Bonjour,...
de ce post http://forums.futura-sciences.com/as...timatiere.html
Intéressons nous à la composition des rayons cosmiques.
Les rayons cosmiques sont des énergies plus élevées que les énergies des atomes de notre vie habituelle qui ne sont pas très énergiques, qui semblent tout à fait habituelles dans l'univers.
Un argument évident en est la pluie d'ions rapides qui bombardent sans arrêt la terre depuis l'espace lointain, beaucoup plus énergiquement que ce qui est estimé pour la magnétosphère.
Au sol, on rencontre rarement des rayons cosmiques "primaires", parce qu'ils se sont généralement déjà heurtés dans la haute atmosphère et que ce que nous observons est une pluie de fragments très rapides.
Les particules des rayons cosmiques sont des ions de type courant -- la plupart du temps de l'hydrogène , un peu d'hélium, des quantités moindre de carbone, d'oxygène etc. et même quelques atomes de fer et des éléments plus lourds, dans les mêmes proportions que celles trouvée pour le soleil.
Il semble donc qu'il s'agisse de la matière habituelle, qui a été soumise à un extraordinaire processus pour acquérir des énergies énormes.Ces énergies sont en effet énormes.
Les ions des rayons cosmiques partant d'une matière plus dense que le milieu interstellaire peuvent vraisemblablement s'y heurter en en sortant. Ces collisions nucléaires produisent des rayons gamma (en quelques étapes intermédiaires ) qui, comme la lumière, se propagent en ligne droite.
Des rayons gamma d'une énergie de l'ordre de 800 Gev ont été détectés et dépistés. (en comparaison, l'énergie d'un proton au repos E = mc2 est en-dessous de 1 GeV). Ces rayons gamma réagissent fortement avec l'atmosphère, pour créer des paires d'électrons et de positrons très rapides (positrons = contreparties positives des électrons), qui produisent rapidement de nouveaux rayons gamma, qui à leur tour produisent encore une paire, d'énergie inférieure, qui à leur tour... et ainsi de suite, finissant par une "douche aérienne" de milliers d'électrons, de positrons et de rayons de gamma, se déplaçant tous toujours près de leur direction d'origine.
L'atmosphère nous protège des rayons cosmiques à peu prés aussi efficacement qu'une couche de13 pieds de béton, et malgré tout, les particules cosmiques parviennent à la traverser dans une grande proportion
Les ions cosmiques du haut de la gamme énergétique se manifestent en douchant l'atmosphère de plusieurs millions de fragments, sur de grandes superficies.
Les ions cosmiques sont "energisés" (activés) par les ondes de chocs qui viennent des supernovas
rem:les rayons cosmiques sont déviés de leurs directions initiales par les champs magnétiques de l'espace. La force magnétique diversifie complètement les directions des particules des rayons cosmiques et de même les fait suivre toutes les directions.
source NASA: http://www-spof.gsfc.nasa.gov/Education/Fwcosray.html
intéressons nous a l'impact des influences extra-planétaire
Le flux continu du rayonnement cosmique venant de l’extérieur du système solaire et les flux transitoires produits par le Soleil affectent la technologie et la vie non protégées par l’atmosphère et le champ magnétique de la Terre.
Ce qui engendre différents types de dommages, technologiques et biologiques
On peut distinguer deux populations de particules dans notre environnement radiatif spatial naturel : les particules piégées dans les ceintures de radiation des magnétosphères planétaires et des populations de particules extra-planétaires comprenant des électrons, protons et ions lourds
La composante extra-planétaire comprend les rayons cosmiques galactiques (GCR, pour galactic cosmic rays) et des particules énergétiques d’origine solaire (SEP, pour solar energetic particles), associées avec des éruptions solaires et éjections coronales de masse (CMEs, pour coronal mass ejections).
Intéressons-nous essentiellement aux impacts biologiques.
Les particules énergétiques constituent un risque pour la santé, parce qu’elles peuvent endommager les cellules : lorsqu’une particule énergétique frappe une cellule, elle y dépose une partie de son énergie en interagissant avec les électrons des molécules de la cellule. Les conséquences pour la cellule dépendent de l’espèce et de l’énergie de la particule incidente (proton, ion, électron, neutron, photon).
Les dommages causés aux molécules, en particulier à la DNA, peuvent avoir des conséquences pour son avenir, sa capacité de se diviser et de maintenir sa structure.
Les dysfonctionnements éventuels de la cellule peuvent affecter les tissus et organes.
