'observation de l'intervalle de temps.
ben c'est bien ce que je comprends, mais y'a toute de même un shmilblick
si j'ai des impulsions a 1 secondes et que chaque photon est ralenti de la même manière, la distance entre chaque photon seras identique, 1seconde
un peu comme un train de voiture dans une cote, si aucune n'accélère toute vont ralentir, mais leur distances une à une resteras identique en arrivant en haut de la côte, comme l'effet est identique pour tout les photons, comment peut-on avoir une différence? 1 seconde depart(rapide) seras (1seconde lente) en haut de la cote, et comme le signal n'est pas modifié, l'on ne peux mesurer que la même chose qu'en bas.
c'est pas comme si l'on avait deux mobile en mouvement et un terrain neutre entre les deux, le signal émis ne se modifie pas entre A et B en mouvement, l'on obtient bien un redshift dans B qui s'éloigne. mais avec la gravité l'esapce-tmps joue le role d'un coeficiant de multiplication entre A et B, et si 1s => 2s, le signal a beau ralentir, le système de mesure de B etant plus lent, il le perçoit a l'identique de A sans déformation.
l n'y a pas de transformation de l'espace/temps pendant le transfert d'information, le signal reste identique puisque simplement modifié en toute proportion de A vers B... ce qui n'est pas le cas entre deux objets en mouvement, ou lié a un changement dynamique de métrique.
c'est ça qui me pose problème...
Mais les photons ne sont jamais ralentis. Ils vont toujours à la vitesse c. C'est la base de la relativité et tous les effets d'observation que je mentionne en découles.
Il ne faut pas raisonner en newtonnien pour comprendre les effets relativistes. Les effets ne sont dynamiques mais métrique dans le cas qui nous intéresse. Je n'ai donc rien à corrigé sur ton raisonnement, il ne peut pas s'appliquer.
oui je suis d'accord les photons ne sont pas ralenti. mon image etait volontairement simpliste pour voir si je puvais jeter un pont de ce coté là.
que de la surface S à l'obsevateur en orbite géostationnaire, le photon vas à c, mais ce sont les conditions de metrqiue et de temps qui elle son de plus plus grande au et à mesure que l'on arrive a l'observateur O
soit quand l'on impulse 1 photon/s à la S, si en O l'on mesure le même temps t, l'on obtient que la variation metrique entre les phase est plus grande mais aussi qu'elle mette plus de temps
mais comme le temps de mesure l'observateur est identique à la position ou ils se trouve relativement a la surface(donc lié a sa vitesse et à son temps propres), son système de perception n'est pas la seconde de la surface, mais sa propre seconde locale, qui elle est plus lente. soit il mesure l'information reçut qui est plus large, et plus longue, avec un système plus lent, qui ne bat pas localeent 1s, mais 2seconde par exemple(ce qui est normal vu sa position relative)
ce qu'il voit, c'est un signal qui est trait ppour trait celui envoyé par la surface, mais avec des différentiel, de mesure plus longue en temps et en espace. il ne peux pas percevoir un redshift par ce moyen
j'ai réfléchi au truc, y'a pas un machin qui dit qu'il y a un "entrainement" de l'espace, soit un allongement ed l'esapce du à la rotation propre de l'astre, là par contre puisque les trajet s'allonge, il y a redshift pour l'observateur. (signe d'un allongement du trajet)
la relativité commence avec la mesure deu retard de mercure dans newton, qui ne s'explique que par l'allongement du parcourd topologique de la luière en face de la distance géométrique utilisé par newton. ce n'est pas une distance en ligne droite, mais un leger arc dénotant une topologie parculière de l'espace.
même phénomène ici. le redshift ne sont due qu'a des allongements du chemin, pas au courbure topologique statique(mercure n'a de shift (leger), qu'a cause de son mouvement(réduction ou allongement du trajet)), mais pas parceque le trajet est courbe(aucun shift entre deux astres se tournant autours, le chemin parcourue par la lumière de a en b etant toujours le même relativement(subjectivement) de l'un à l'autre).
je comprend le truc avec un astre en rotation, et l'entrainement de l'espace temps, mais rien à faire avec deux observateur qui n'ont pas de mouvement relatif l'un à l'autre.