On ne pourra jamais reproduire sur Terre les énergies colossales de l'ère de Planck.Qui sait?
Ce genre d'avancées par exemple (http://forums.futura-sciences.com/co...ml#post5399211) laisse des espoirs que la recherche fondamentale puisse encore progresser... et repousser encore les nombreuses singularités dans des modèles plus précis...
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
??? Une fois de plus, cela n'a pas l'air de gêner de parler d'un électron comme une charge électrique ponctuelle. Ce qui bien une singularité au sens physique usuel (divergence du potentiel en 1/r ou du champ en 1/r²).
Dernière modification par Amanuensis ; 11/11/2015 à 14h08.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
On peut spéculer sur différents modèles : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nucl%C...s_mod.C3.A8les
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Tu auras noté le "par exemple", sinon voir ici:
http://forums.futura-sciences.com/as...these-etc.html
Où là:
http://forums.futura-sciences.com/as...tml#post181387
Tout ça pour dire que :
n'est pas correct, c'est conforté également notamment par la physique des particules, qui permet de remonter jusqu' à qq micro-sec (1Mev).le modèle est conforté par les observations à partir de 380.000 ans
Mais on peut bien sûr spéculer sur différents modèles.
Cordialement,
Quand j'invoque la limite de l'époque du découplage, je parle bien sûr de l'observation directe, puisqu'on arrive à "voir jusque là".
Les expériences quantiques reproduisant ce qui s'est passé au moment de la nucléosynthèse primordiale reproduisent ce qui a dû théoriquement se passer à ce moment là. Ce n'est pas la même démarche, comme si on avait pu observer cette nucléosynthèse au télescope, sans contester le fait que la théorie est bien validée par l'expérience.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Des modèles sont bien validés par l'expérience, et ils sont concurrents.
La sous-détermination des théories par l'expérience joue à plein ici.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Oui, c'est pour ça que je parle des expériences de ce qui a pu se passer, et non de ce qui s'est passé (à défaut d'observation directe).Des modèles sont bien validés par l'expérience, et ils sont concurrents.
La sous-détermination des théories par l'expérience joue à plein ici.
Si, par exemple, la gravitation quantique à boucles devait s'avérer correcte, cela rendrait possible l'hypothèse de l'univers en rebond, tel que conçu par Martin Bojowald. Et là, adieu aux premières secondes du modèle cosmologique actuel, qui emporterait dans l'oubli sa singularité initiale.
Bien sûr, c'est encore spéculatif, mais cela montre bien que tout ce qui n'est pas observé directement est toujours spéculatif, avec, comme le disait Amanuensis, des probabilités variables.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.