Une cellule endommagée tentera de se réparer elle-même. Si la tentative échoue, la cellule mourra. Si trop de cellules meurent, l’organe peut cesser de fonctionner correctement
D’autre part, si la réparation est incomplète, la cellule peut encore se diviser quelques fois, éventuellement en transférant les dommages résiduels aux cellules filles.
Les dysfonctionnements d’un nombre trop important de cellules filles peuvent de nouveau causer des dommages majeurs ou même définitifs à l’organe.
Des cellules endommagées survivantes peuvent aussi devenir les précurseurs de cellules de cancer.
Les menaces du rayonnement cosmique pour les êtres vivants sont de deux types :
Des doses élevées d’irradiation sont un danger immédiat pour la santé et même la vie
Les faibles doses d’irradiation n’ont pas de conséquence qui se remarque immédiatement. Mais ils peuvent constituer un risque à plus long terme.
L’effet biologique de l’exposition à la radiation dépend de la quantité d’énergie absorbée par le tissu, qui augmente avec le flux de particules.
L’effet dépend aussi de l’espèce de particules, de leur énergie individuelle et de l’organe irradié.
Les neutrons ont une plus grande capacité à engendrer des lésions que des protons ou électrons de haute énergie et des rayons gamma.
source:http://www.nmdb.eu/?q=node/344#Sec1
intéressons nous a la variation de l'impact des influences extra-planétaire
la variation du flux des influences extra-planétaire, qui comprend les rayons cosmiques galactiques (GCR, pour galactic cosmic rays) et des particules énergétiques d’origine solaire (SEP, pour solar energetic particles), associées avec des éruptions solaires et éjections coronales de masse (CMEs, pour coronal mass ejections) est fonction de la trajectoire du Soleil, de la position de la Terre et à l’inclinaison de celle-ci.
voir http://forums.futura-sciences.com/as...articules.html
La trajectoire du Soleil sur la voûte céleste est l'écliptique. L'écliptique traverse treize constellations dans le ciel en une année. Actuellement, l'Union astronomique internationale (UAI) divise le ciel en 88 constellations avec des frontières précises, pour que tout point du ciel appartienne à une constellation. La rotation terrestre entraîne un mouvement des constellations autour des pôles nord et sud célestes, alignés avec l'axe de rotation terrestre. Dans l'hémisphère nord, le pôle coïncide avec la position de l'étoile polaire et dans l'hémisphère sud, avec σ Octantisnote 1. C'est pourquoi sur les cartes célestes de l'hémisphère nord telles la carte du ciel mobile, l'étoile polaire figure au centre. Ce que l'on nomme l’étoile polaire désigne une étoile visible à l’œil nu se trouvant approximativement dans l'axe de rotation de la planète. L'étoile polaire actuelle est l'étoile la plus brillante de la constellation de la "Petite Ours", Alpha Ursae Minoris. Il y a 5000 ans, l’étoile polaire correspondait a alpha draconis (Thuban), une étoile de la constellation du Dragon. Il y a 12000 ans s'était alpha lyrae (Véga)...
sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Constellation , http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_polaire
la variation du flux des influences extra-planétaire est fonction de la précession des équinoxes, un mouvement résultant dicté par l'axe de rotation de la terre, ovoïdal engendré par la rotation de la terre avec à sa droite l'apogée pointant vers le centre de la galaxie. Il résulte donc une oscillation de la terre autour de l'axe des pôles. Cette oscillation de direction est provoqué par le couple qu'exercent les forces de marées de la Lune et du Soleil sur le renflement équatorial de la Terre. Ces forces tendent à amener l'excès de masse présent à l'équateur vers le plan de l'écliptique.Ce mouvement aboutit à déplacer l'orientation du pôle Nord parmi les étoiles, en sorte que, au fil des siècles, nous changeons d'étoile polaire.La valeur actuelle du déplacement est de 50,290966" par an, soit environ 1° pour 72 ans. Donc 25920 pour un cycle complet, une année galactique de 25920 ans
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A...%C3%A9quinoxes
la variation du flux des influences extra-planétaire varie dans l’année et dans l’année galactique….
Rien de nouveau sous le Soleil !!!
Alors que l'étude des rayonnements cosmiques a seulement commencée au début du XX Siècle, les différentes Traditions spirituelles, avaient déjà connaissance de telles influences entre les corps céleste et notre monde, les Hommes.
En effet, depuis la nuit des temps, pour ces différentes Traditions, les constellations incarnent de Principes, des Forces et des Lois,...des influences différentes,….
Nous pouvons constater qu'avec des conditions initiales différentes, des bases privilégiées différentes, un contexte spatio-temporel différent, ces deux points de vue se rencontrent et convergent,...
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