La propulsion à Reacteur à lit de particules

[invite5b5bb948]

Bonjour. Je recherchais de info sur wiki aujourd'hui et je suis retourner sur la page des NTP(Nuclear Themal Propulsion): http://fr.wikipedia.org/wiki/Propuls...ermique#_ref-3

J'ai remarqué qu'il y avait de nouvelles information alors j'ai relue le tout et j'ai accroché sur une phrase: ''Les essais pratiqués restèrent élémentaires mais prometteurs et permirent d'envisager un moteur de 500 kg de masse développant 1000 MW de puissance et 200 kN de poussée.''

J'ai ensuite fait quelque petit calcule très basique et sa me donne ceci.
La navette spatiale(La navette seulement sans le Résevoir externe et les booster) pèse au décollage 109 000kg. Les trois moteur interne de la navette font 7 900kg. Avec un produit carré, on s'apercoit qu'un moteur à lit de particule d'un poid de 7 900kg avec les donnée plus haut permettrait une poussée de 3160kn. La navette pesant 109 000kg on n'arrive donc à une accélération de 28.99 m/s carré.

Bon je l'ai dit c'est extrèmement basique comme calcul en plus les donnée de 200kn pour le moteur de 500kg reste une hypothèse. Mais les principaux acteur du programme ont formé une compagnie qui serait en train de créer un moteur 10 fois plus petit mais gardant le même rapport poid/puissance.

Selon moi, l'accélération maximal qu'un vaisseau spatial devrait atteindre pour rester comfortable serait de 9.81m/s carré(Peut être un peu plus) car une plus grande accélération écraserait les voyageurs au sol. Alors à 28.99 m/s carré on n'a quand même un gros jeu pour se tromper dans le rapport poid/puissance. Même si finalement le rapport est 4 fois plus petit sa reste énorme.

Comment croyer vous qu'un tel moteur pourrait fonctionner au niveau des performences, avec vous des nouvelles fraiche sur ce type de moteurs, pourrait t'il être utilisé à une échelle aussi grande que 7 900kg?
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[invite20ae9842]

Bonjour,

J'ai ensuite fait quelque petit calcule très basique et sa me donne ceci.
La navette spatiale(La navette seulement sans le Résevoir externe et les booster) pèse au décollage 109 000kg. Les trois moteur interne de la navette font 7 900kg. Avec un produit carré, on s'apercoit qu'un moteur à lit de particule d'un poid de 7 900kg avec les donnée plus haut permettrait une poussée de 3160kn. La navette pesant 109 000kg on n'arrive donc à une accélération de 28.99 m/s carré.

Si ce moteur ne doit être utilisé que dans l'espace, une telle poussée est inutilement élevée, un moteur plus petit et moins gourmand est préférable. De plus il sera ainsi plus léger et en astronautique, le poids c'est l'ennemi.
Si ce moteur doit être utilisé dès le décollage, la poussée d'un seul serait insuffisante à cause de l'énorme masse de propergol nécessaire, et comme les gaz rejetés sont radioactifs, ce serait pas une bonne idée.
Même dans le cas d'une utilisation strictement spatiale, le problème de la propulsion nucléaire vient du supplément de poids du blindage antiradiation assurant la protection de l'équipage contre les rayonnements en provenance du moteur. Ce supplément de poids est tel que pour certaines mission, l'avantage par rapport à une propulsion classique est faible.
L'impulsion spécifique d'un moteur à lit de particules est d'environ 1000 secondes, si on compare aux 450 secondes obtenues par des moyens de propulsion classiques, l'intérêt n'est peut être pas négligeable, mais il n'est pas non plus révolutionnaire si l'on tient compte des contraintes liées à la radio activité.

Les meilleurs espoirs pour l'avenir de l'astronautique sont à mon sens à chercher dans les systèmes de propulsion ioniques ou plasmiques, lorsqu'une accélération extrêmement faible n'est pas un problème (pour les sondes par exemple), parce qu'on peut espérer des impulsions spécifique supérieure à 10.000 secondes, et pour les vol habités (cette fois la durée est un facteur essentiel), dans des systèmes de type: propulsion nucléaire à eau salée (impulsion spécifique d'environ 6000 secondes espérée, et poussée forte donc accélération forte et temps court), ou propulsion thermonucléaire (pour plus tard, mais des impulsions spécifiques approchant le million de seconde sont possibles, avec aussi des poussées fortes permettant des voyages courts).

Amicalement, Alain