Bonjour à tous,
Comme ça faisait un moment que je ne vous avais pas sorti de théorie fumante, en voici une plutôt gratinée
Elle s’origine de deux fils récents débouchant sur des conclusions étonnantes : l’un montre que la lumière met un temps identique à parcourir toutes les distances (moi), et l’autre qu’un photon lâché du fond de l’univers nous arriverait avec une vitesse C (Zefram).
Fig 1 - Gravité
Si je lâche une bille du haut d’une pyramide, elle subit une accélération due à la gravité terrestre. Sans commentaire.
Fig 2 - Perspective
On représente en perspective une route idéale : chaque section mesure 300.000Km. Si je regarde passer un photon, il franchira chaque section en 1s.
Le fait de supprimer une dimension (perspective 2D) revient à « accélérer » la lumière dans le plan de projection.
Mais le dessin n’ayant pas d’échelle, si je pose la « règle de Planck » sur une section je constate horrifié que la longueur de ma règle est divisible…
Fig 3 - Echelle
Sur un diagramme d’Espace-temps je simule l’accélération de la lumière en définissant une échelle « proportionnelle » divisible à l’infini (par homothétie) :
Ainsi pour un présent 1 j’ai un passé qui tend vers 0 (Si je fixe un passé 0 le présent tend vers 1)
De tout point la lumière met 1s à m’arriver et je mesure toujours localement C (concept de localité à revoir avec M.Planck) soit 0.999… autant que le permet la précision de ma mesure.
NB : A T-1 une seconde en vaudra 2, la lumière met 2 sec de son temps à me parvenir donc toujours 1s pour moi
Fig 4a et 4b – Superposition des temps et Décomposition
Une photo (perspective) transforme la dimension de temps en « profondeur », elle est une somme de temps (distances) différents. Décomposer l’image en y réintroduisant le temps ajoute une dimension (pouvant mettre à jour un trompe l’œil)
Si le temps (échelle des ages serait plus adéquat) est la dimension de profondeur (perpendiculaire au plan de vision), où se cache la dernière dimension ?
Fig 5 - Univers tangents
La vue synthétise donc l’état des temps des univers tangent, je suis toujours à l’extrémité d’un univers ayant « laché » un photon qui m’arrive à C dans l’œil
La 4ème dimension c’est l’énergie du photon : la courbure de la sphère/onde issue de la singularité/objet (la surface de projection - Fig4 - n’est pas un plan mais l’age 0 de l’objet que je regarde).
Aujourd’hui la précision est à 2.7K, on tend vers l’énergie 0 absolu.
Par singularité on peut entendre BB, TN, atome, masse… ou tout simplement Energie potentielle (une masse ne s’exprime qu’en rapport à une autre) = décalage d’age.
Plus une masse est lourde plus elle va vivre dans un temps vieux/lent, tout restant relatif. Un électron vit sans doute à un age T-N son cône de lumière décrivant une sphère incertaine à T.
Un exemple concret : quand je saute en l’air, je déploie l’énergie nécessaire pour vieillir la terre de 1m relativement à mon univers (oui je sais c’est dur à avaler…)
NB : Tout échange d’énergie se fait à temps égal et l'échelle logarithmique garanti l'équivalence des rapports entre niveaux d'énergie
Bon, des questions ? Ou des réponses…
Merci
Mailou
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